Citations de Linda Joy Singleton (144)
Je ne suis pas mieux que morte.
Enfin, est-ce que j'aurais dû touner à gauche ou à droite à la Lumière ?
Vraiment excellent,car,a chaque chapitre tu as du `suspence`. Tous l'histoire dépent des gouts!
j'ai adorer se livre car moi j'aime surtout les livre d'amour et ce livre en n'est un .
Moi je n'aime pas trop la lecture sauf que dans se livre j'ai vraiment accrocher ...
Je vous le conseille
Je n'en revien tous simplement pas!
Ce livre est le meilleur (a date) que j'ai lus de vision! C'est vraiment écoeurant; il y a pleins d'aventure et de punch, également d'amour et finalement toujours un mouvement important. Wow! Mais... Je ne veux pas donner 5 étoiles. Je veux donner 10 étoiles!
J'aurais vraiment dû être terrifiée mais maintenant que je n'étais qu'à un soupir de pouvoir me servir de mon mebo, je me sentais plus brave.
-Certainement, j'ai une arme semi-automatique cachée dans mes mains.
Il s'approcha de mes mains, puis il se rendit compte que je me moquais de lui et il eut une expresion que je ne pouvais que décrire comme une expression de malaise.
-Tu n'est pas en position de plaisanter.
-Je ne suis pas en position de faire grand-chose.
-Alors, pourquoi le sarcasme quand tu devrais supplier pour la clémence.
Il se pinca les lèvres.
-Ne te rends-tu pas compte de ce qui t'arrive?
-Des trucs arrivent. Tel que le conseillait un de mes livres, la pierre qui roule avec le courant atteint rapidement son but. Donc, pourquoi me stresser par rappord à quelque chose sur laquelle je n'ai aucun contrôle.
-C'est un conseil bizarre. Dans quelle sorte de livre as-tu trouvé ça?
-Ce sont les ratés qui atteignent le vedettaria.
-Ce livre existe vraiment, dit-il en s'agenouillant près de moi ou bien plaisantes-tu encore?
Bonjour a vous !! J ai lue la série Vision et morte vivante j ai beaucoup aimé et j espere qu il va y avoir une suite continuer votre beau travaille .
l hésita a peine un instant puis il déposa ses levre avidement sur les miennes. les mains qui m'attiraient vers lui étaient étrangement rude, et pourtant étonament tendres. nos coeurs battaient a un rytmes fou et je goutai a ses levres salée pleines de désir.
sabine...sabine... encore ce nom pensai-je avec irritation. l'énergie déferla puis se retira. un éclair de lucidité traversa mon esprit et je revin a la vérité. cétait comme s'éveiller d'un reve brusquement. je clignait des yeux rapidement, la panique montant en moi. que venait il de se passer pourquoi étais je en train d'embrasser dominic.
je reculai de quelques pas et je fixai le garcon qui était sous le coup de l'émotion. l'air dérouté il tendit la main vers moi mais je reculai davantage.
-quelque chose ne va pas, s'enquit-il.
-tout hoquetai-je. comment as-tu pu... je n'arrive pas a croire que je vien juste...que nous nous sommes...
-embrassés ,fit dominic en souriant.
-oh, mon dieu. m'exclamai-je.
-est-ce un compliment ou une plainte.
-tu ne comprend pas, ce n'était pas moi cétait....ELLE.
C'est un livre très amusant à lire.
Je ne pouvais ouvrir une fermeture à glissière pour sortir de ce corps. Je n'étais pas moi, et pourtant je n'étais pas Leah non plus. Une non-personne, voilà ce que j'étais - sauf qu'à l'intérieur, j'avais l'impression d'être la même Amber Borden. Tout ce qui était relié à l'identité se trouvait sous la peau : les peurs, les espoirs, les sentiments et les souvenirs. Je savais qui j'étais - mais comment pourrais-je convaincre qui que ce soit d'autre ? Surtout tant que j'étais prisonnière d'un hôpital où l'on m'avait enlevé la permission de téléphoner, et tant que je n'avais aucune force pour sortir du lit. Je devais imaginer une façon de me sortir de ce chaos, mais j'étais tout simplement trop fatiguée.
Il jeta un coup d’œil vers la salle de bain où j’entendais un bruissement d’eau.
— Tu possèdes un faucon ? questionnai-je.
— On ne peut pas posséder des animaux sauvages, mais ce faucon me fait confiance. Si tu avais crié, il aurait paniqué et il se serait blessé. Hé, détends-toi. Je ne vais pas t’attaquer.
— Ah ! merci bien, rétorquai-je avec sarcasme. Je suis tellement rassurée. D’après toi, qu’est-ce qui vient tout juste de se passer ? C’était une poignée de main amicale ?
— Hé, c’est moi qui saigne.
J'écoutai la tonalité pendant de longues minutes, la tête me tournant. En état de mort cérébrale? Don d'organes - de MON corps! Que croyaient-ils? Que j'étais morte? Bien, si je ne les arrêtais pas, je le serais vraiment.
Ce livre est très amusant à lire.
-Sabine, puis-je entrer?
En levant les yeux, j'aperçus Dominic qui se tenait
debout dans l'embrasure de la porte.
-Que fais-tu ici? le questionnai-je avec brusquerie
Il bougea légèrement les pieds, l'air mal à l'aise.
-J'ai quelque chose à te demander
-Fais ça vite, répondis-je en indiquant mon ouvrage de broderie. Je suis assez prise en ce moment
-C'est à propos de ce que tu as dit, le fait que tu aies vu ma mère.
-Oublie ça, j'avais des hallucinations.
-C'est ce que j'ai d'abord pensé...
