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Critiques de Parno (18)
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Nos vies prisonnières

C’est le genre de BD dont la thématique peut également vous parler dans l’hypothèse où vous avez des ambitions professionnelles à réaliser. Celles-ci se font très souvent au détriment de la vie de couple et plus largement de la vie de famille. Il faut choisir, soit le boulot, soit la femme et les enfants mais on ne peut pas tout avoir car c’est le facteur temps qui fait défaut.



On est très souvent prisonnier de nos propres vies. On est englué dans un quotidien qui ne nous plaît pas vraiment mais qu’on accepte pour ne pas perdre un boulot qui permet de gagner de l’argent et par conséquent de vivre plus ou moins correctement. L’ambition peut parfois conduire à la perte du bonheur et du bien-être.



C’est une BD chorale où l’on va suivre différents personnages qui s’entrecroisent. La particularité est qu’à force, on ne va plus que s’intéresser à deux ou trois d’entre eux qui ont auront vraiment une profonde interconnexion. Et ce n’est pas forcément ceux qui sont mis en avant dès le début de cette BD ce qui pourra dérouter le lecteur au passage. En même temps, je me dis qu’il y a un éparpillement assez inutile de personnages secondaires qui n’apportent rien à l’intrigue principale. Un recentrage aurait été louable.



La tendance actuelle de notre société est de donner un sens à sa vie et surtout un sens à son travail. A force d’accepter ce qui nous déplaît, cela a forcément une conséquence sur nos vies. Il est parfois difficile de suivre sa voie. Et puis, on se perd souvent dans ses priorités.



A noter également qu’il s’agit de la critique de ces grandes entreprises qui broient le personnel si les objectifs ne sont pas atteints. Chacun essaye de se protéger du grand ménage. Forcément, on y perd un peu son humanité et de sa compassion pour ceux qui doivent trancher dans le vif.



On ne pourra pas reprocher à cette œuvre assez réaliste un manque de profondeur psychologique, bien au contraire. Les personnages notamment féminins ont un caractère bien trempés dans ce conte social moderne.



On avance progressivement pur aboutir à un final qui fera dans l’émotion mais qui marquera surtout la moralité de cette BD comme quoi, il ne faut pas passer à côté des choses essentielles de la vie comme sa partenaire et ses enfants. A-t-on besoin d’une BD pour savoir cela ? Pas forcément mais cela peut parfois aider à y voir plus clair. On se pose évidemment les bonnes questions dans une réflexion qui demeure utile de temps en temps.



La qualité est présente dans le déroulé mais également sur l’aspect graphique qui est impeccable dans ses effets. La colorisation par exemple sera utilisé à bon escient. Il y a parfois un changement de technique avec de prises de risque pour remonter par exemple dans le passé. J’aime bien ce genre qui fait finalement dans l’efficacité au service d’une histoire.



Au final, nous avons un album qui donne à réfléchir car il est proche de nos vies et de nos préoccupations. Après tout, il faut rester maître de soi-même car on dispose du libre-arbitre. A nous de faire les choix de vie qui s’imposent pour que l’on soit heureux et ne pas se sentir prisonnier de notre propre vie.

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Nos vies prisonnières

Un chef d'entreprise qui se voit retirer la garde de ses enfants suite à un petit voyage avec une jeune demoiselle, laissant ainsi seuls ses deux gamins pendant presque deux semaines...

Ce même chef d'entreprise qui informe Hélène, une de ses cheffes d'équipe, que ses résultats sont bien en-dessous de ses objectifs...

Cette cheffe qui informe par la suite Félix, un des membres de l'équipe, que ses résultats ne sont pas bons...

Ce médecin qui en a marre de son boulot et des petits bobos de ses patients. Lui, ce qu'il voulait, c'était devenir écrivain...

Chacun d'entre eux va se rendre compte qu'il n'est pas heureux. Aussi, lorsqu'un événement va bouleverser leur existence routinière et banale, chacun va pouvoir faire le bilan de sa vie...



Parno nous invite à découvrir, d'une part, une galerie de personnages qui, au fil des pages, va se révéler et, d'autre part, les liens qui les unissent. Des personnages qui s'entrecroisent à un moment-clé de leur vie, la plupart du temps étriquée. Dans ce monde impitoyable et conditionné qui est le nôtre où tout un chacun doit réussir professionnellement, quitte à s'oublier, l'auteur montre combien le bien-être et le bonheur passent en second plan, combien il est difficile de trouver sa voie et d'être soi-même. La faute, notamment, à ces fameux objectifs des grandes entreprises, à ce concept d'ambition parfois démesurée. Il montre également combien les rencontres, parfois hasardeuses, peuvent bouleverser notre vie. Cet album choral, divisé en plusieurs chapitres s'attardant sur l'un ou l'autre, se révèle sensible, parfois émouvant. Le trait de Phil Castaza oscille entre semi-réaliste et flou en monochrome rouge lorsqu'il est question du passé.



