Le 14 mai dernier au PlayAzur Festival nous avons rencontré le talentueux Francesco Manna, artiste italien passé par Old Man Logan et les 4 Fantastiques, qui a dessiné coup sur coup deux des comics Marvel les plus intéressants de ces dernières années : la refonte made in Marvel avec Kyle Higgins et Mat Groom d'Ultraman, le héros culte japonais ; et la sanglante série Carnage avec Ram V !
Au tour de son travail sur Carnage d'être abordé dans cette deuxième vidéo.
Merci à Jose Maniette d'Univers Comics le Mag' pour son accueil et son aide précieuse à la traduction.
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On ne se remet jamais vraiment de son premier cœur brisé.
Je n'arrive pas à comprendre cette obsession que les mortels ont pour la mort. La cérémonie. La gravité du rituel.
Ce n'est pas pour les Dieux que je danse, mais qu'ils regardent, s'ils le souhaitent.
Peut-être que tu ne comprends pas parce que tu es la déesse de la mort. Mais nous les mortels ... On ne travaille pas les uns sans les autres.
Pourquoi as-tu pris Menaka ? Comment je suis censé vivre,maintenant ?!
Je ... n'ai rien fait ! Je ne suis plus une déesse, Darius. Je voulais seulement ..
Mensonges ! Regarde-toi !
Aucun d'entre nous n'a droit à une deuxième chance, et encore moins une troisième, Laila Starr. On dirait que le monde est incapable de se débarrasser de toi, même s'il le voulait. Qu'est-ce qui te rend si spéciale ?
Fais attention à ce que tu plonges dans l'eau car une fois immergées, les choses changent de forme.
Nous espérons noyer nos péchés dans son étreinte glacée, mais prends garde à la forme que revêtent les choses oubliées. Une fois immergés, nos peurs et rêves nous échappent.
Elles appartiennent aux ténèbres des profondeurs, à leur lit mouvant et au Roi des Mers.
L'Humanité ne peut être sauvée si personne ne la croit capable de s'améliorer.
Peut-être que c'est facile de manquer ça quand on est une déesse. Mais quand on est mortel, il y a toujours ce moment. Au milieu de la douleur, du désespoir et de tous les outrages subis par un corps mourant, il y a ce moment de grâce.
Qui peut dire exactement comment les choses s'achèvent ?
S'il y a bien quelque chose que nous avons apprise, c'est que la fin de la vie n'apporte aucune réponse. [...]
Peut-être suffit-il de se souvenir qu'à la fin de l'histoire, le miracle, c'est tout simplement d'avoir vécu.
(p. 123 et 124)
C'est ce qui se passe quand les choses meurent.
Elles disparaissent, mais ce n'est qu'après que tu comprends l'ampleur du vide qu'elles laissent en toi.
(p. 71)
Qu'y a-t-il au-delà de l'horizon ?
Ai-je murmuré à la mer vaillante.
Et elle m'a répondu, au gré d'une vague douce et bienveillante,
De l'amour et des erreurs, des victoires et des peines de cœur.
Moi qui pensais que tout ça était déjà derrière moi.
(p. 117)