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Citations de Phoebe P. Campbell (80)


_ Ok, il a un passé qui mérite d'être creusé, mais vas-y, creuse! Et si tout va bien, fonce. Tu as quitté Abraham parce que tu étais en train de te dessécher d'ennui et là, tu es devant une belle histoire d'amour passionnée et tu te la joues effarouchée? Je te préviens, si tu n'y vas pas, moi, j'y vais!
Laisser Théo à une autre? Pas question! Pas même à ma meilleure amie!
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-Juliette...Tu sais que je t'aime,plus que je n'ai jamais aimé qui que ce soit.Tu es entrée,dans ma vie,tu as bouleversé mes habitudes,malmené mes certitudes et...pris possession de mon coeur,déclare-t-il d'une voix émue.J'aimerais,si tu le souhaites,partager le reste de mon existence à tes côtés,alors veux-tu m'épouser?termine-t-il en ouvrant l'écrin.
...
C'est dans un souffle que je lui accorde ma main,tellement bouleversée par cet instant que j'en perds tous mes moyens.

-Oui...bien sûr que je le veux.
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-Toute la journée,j'ai pensé à toi,à la saveur de ta peau,à tes seins,tes fesses,tes mains sur moi ...
-Darius,arrête.
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-Juliette,je suis désolé,je pensais sincèrement que l'amour que je te porte se voyait suffisamment pour que tu n'en doutes pas.Je ferai attention à te le répéter,alors, ajoute-t-il avec un air faussement discipliné.
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– Clara, je vais être direct. Le client qui doit venir demain après-midi pèse plusieurs milliards de dollars et c’est une pointure dans le monde des arts. Et surtout, surtout, c’est quelqu’un qui exige toujours la plus grande discrétion !

Mon boss, John Baxter Jr., est dans tous ses états. Âgé de 50 ans, il a conservé un air juvénile, davantage dû aux traits de son visage qu’à l’entretien de son corps. Avec son nez fort, des petits yeux noisette et une bouche fine, je ne peux pas m’empêcher de lui trouver un profil de rongeur… Pour l’heure, d’un mouvement de tête nerveux, il ne cesse de ramener en arrière ses longs cheveux fins. Chaque fois qu’il est anxieux, et il l’est souvent, il fait ce geste.

Il va finir par se faire mal.

– Vous m’écoutez, Clara ? relance-t-il, sa voix montant dans les aigus.

– Oui, monsieur Baxter.

Depuis un an que je travaille dans sa galerie d’art, j’ai largement eu le temps de prendre la mesure de sa personnalité… difficile. Mais je lui reconnais une qualité : il sait attirer les artistes talentueux et les acheteurs fortunés. Et s’il me dit que le client qu’on attend est une pointure, ça signifie que s’il achète une œuvre, la cote de l’artiste va grimper en flèche et nos commissions aussi. Je suis donc tout ouïe.
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Je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne d'autre,Juliette.
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A tous ces doutes, je ne peux qu'opposer l'incroyable gentillesse dont il a fait preuve avec moi jusqu'ici et, soyons tout à fait honnête, sa beauté et sa sensualité.

Avec lui, j'éprouve des émotions et des sensations que je n'avais expérimentées ! Le souvenir de nos étreintes me revient et fait aussitôt réagir mon corps. Je ferme les yeux et, un instant, je peux presque sentir les caresses de ses mains sur ma peau.

C'est incroyable, même absent, il me fait de l'effet !


Charlotte a raison : pour la première fois, j'en oublierais presque mon travail !
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Ses lèvres sensuelles esquissent un sourire qui creuse deux fossettes,lui donnant soudain un air presque enfantin,contrastant avec la gravité de son regard qui ne me lâche pas.
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"Toutes les femmes devraient pouvoir vivre une passion dans leur vie." # Jane
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-Juliette,je suis désolé.Cet appel était trop important pour que je l'interrompe,trop de gens dépendent de cette négociation.Mais j'ai pensé à toi sans arrêt depuis que je suis parti.À chaque minute,tu étais avec moi.J'ai attendu le moment ou je pourrais te serrer contre moi depuis le premier jour ou on s'est quittés.
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Mais bien vite,je n'ai plus à m'en préoccuper.Darius se recule,ses mains sur ma peau,puis me murmure de sa belle voix grave:
-Je t'aime,Juliette.
Une vague de chaleur s'empare de moi.Je m'entends répondre''moi aussi'',puis mon pyjama vole,tandis que je m'efforce de détacher la boucle de ceinture de Darius.
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Vous n'êtes plus la bienvenue partout où je me trouverai. Et soyez sûre que j'emploierai tous les moyens nécessaires pour vous chasser si vous m'en donnez l'occasion. Je veux que vous disparaissiez.
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De son autre main, il continue à me caresser les fesses, les palpe, les écarte, s'aventure jusqu'à mon intimité encore sensible. Je gémis doucement. Sans pouvoir m'en empêcher, je sens mon dos se creuser pour lui faciliter le passage. Il continue plusieurs minutes, patiemment. Je m'agrippe à ses épaules, cambrée à l'extrême, gémissant plus fort chaque fois que ses doigts glissent du creux de mes reins jusqu'à atteindre mon sexe, qu'il caresse d'un simple aller-retour, effleurant à peine mon clitoris gonflé. Son geste est à la fois délicat et impudique.