Un album ancré dans le présent qui donne à réfléchir...
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Nos vies prisonnières

Un roman graphique bien construit sur le monde de l’entreprise où seuls les mots objectifs et argent sont primordiaux au détriment des mots humanité et compassion. Combien de personnes prisonnières de leur vie ? Liberté et être heureux perdu par le travail ? Un manuscrit poignant et profond d’un père à son fils. Un beau personnage que celui du médecin intermédiaire. Merci à Marina53 qui, par sa critique, m’a donné envie de le lire.
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Nos vies prisonnières

Je me suis lancé dans la lecture de cette bande dessinée un peu par hasard sans rien connaitre du travail précédent des auteurs. Le titre et la jaquette de ce roman graphique m’ont interpellés et je n’ai du tout pas été déçu de ce test. Quelle belle surprise que de tomber sur une œuvre d’une telle qualité !



En démarrant cet album, on s’imagine qu’il va se constituer de petites scènettes dédiées à des personnages différents qui ne se rencontreront jamais. On pense s’être plonger dans un recueil qui va nous offrir des brèves de vies. Et bien, il n’en est rien. Au fil du récit, les histoires indépendantes de protagonistes que rien ne semblait reliés de prime abord vont se trouver intimement liées. Cet entremêlement de destins est passionnant à suivre et surtout à découvrir au fil des pages. L’univers graphique est simple. Le dessin est très stylé bande dessinée.



La colorisation est vive et dynamique. Le véritable atout visuel de « Nos vies prisonnières » se dévoile lorsque le lecteur découvre un récit dans le récit. Un manuscrit écrit par l’un des personnages de cette histoire qui va être lu, relu et rerelu au fil de cette bande dessinée. Les couleurs y sont différentes, le trait du dessinateur change totalement. On se retrouve projeté dans un monde différent de celui dans lequel on était plongé jusqu’ici. L’effet est parfaitement réussi et on en redemande.



Le propos de cette œuvre est magnifique et poussera chaque lecteur à une introspection minutieuse, une remise en question de ses propres choix de vie. Les personnages de ce récits prennent conscience petit à petit de la prison qu’est insidieusement devenu leur vie. Pourrait-il en être de même pour nous ? Ce roman graphique propose donc un thème fort avec une ambiance qui peut paraitre assez déprimante. Il est pourtant important de souligner la belle happy end qui attendra les lecteurs persévérants. Alors, n’hésitez pas à faire vous aussi le teste de « Nos vies prisonnières » et à vous poser les bonnes questions sur votre vie !



Merci à Babelio, à Bamboo éditions et à l'opération Masse Critique pour cette superbe lecture !!
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L'âge des corbeaux

D'entrée de jeu, j'ai trouve le concept assez sympa, un auteur amateur en mal d'inspiration rencontre un inconnu dans un bar qui lui propose d'obtenir ce dont il rêve et voilà ce nouveau Faust propulsé dans un monde où il est auteur à succès.

C'est sympa un temps mais je suis assez vite restée sur le quai.

L'univers construit est absurde et ne permet pas d'absorber une réelle comparaison entre la vie du pauvre bougre et celle de son lui modifié.

Les dialogues sont lourds, les apartés souvent un peu ridicules.

Le dessin n'est pas du tout à mon gout.

Bref, hop, déjà oublié.
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Nos vies prisonnières

Cette bande dessinée nous incite à réfléchir sur notre vie, nos choix, notre existence: en sommes-nous maître ? Que décidons nous? Nous échappe-t-elle ? Un vrai questionnement sur le sens de notre vie, sur nos engagements, sur nos priorités. Je recommande !
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L'âge des corbeaux

Vladimir Principal n’arrive pas à se faire publier. Pourtant, il est bien convaincu par son talent. En plein désespoir il laisse femme et enfant et sort noyer sa misère dans l’alcool. Il rencontre alors un "éditeur de destin" qui va, en un éclair, changer sa sa vie.



Mais que désirait-il vraiment ?



