Pour le plus grand nombre il n'y avait rien à partager. Il n'y avait plus de propriété individuelle.
Plus de vie privée.
Plus de droit, si ce n'est d'obéir, encore et encore, jusqu'à l'épuisement...Jusqu'à l'anéantissement.
...Sans jamais savoir pourquoi la révolution exigeait tant de sang.