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Citations de John Stephens (23)


- Abandonnée par ceux que vous chérissez le plus au monde. La blessure est là, comme un ombre au-dessus de vous. Mais je peux la faire disparaître. Ce serait si facile...Elle écarta la main. Un filament gris en spirale tenait à son doigt. On aurait dit qu'elle le sortait de la poitrine de la jeune fille.
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"La petite fille fut tirée de son sommeil. Sa mère se penchait au-dessus d’elle.
- Kate, lui disait-elle d’une voix basse et pressante, écoute-moi bien. J’ai besoin que tu fasses quelque chose pour moi. J’ai besoin que tu t’occupes de ton frère et de ta sœur. Tu comprends ? Il faut que tu t’occupes de Michael et d’Emma
- Qu’est-ce...
- Je n’ai pas le temps de t’expliquer. Promets-moi que tu veilleras sur eux.
- Mais...
- Oh, Kate, je t’en prie ! Promets-le-moi !
- Je... je te le promets.
C’était Noël."
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- Chut, tu vas apprendre quelque chose. Les Chroniques sont un registre - on pourrait même dire LE registre - de tout ce qui vit. Toute créature qui marche, parle, respire, chante, rit, pleure, court ou fait des bulles (j'adore faire des bulles !) figure dans ces pages. Et la liste se modifie sans cesse, à mesure que la vie autour de nous commence à poindre ou à décliner.
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- Vous voulez dire qu'il y en a plusieurs ? intervient Kate.
- Oui. Les magiciens ont rédigé trois grands livres, qu'ils ont intitulés les Livres des Origines. Et ils les ont enfouis très profondément sous la cité, dans un caveau secret.
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"-Nous ne sommes pas des orphelins, coupa Kate.
-Je vous demande pardon ?
-Les orphelins sont des enfants dont les parents sont morts, précisa Michael. Nos parents ne sont pas morts."
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Mes amis, nous avons toujours su que se jour viendrai.
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Michael s'était précipité pour écarter les braises à mains nues en criant le nom de sa sœur.
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Kate entendit de nouveau le violon .Ténu au début, il l'appelait, il l'invitait à danser ; il lui disait que le jour touchait à sa fin, que le monde était en feu ; il lui conseillait de danser pendant qu'il était encore temps ; il lui parlait de villes incendiées, de peuples qui fuyaient, terrorisés, de ténèbres,de destruction, de chaos et de ruines ; viens, l'appelait la musique, entre dans la danse, entre dans la danse. Elle touchait un point sensible tout au fond de son être, et Kate sentit avec horreur qu'une partie d'elle-même se laissait tenter ; elle avait envie de tournoyer, de vivre, ne fût-ce qu'un instant, avant que tout ne s'achève, plus de soucis, plus de pensées, puis, soudain, elle se retrouva face à un squelette aux yeux étincelants, et elle eut un brusque mouvement de recul, comme si on venait de l'attirer au bord d'un gouffre. La musique se tut .
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Though wizards, they were also men. And like men throughout time, they could not imagine a world where they would cease to matter. So what did they do, these wise, foolish men? They wrote their secrets down, those things said at the birth of the universe, the words spoken aeons ago, in the darkness and the silence, to call everything into being, all so that they, through their knowledge, would endure.
(…) Their ancestors had understood. Some things are too powerful to be controlled by any one person. For this reason, the knowledge had always been divided among the council, with none knowing exactly what the other possessed. In this way, there was safety. When it was proposed that the secrets be collected, there were voices that argued against it. Who said such power, gathered together in one place, was too dangerous, that perhaps it should be lost. But other voices won out, and thus the great magics were commited to simple paper. (p. 106-107, Chapitre 7, “Guests of the Countess”).