Une fable un peu gentillette aux dessins fort soignés, un tourbillon bien rythmé au milieu d’un magnifique "Paris la nuit" des années 40-50
Lien : https://www.noid.ch/lage-des..
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L'âge des corbeaux

J'ai bien aimé le début de cette fable urbaine ainsi que la conclusion très moraliste. Pour le reste, cela m'est apparu beaucoup trop loufoque avec une idée simple: mieux vaut se consacrer à sa famille que connaître le succès professionnel. Chacun appréciera selon ses propres affinités et ses choix de vie.



En l'occurrence, il s'agit d'un écrivain du soir qui travaille toute la journée dans une vulgaire compagnie d'assurance. La trouvaille du monde parallèle suite à une beuverie n'est pas nouvelle mais fonctionne à merveille. Par ailleurs, on devine une critique assez acerbe du monde de l'édition et de ses pratiques.



L'exercice de style est vraiment soigné mais le plaisir de lecture n'y est pas en ce qui me concerne. La faute à un univers trop absurde et trop déjanté pour me captiver. C'est dommage.
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Nos vies prisonnières

Deux mondes glissent l’un à coté de l’autre dans cette longue BD qui contient une histoire unique : celui de la banque et de la médecine. Différents protagonistes nous racontent, façon roman choral, qu’ils n’en peuvent plus de la vie qu’ils mènent, qu’ils ont l’impression de la subir sans avoir rien choisi. C’est toujours le même refrain, productivité, bénéfices, pions sacrifiés sur l’autel du rendement, bla bla. Au-dessus il y a toujours un chef (qui a lui aussi son chef etc.) qui n’a d’autre choix que de jouer ce jeu, où tout le monde est perdant. Le médecin de l’histoire est au bout du rouleau lui aussi, les patients lui sortent par les yeux (ses fantasmes de réparties sont consternants, au passage) et c’est comme d’un parchemin magique qu’il s’empare d’un document que le hasard place entre ses mains. À partir de là, on assiste à une sorte d’enquête/rédemption improbable qui m’a fait grincer des dents tellement c’était téléphoné. Lu dans le cadre de l’opération Masse Critique de Babelio, je reconnais à cette BD de réelles qualités graphiques : le dessin change de techniques et de tonalités selon le moment qu’il décrit et le découpage en plusieurs chapitres aère bien une histoire par ailleurs plutôt dense. En revanche je n’adhère pas du tout à l’intrigue dont j’ai détesté l’ambiance triste au possible.

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L'âge des corbeaux

Très belle découverte et bonne surprise. Parno et Jicé signent un album plein d'humour grinçant, d'absurde, de délire avec en fond une réflexion sur la création, l'inspiration, l'aspiration à la renommée, la course à la reconnaissance comme fin en soi pouvant justifier tous les moyens et une critique du monde de la littérature plein de superficialité et gouverné par l'argent et la rentabilité.

Vladimir Principal est un écrivain en manque d'inspiration, en panne sèche. Il réalise qu'il n'écrira plus. La nuit est tombée, il sort dans les rues désertes et entre dans un bar pour noyer dans l'alcool sa désillusion. Il y rencontre un drôle de vieillard, au visage de père Noël ou de Dieu. Celui-ci se présente comme "éditeur de destin"... Vladimir va alors vivre une drôle de nuit, devenant célèbre, harcelé par ses éditeurs et sponsors pour faire la promotion de son dernier livre qu'il n'a pas écrit, participant à des soirées mondaines, devenant malgré lui objet de rire et de ridicule dans un cirque, aux prises avec des voyous, fréquentant les maisons closes et les lieux mal famés.

Comme dit l'éditeur de destin : "Le succès, l'échec... c'est relatif, tout ça. On s'obnubile sur le but et on oublie que le plaisir réside dans le chemin pour l'atteindre"

Vladimir Principal va parcourir un drôle de chemin durant cette nuit pour retrouver au bout et au petit matin l'inspiration et lui-même.

Un très beau scénario, plein d'humour et d'absurde accompagné d'un dessin magnifique.
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L'âge des corbeaux

Vladimir Principal est écrivain. Ou plutôt il essaye. Il ne s'est jamais fait publier. En panne d'inspiration, il va croiser une personne qui se prétend éditeur du destin. Celui-ci lui propose son aide.



Ce livre est une bonne surprise pour plusieurs raisons. C'est la première collaboration entre les deux auteurs, le scenario est intelligent, décalé, le dessin est parfaitement maîtrisé.



Si on vous offrait "vos cinq minutes de gloire" Quelles seraient les retombées? C'est la reflexion que propose les auteurs. Ils ont choisi un angle original, Celui du décalage. Mais un décalage qui sonne juste. Tout d'abord l'ambiance. Celle-ci sent la nostalgie, une époque pas si lointaine mais qu'on n'arrive pas à situer. L'humour aussi; les situations dans lesquelles l'écrivain se retrouve empêtré sont souvent cocasses, mais jamais méchantes ou moralisatrices.