Dominic s'approcha plus près de moi et, bien qu'il ne fut pas aussi grand que Josh, sa forte présence remplissait ma chambre.
- Sauf que depuis, j'ai trouvé une chose étrange, poursuivit-il.
Mon aiguille glissa et me piqua légèrement un doigt. Je grimaçai.
-Quoi?
-Ceci, répondit le garçon en me tendant une pièce de monnaie argentée. Elle était dans ma poche.
-Et après, ce n'est qu'une pièce de cinq cent des plus ordinaires.
- Tu sais que c'est plus que ça. Elle a été frappée l'année de ma naissance.
- Je n'ai aucune de ce dont tu parles.
La pièce vibrait dans la paume de ma main; alors, je la lançai à Dominic sans la regarder.
Il l'attrapa et m'observa d'un air accusateur.
-Tu connais pas mal de choses, n'est-ce pas?
Je lui indiquait la porte.
-Sors.
-Je ne vais nulle part avant que tu m'aies expliqué. Comment savais-tu à propos de ma mère? Est-ce Nona qui t'en a parlé? Est-ce que c'était un genre de truc? Ou l'as-tu vraiment vue?
-Tu étais là, trouve la réponse.
-Je pense que je l'ai découverte, dit doucement Dominic. Cependant, je n'arrive pas à comprendre pourquoi tu as menti à ta grand-mère en lui disant que tu avais perdu ton don.
-Je ne sais pas de quoi tu veux parler! m'exclamai-je en me croisant les bras sur la poitrine. Et qui te croirait de toute façon.
-Personne n'a besoin de me croire.
Dominic jeta un coup d'œil à l'étagère où je rangeais mes veilleuses et glissa le bout de ses doigt calleux sur l'aileron pointu d'une veilleuse en forme de requin.
- Tu vas le dire à ta grand-mère.
-Ah oui?
-Oui. Et tu as vingt-quatre heures pour le faire.
- Sinon quoi? m'informai-je d'un ton sarcastique. Tu me dénonceras?
-Si je le dois, s'écria Dominic, l'expression de son visage aussi difficile à lire que celle de son faucon.
-Vas-y. De toute façon, ma grand-mère ne te croira jamais.
-En es-tu certaine? Ne t'es tu pas demandée pourquoi Nona m'avait invité à venir m'installer ici.
-Non, mentis-je.
-C'est en partie parce qu'elle connaissait ma mère. Le reste concerne mes talents inhabituels et Nona m'a prié de ne pas t'en parler. Elle s'inquiétait du fait que tu en serais contrariée parce que tu n'avais plus le don de voyance.
Dominic émit un grognement.
- Je crois que c'est elle, le dindon de la farce, poursuivit-il.
J'enfonçai les doigts dans mon tissu brodé.
-Ce qui se passe entre Nona et moi ne te regarde pas.
-Ça me regarde depuis qu'elle m'a demandé de prendre ta place.
-Ma place?
Ces mots me firent l'effet d'un coup de marteau au cœur.
- Tu es si occupée à traîner avec tes amies et à sortir avec ce poids plume qui fait semblant de faire de la magie que tu ne sais même pas ce qui arrive à ta propre grand-mère, me fit remarquer Dominic. Lorsqu'elle a eu besoin de toi, tu lui as déclaré que tu avais perdu ton don. Alors elle s'est choisi un nouvel apprenti, quelqu'un à qui elle pouvait confier ses secrets en toute confiance.
-Toi? murmurai-je.
Le garçon hocha la tête de façon solennelle.
-Mais pourquoi?
-C'est à elle de t'expliquer ça. J'en ai déjà trop dit.
Dominic tendit la main vers la poignée de porte.
-Si tu ne le dis pas à Nona d'ici demain midi, je vais le faire, me menaça-t-il.
Il sortit de la chambre à grandes enjambées, me laissant bouche-bée.
Ne meurs pas libellule a été un très bon début pour continuer a lire ces extraordinaire livre!!
J'écoutai la tonalité pendant de longues minutes, la tête me tournant.
En état de mort cérébrale ? Don d'organes - de MON corps!
Que croyaient-ils ? Que j'étais morte ? Bien, si je ne les arrêtais pas, je le serais vraiment.
Dominic se tenait à côté d’elle. Mi-homme à tout faire, mi-apprenti, Dominic demeurait un mystère pour moi. Il semblait plus vieux que moi de quelques années, mais il n’allait pas à l’école et il ne parlait pas de son passé. Tout ce que je savais, c’était que sa mère était morte, qu’il avait souffert des abus d’un oncle cruel et qu’il avait une connexion inhabituelle avec les animaux.Comme d’habitude, ses cheveux châtain clair ondulaient à leur gré, et il portait un jean usé et des bottes de cowboy. Il se penchait vers Nona d’une façon protectrice, mais, quand il se tourna vers moi, son regard bleu durcit comme de la pierre.
— Allez, Sabine, crache le morceau ! dit Penny-Love pendant que les pom-pom girls se pressaient plus près de moi autour de la table. Comment était ton grand week-end ? Josh a-t-il aimé tes parents ? Et eux, ont-ils aimé Josh ? Êtes-vous allés en douce dans ton ancienne chambre, toi et lui ?
Tout le monde rigolait, et je rougis. Quand Penny-Love m’avait invitée à me joindre à elle et à quelques autres pom-pom girls chez Pepper’s Pizza après l’école, je pensais qu’elles allaient discuter de leurs projets pour la kermesse du Club des champions. J’ignorais que ma vie amoureuse serait au menu. Fiez-vous à la reine des potins pour transformer la fête d’anniversaire de mes sœurs jumelles en une partie de plaisir déchaînée.
— Non, répondis-je fermement, Josh n’a pas vu ma chambre.