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Citations de Sophie S. Pierucci (69)


Matthew avait tort. Aimer, ce n’est pas seulement sentir son cœur s’emballer ou sa bouche s'assécher. Aimer, c’est se sentir mourir quand l’autre est loin de soi pour toujours. Aimer, c’est rattacher chaque ressenti, chaque image, chaque phrase à un souvenir de l’autre. Aimer, c’est la pire chose qui me soit arrivée.
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Le prince charmant n’existe pas, c’est un ramassis de conneries pour jeunes filles afin de pérenniser l’espèce humaine.
Rencontrez quelqu’un! Mariez-vous ! Faites des enfants! La vie est belle!
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Aimer, c'est rattacher chaque ressenti, chaque image, chaque phrase à un souvenir de l'autre.
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Bordel, ce mec est une bombe humaine. Je persiste, le Seigneur est fou! Un nez fin, une bouche large aux lèvres pleines et une mâchoire carrée. N'importe quelle fille rêverait d'un tel étalon. Il faudrait juste qu'il soit muet et certainement moins con!
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La passion ne doit pas se vivre, elle se vit. Simplement. Nous ne faisons pas ce que nous aimons par obligation, mais seulement parce que nous le voulons profondément.
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Expression débile. Refaire sa vie. Je n’avais aucune intention de la refaire, je l’améliorais. Nuance. 
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La maltraitance psychologique ne se voit pas et laisse pourtant bien plus de traces que la maltraitance physique, parce que personne ne nous croit.
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– Je suis toute nue devant ma penderie.
Bordel ! Je bondis sur mes jambes. Elle est toute nue. Et je suis au téléphone avec elle. Je me pince l’arête du nez les paupières fermées avec férocité. Je ne dois pas y penser, je ne dois pas y penser ! Je ne peux pas m’en empêcher. Est-elle debout, assise sur son lit ou allongée les membres écartés comme l’autre jour ? J’ai chaud.

Elle reprend, dans un profond soupir :
– Je voulais faire simple, mais à cause de toi je me demande si je dois mettre du coton dans mon soutien-gorge !

C’est de pire en pire. Maintenant je l’imagine sous-pesant sa poitrine d’une main tout en me faisant la conversation. J’ouvre l’eau froide et me rafraîchis la nuque tout en raillant faussement :
– Tu as un réel problème avec tes seins ! Je te l’ai déjà dit, petits ou gros, ça n’a pas d’importance.

– Ils ne sont pas proportionnels au reste de mon corps. Je te laisse imaginer ce que tu ressentirais si tu avais une petite bite et les couilles d’un éléphant.

– Je m’en ferais enlever une.

Elle glousse.
– Je vais me faire raboter les fesses alors…
– Oh, bon Dieu, non, Cassie ! Laisse ton cul tranquille, il est fantastique !

Oh merde, qu’est-ce que j’ai dit ? Un long silence se fait. Je regarde l’écran de mon téléphone, elle n’a pas raccroché alors que je viens d’avouer à voix haute que je la regarde différemment : comme un homme qui pourrait potentiellement avoir envie d’elle. Est-ce le cas ?
Je me ressaisis dans un soupir :
– Je suis désolé. Ça n’est pas normal que moi, je te dise ce genre de truc, n’est-ce pas ?

– Non, répond-elle inflexible.

Je m’attrape les cheveux à pleine main et tire dessus. Bordel, je ne suis qu’un con j’ai tout gâché. Je m’apprête à lui répéter que je suis désolé quand elle reprend d’une voix taquine :
– Pour les autres sans doute. Mais nous savons tous les deux que nous ne sommes pas frère et sœur…
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Pour les autres, sans doute. Mais nous savons tous les deux que nous ne sommes pas frère et sœur...
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Pipi, c’est un mot virus. Il suffit de le penser pour en avoir envie.
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Tu es jeune. Si découvrir ta sexualité, t’ouvrir aux autres, t’amuser est ce que tu souhaites, je resterai en retrait. Je serai ton ami, tu pourras toujours m’appeler pour des conseils mais ça s’arrêtera là. Je ne veux pas être le second. Je veux être le seul.
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Dois-je en conclure qu'à Seatle, la réponse sera oui ?
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- Que veux-tu que je sois ?
- J'avoue... adorer... mon connard de voisin, haleté-je.
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À chaque caresse qu’elle m’offre, je m’électrise un peu plus. Son souffle brûlant est aussi chaotique que le mien. J’ai de plus en plus de mal à me retenir de l’embrasser. Sa bouche est si près, je crois même que ses lèvres ont frôlé les miennes.

– Est-ce que c’est… bon ? demande-t-elle en continuant sa caresse sur ma virilité.

J’ai envie de lui dire la vérité, qu’elle me rend fou, que je suis fou d’elle, de plus en plus… Mais je ne suis que son professeur. À cet instant, je me dis que je suis foutu parce que je vais être incapable de tenir ce rôle très longtemps. Elle ne sera plus jamais mon élève dans ma tête.

– Devine, je lui réponds d’une façon que j’espère neutre. Sers-toi de tes sens.

Je remonte mes mains le long de son ventre, sa poitrine se gonfle. Je la plaque plus fort contre le mur. J’attrape sa poitrine. Elle se laisse faire. Ses seins sont petits mais fermes : ses tétons percent le tissu de sa robe. Je les taquine de mes pouces, elle gémit, cramponnée à ma nuque.

Elle se ressaisit, presse plus fort mon membre et me souffle, fidèle à elle-même :

– Tu respires de plus en plus vite, ton sang pulse fort contre ma paume, tes phrases sont de plus en plus courtes, et tes doigts vont laisser des marques sur mes seins.

– Et mes yeux ?

– Je n’en sais rien. J’ai tellement envie de t’embrasser.
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L’alcool agit comme mon pire ennemi. Mes neurones carburent à plein tube et je dois faire preuve d’une force surhumaine pour ne pas m’immiscer sans arrêt dans leur conversation. J’y étais presque.
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Elle éclate de rire et toutes mes cellules se parent d’ailes de papillons.
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Nous ne serons jamais un couple. Jamais. Il le sait. C’est peut-être aussi la seule chose qu’il sait de moi. Oh mon Dieu, Noah a les mêmes connaissances sur moi que mon gynécologue !
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— À mon école, je suis le seul à ne pas avoir de papa.
Je déglutis. Je pouvais lui apprendre à faire du surf, lui montrer comment faire rougir sa mère, lui trouver de nouvelles cachettes pour ses bonbons, mais le sujet paternel, ça n’était pas mon fort.
— Tu sais, Ethan, commençai-je, l’important, ça n’est pas tellement d’en avoir un, c’est surtout d’être aimé par les personnes qui nous entourent. 
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Reste à savoir si c'est par dépit ou par choix.
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On a toujours besoin que nos parents fassent des choix. Pas seulement qu’ils nous réprimandent ou nous expriment leur désaccord, mais aussi simplement qu’ils nous écoutent.
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