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3.49/5 (sur 76 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , 1949
Biographie :

Ēlisabeth Motsch est écrivaine et traductrice littéraire.

D'une famille nombreuse, elle est élevée de manière stricte.

Elle entre à l’École Normale d'institutrices, à Paris puis suit des études d'anglais, de psychologie et d'histoire de l'art à l'université de Nanterre.

Elle crée une librairie féministe dans les années 1970 et un lycée public autogéré dans les années 1980, avant de se consacrer entièrement à l'écriture et à la traduction.

Elle fait aujourd'hui partie des nombreux auteurs de l'École des Loisirs, mais écrit aussi des livres pour adultes.

Elle est auteure de plusieurs romans chez Grasset (Pavane pour un singe défunt) et Actes Sud (La ville orange; Le tribunal de Miranges), de livres pour la jeunesse à l’École des Loisirs (entre autres, La Princesse aux grands pieds, La mort du Grand Pupu), de traductions chez différents éditeurs et d'un essai sur le vin (Ciels changeants, menaces d'orages, Vignerons en Bourgogne).

Depuis quelques années, elle écrit sur le thème de l'autisme. En 2006, elle a publié Gabriel, livre sélectionné par le Ministère de l’Éducation Nationale, qui raconte l'arrivée d'un jeune garçon atteint du syndrome d'Asperger dans une nouvelle école.

Deux ans plus tard, La Bécassine de Wilson, roman évoquant à la fois le cheminement douloureux et la vie étonnante, foisonnante, poétique d'un adolescent affecté du même syndrome, se présente en quelque sorte comme une suite à l'adresse des adultes.

Mère de trois fils, elle habite une maison en Bourgogne.

site de l'auteure:
http://www.elisabethmotsch.com/
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Source : http://www.ecoledesloisirs.fr
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Bibliographie de Elisabeth Motsch   (34)Voir plus

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Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Lacan lui-même reconnaissait qu'une analyse n'a jamais guéri personne. Les bons patients, de toute façon, sont ceux qui ne sont pas trop malades, qui ont de l'argent et un ego important.
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Je monte sur mon escabeau pour voir le paysage à travers les barreaux. J'aime ma ville de Naples, sa forme d’amphithéâtre romain avec le grand M du Vésuve en décor d'arrière-plan et ce golfe magnifique tracé par l'un des volcans éruptifs de ces champs phlégréens.
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Les jours de bonheur, vous préférerez Cimarosa ; dans les moments de tristesse, Mozart aura l'avantage.
Stendhal.
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Le mercredi matin, il espéra être arrivé dans un pays où il n'y avait ni bombe atomique ni interdiction de parler aux filles.
(page 35, début du chapitre 4, Le pays des chansons)
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Je voudrais rester dans cette école.
Toute la classe le fixait des yeux, sans oser dire un mot. En fait, on avait tous envie qu'il reste là, puisqu'il s'y plaisait."
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Des filles qui veulent se mêler aux garçons sur les bancs de l'illustre université de Varsovie ! Quelle incorrection ! Quelle honte !
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- C'est vrai il n'est pas pareil que nous.
- Et alors?
- Alors il ne peut pas être dans la même classe.
Alex a froncé les sourcils, et en cherchant ses mots m'a répondu:
- Avant... les filles et les garçons n'allaient pas dans les mêmes écoles... Parce qu'ils n'étaient pas pareils. Maintenant, si.
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Presque tous les samedis, après la rencontre des louveteaux, ce sera la même séance. La sueur du Père Antoine, son odeur, son souffle bruyant comme un animal, tout soulève le cœur de Paul. Mais il se dit que ce qu'ils font, c'est normal. C'est le Père Antoine, respecté et aimé de tous qui le demande. Un homme qui dit la messe, qui est en contact avec Jésus, pas n'importe qui.
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- C'est vrai il n'est pas pareil que nous.
- Et alors?
- Alors il ne peut pas être dans la même classe.
Alex a froncé les sourcils, et en cherchant ses mots m'a répondu:
- Avant... les filles et les garçons n'allaient pas dans les mêmes écoles... Parce qu'ils n'étaient pas pareils. Maintenant, si.
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M Parfait est furieux! s'exclame le contremaître, qui m'a talonné. Furieux ! Il espérait que l'inspecteur du Travail serait moins chiant que le précédent, oui c'est ce qu'il a dit et je répète. Mais voilà qu'on lui envoie un petit monsieur qui veut se mêler des affaires de l'industrie !
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Elle correspondit sans discontinuer avec Madame Bovary à partir de 1863.

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