Le dessin et l'univers graphique collent parfaitement à cette atmosphère anachronique. Le décor, les vêtements sont d'une autre époque, plus exactement de plusieurs. Les personnages sont caricaturaux sans être exagéré. Un ensemble simple et complexe, où notre héros est perdu. C'est là aussi la force de ce livre. Nous sommes aussi paumés que cet écrivain. Les auteurs nous mènent par le bout du nez, pour notre plus grand plaisir.



Publié dans la collection Intégra, L'âge des corbeaux offrent des grandes cases dont l'atmosphère a été particulièrement travaillée.Un livre où je suis ravi de m'y être perdu.




Lien : http://temps-de-livres.over-..
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Nos vies prisonnières

Un one-shot de 130 planches dans un style semi-réaliste qui, en plus d'offrir une agréable pause lecture, vous renverra sûrement à cette partie de votre moi intérieur qui n'a jamais pu totalement s'exprimer mais dont vous savez - et désormais encore plus - qu'elle n'est qu'en veille et qu'il vous suffirait de la réactiver pour que votre vie puisse prendre autrement tout son sens.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Nos vies prisonnières

Avec Nos Vies Prisonnières, Castazac et Parno réussissent donc une belle coopération au service d’une histoire touchante, sensible et dure parfois. Comme la vie.
Lien : https://www.avoir-alire.com/..
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Nos vies prisonnières

L'histoire d'hommes prisonniers à leurs vies. L'ambition, le travail et l'argent, c'est ce qu'il y a de plus important : sans cela, on ne fait rien.



Mais quand un médecin assiste aux dernières paroles d'un homme perdu depuis longtemps, il va essayer de briser les chaînes.



Tous les personnages sont liés dans cette histoire, d'abord dans ce mouvement d'emprisonnement et de vie misérable, puis lorsque le médecin tente de briser les codes et essaye de rendre à un fils l'amour de son père. Un manuscrit qui parle de choses vraies, qui énonce une vérité crue et difficile à avaler pour quiconque tente de la lire. Mais qui, au final, permet d'ouvrir les yeux dans le malheur auquel on s'enchaîne.



L'homme veut de l'argent pour être heureux, mais sacrifie tout pour son travail et ne profite de rien.

Parfois, il faut tout quitter, suivre son instinct et écouter les expériences des autres.



Le bonheur n'est pas si difficile à trouver, il est souvent juste devant nous....



Bonne lecture, qui réveille en chacun de nous cette question : qu'est-ce que je fais de ma vie ? Est-ce que je suis heureux ?



Le plus important est d'avoir une bonne raison de se lever le maintenant. On peut s'occuper du reste petit à petit.
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Nos vies prisonnières

En s'attaquant à un thème de société sensible et tabou, Parno (Ecolomancho et L'Âge des corbeaux) livre un propos émouvant et incisif en soulignant l'emprise exercée par des corporations professionnelles sur des individus qu'elles étouffent [...] Nos vies prisonnières est un récit complet marquant, tant dans sa conception que son déroulement et surtout dans la réflexion qu'il suscite. Si beaucoup de paramètres ne dépendent plus de lui, l'homme à encore la possibilité de mener la vie qu'il souhaite pour ne pas perdre de vue ce pour quoi il est venu sur terre : être heureux ! À condition de s'en donner les moyens.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Nos vies prisonnières

Changer de vie, tout plaquer pour faire ce que l’on aime et réaliser ses rêves [...] Le propos apparaît d’autant plus crédible et sincère qu’il est servi par le graphisme précis et très maîtrisé du dessinateur Parno. Bien construit, le récit de Castaza se révèle ambitieux, attachant et suffisamment solide pour interpeller le lecteur et le pousser dans ses propres retranchements.
Lien : https://www.actuabd.com/Nos-..
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Ecolomancho, tome 1 : Eternelle banquise

Un album dont les brèves histoires pourraient agréablement rafraichir les dernières pages de la presse régionale en cette période estivale et qui prêtera à sourire, avec un rien de mauvaise conscience, sur notre société en général et sur la banquise en particulier.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Ecolomancho, tome 1 : Eternelle banquise

Les deux auteurs cherchent à faire prendre conscience de l'évolution du monde, en dénonçant les hypocrisies, la course aux profits, l'amoralité des patrons... Leur humour non potache joue davantage de l'absurde sous un air faussement naïf.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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