S'il continue, je crois que je pourrais jouir encore.

Mais je ne veux pas jouir de nouveau sans lui avoir donné du plaisir. Je m'oblige à me soustraire à sa caresse pour me saisir moi aussi d'un flacon de savon liquide. Je verse au creux de ma paume le liquide crémeux blanc nacré, au subtil parfum, et je commence à mon tour à savonner le corps de Darius, qui continue à passer ses mains sur moi, se concentrant toujours sur mes fesses.

Je n'avais jamais remarqué cet intérêt, mais ça me va !

Je joue avec la mousse onctueuse sur son torse, ses bras, je descends vers son intimité. Sa respiration s'accélère légèrement tandis que mes doigts, légers, frôlent sa verge toujours en érection. Je la caresse délicatement sur toute sa longueur avant de l'empoigner carrément.
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- Là, tout de suite, J'aimerais plonger les mains dans tes cheveux,renverser ta tête en arrière et t'enbrasser le cou, les seins... le ventre...énuméré-je sans chercher à dissimuler mon excitation croissante.
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Effectivement, on m’aurait dit, il y a quelques mois, que j’en serais ici aujourd’hui, je n’y aurais jamais cru. Mais je ne sais plus qui a dit que la vie avait plus d’imagination que nous… et rien n’est plus vrai.


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Seuls les « agitateurs d'idées » sont sur les dents, à la recherche d'un nouveau concept qui révolutionnerait le marché de la cosmétique de luxe.
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On n'aime que ce qu'on ne possède pas tout entier...
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Soudain,je comprends:il a de nouveau glissé sa main entre mes jambes et observe attentivement mes réactions tandis que ses doigts s'avancent inexorablement vers ma culotte.Pour échapper à la lueur fauve,je ferme les yeux.Sa main s'immobilise aussitôt.
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Soudain, un flash m'éblouit. Je retire ma main, bredouillant un remerciement pour m'avoir accordé l'entretien et me dépêche de quitter les lieux. Je sors précipitamment du bar, bousculant presque un paparazzi posté devant la vitrine. Puis je hèle un taxi pour retourner au Plaza, pressée de retrouver Darius au plus vite. Outre la hâte que j'éprouve à me jeter dans ses bras, je suis impatiente de savoir comment s'est déroulée sa rencontre avec sa jeune cousine Bethany.
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Mais alors que j’en suis encore à espérer ne pas trop avoir manqué de dignité, cet homme sublime se tourne vers moi et saisit ma main pour la serrer. Ce simple contact m’électrise. Je balbutie quelques mots pour lui souhaiter une bonne fin de journée.

– Je vous remercie. Ce fut un plaisir, me dit-il, de sa voix chaude et sexy.

– Moi aussi. Pour moi aussi, pardon, balbutié-je, me sentant rougir encore une fois.

Je hais ma peau de blonde.

Il sourit, vraisemblablement amusé de mon embarras.

– Si je puis me permettre, vous maîtrisez bien mieux l’art contemporain que le chardonnay, ajoute-t-il avec une lueur malicieuse au fond de ses yeux bruns.

J’en reste sans voix. Non seulement c’était bien le type de la veille, mais en plus, il m’avait tout à fait reconnue. Je ne sais pas si je dois hurler de joie ou creuser un trou pour m’y cacher jusqu’à la fin de mes jours.

Sa main presse légèrement la mienne, provoquant un véritable tsunami de sensations dans mon corps. J’ai des papillons dans le ventre, des fourmis dans le bas du dos et des frissons qui me parcourent la nuque… Je remarque qu’il semble ne pas pouvoir se résoudre à me lâcher, lui non plus.
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