Leurs prêtres réclament toujours plus de victimes. Cela finit par dénaturer la nature des sacrifices. C'est prendre les dieux pour des marchands avides d'augmenter leurs affaires.
Alors que vous êtes enlacé dans l'obscurité avec Joséphine, et proche du septième ciel, vous ressentez une vive douleur à la fesse. Dérangé dans son habitude de dormir avec sa maîtresse et jaloux, le petit chien vous a cruellement mordu. Voilà une blessure qui n'aura pas été acquise au service de la République.
La guerre sainte ? Je n'ai jamais entendu une idée aussi absurde. Je connais la guerre, et ce n'est pas une chose sainte. sous prétexte de donner un sens à sa vie, la religion mène décidément à tout.
Là j'étais en terrain familier. C'était toujours pareil. Favoriser les hommes ce n'était pas nouveau. Chez moi, comme chez les blancs.
S'il faut violer la justice, ce ne doit être que pour régner.
Cortés citant Cicéron.
Qui entend oublie, qui voit se souvient, qui fait comprend.
"... Chacun d'entre nous a bien une entité individuelle. Chacun de nous naît seul, vit seul, meurt seul. Mais ces entités, agrégats de corps et d'esprits, que nous appelons Moi, sont en évolution permanente. Elles ne sont, ni stables, ni définitives.
Ce moi à qui nous consacrons l'essentiel de nos espoirs et de nos énergies pour le mettre en valeur ou lui procurer des plaisirs, que nous préférons à tout, qui est au centre de toutes nos attentions, est la source des attachements et des aversions, et donc de la souffrance. Il n'a pourtant pas de réalité solide, ne résidant ni dans le corps, qui évolue et qui est voué à l'extinction, ni dans la conscience, qui évolue et qui est voué à l'extinction.
Ce qui est vrai du Moi l'est aussi de tout ce qui constitue l'univers. Rien n'y est définitif, rien n'y a d'essence individuelle propre, indépendante du reste. Cette vérité est difficile à admettre et à comprendre, seuls les méditants en sont capables".
Le taoïsme prône la liberté joyeuse, la vie en harmonie avec la nature et le détachement individuel ou "non agir", qu'on appellerait plutôt aujourd'hui "lâcher prise". On dit qu'il a beaucoup fait pour donner aux Chinois un penchant à la bonne humeur.
Timide, modeste et pudique, la jeune Tamoule a un corps à faire damner les saints, et elle vous procure toutes les joies qu'un homme peut espérer atteindre. Après des moments affolants mais délicieux passés avec elle, elle vous fait comprendre dans un mauvais anglais qu'un grave danger vous menace.
Après avoir repris péniblement vos esprits, vous réalisez que vous êtes attachés dans ce qui paraît être l'aile d'un temple perdu dans la jungle[...] Trois gardes birmans de Rashid Khan s'approchent et vous inspectent quelques secondes, puis ils entreprennent méthodiquement de vous étrangler avec un linge qui ne laisse aucune trace sur votre cou[...] Les Birmans serrent consciencieusement votre cou pendant plusieurs minutes, puis vous brisent les vertèbres cervicales pour ne prendre aucun risque. Votre corps sera ensuite piétiné par un éléphant.