Tentative de traduction : « Tout magiciens qu’ils étaient, c’étaient aussi des hommes. Et comme les hommes de tous temps, ils ne pouvaient imaginer un monder où ils auraient cessé d’être. Que firent alors ces hommes sages et fous ? Ils écrivirent tous leurs secrets, ces paroles dites à la naissance de l’univers, ces mots prononcés dans la nuit des temps, dans la nuit et le silence, pour créer toutes choses, pour ainsi continuer à exister, à travers leur savoir.
(…) Leurs ancêtres l’avaient compris. Certaines choses sont trop puissantes pour être contrôlées par une seule personne. C’est pourquoi ce savoir avait toujours été partagé entre les membres du conseil, sans qu’aucun ne sache tout à fait ce que l’autre possédait. Ainsi, la sécurité était préservée. Quand il fut suggéré que tous les secrets soient réunis, des voix s’y opposèrent. Disant qu’un tel pouvoir, rassemblé en un seul lieu, était trop dangereux, qu’il valait peut-être mieux qu’il soit perdu. Mais les autres voix l’emportèrent, et ainsi, toutes les grandes et belles magies furent réduites à des mots sur le papier. »
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“Yes, if we confront the witch and fail, we are doomed. All we are, all our history, all our stories, will be wiped from the memory of the world. And yet”-she turned slowly, looking across the congregation-“we have no choice but to fight.” (p. 255, Chapitre 15, “To the Dead City”).

Tentative de traduction : « Oui, si nous nous soulevons contre la sorcière et que nous échouons, nous sommes perdus. Tout ce que nous sommes, toute notre histoire, toutes nos légendes, seront effacés de la surface du monde. Et pourtant, dit elle en tournant doucement sur elle-même, regardant l’assemblée, nous n’avons d’autre chose que de nous battre. »
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John Stephens
...Michael avait entendue géant murmurer : "Je ne vous abandonnerai plus"...
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Il n'est pas d'enfer ou de paradis que nous n'ayons nous-mêmes créé.
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Il y a des choses qui valent la peine qu'on meure pour elles. L'amitié. La loyauté. L'amour.
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Les pages étaient blanches, mais cela ne l'étonna pas plus que cela. Les pages de l'Atlas et des Chroniques aussi étaient blanches. Malgré la fraîcheur ambiante, Emma commença à transpirer. Elle n'avait pas besoin d'aller plus loin. Elle avait le livre maintenant. Il suffisait de le prendre et de trouver comment rentrer. Elle avait fait ce qu'elle avait à faire.
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— Elle sait que vous arrivez.
— Elle ? Le dragon est une dragonne ?
— Oh oui. Rappelez-vous que vous êtes en sécurité pour autant que vous soyez le vrai Conservateur. Elle sert le livre, et le livre sert le Conservateur.
— D'accord.
— Si vous n'êtes pas le vrai Conservateur, il y a toutes les chances pour qu'elle vous dévore.
— D'accord.
— Elle vous fera peut-être rôtir avant.
— D'accord.
— Ou elle vous avalera tout cru.
— J'ai compris.
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Michael cessa de se contenir. Fini le comportement amical pour établir le contact : il avait envie de saisir l'homme par la barbe et de le secouer.
— On ne peut pas.
— On ne peut pas quoi ? On ne peut pas nous le dire ? Parce que mon ami, là...
— On ne peut pas la soigner. Pas d'antidote. En tout cas, pas que Bert connaisse. Mais elle n'est pas mal, comme ça. Et vous pourriez trouver un joli coin pour la mettre. Elle a vraiment de quoi égayer une pièce.
— Ma sœur n'est pas un meuble !
— Bien entendu, bien entendu, concéda Bert, mais elle ne vaudra plus grand-chose pour la conversation, vous en êtes conscient ?
— Je vais lui trancher la tête ! rugit Gabriel.
La lèvre inférieure du gardien se mit à trembler, et il émit un gémissement.
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Michael avait hoché la tête et à présent, assis dans l'ombre de la saillie rocheuse, il avait honte d'avoir pu suggérer autre chose.
Kate l'avait embrassé, et, presque malgré lui, il l'avait lui aussi serrée dans ses bras en promettant : « Je la ramènerai. »
Cet instant avait alors pris un tour assez bizarre quand Kate et Michael s'étaient aperçus que quelqu'un d'autre les étreignait. La princesse elfe les avait en effet saisis tous les deux entre ses bras et murmurait : « Oh, notre chère famille. »
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Si leurs parents étaient en vie, Michael, Emma et elle allaient les retrouver. ...ils allaient réunir leur famille, et rien ne pourrait les en empêcher.
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Mes amis, nous avons toujours su que ce jour viendrait...
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- Kate, lui disait-elle d’une voix basse et pressante, écoute-moi bien. J’ai besoin que tu fasses quelque chose pour moi. J’ai besoin que tu t’occupes de ton frère et de ta sœur. Tu comprends ? Il faut que tu t’occupes de Michael et d’Emma
- Qu’est-ce...
- Je n’ai pas le temps de t’expliquer. Promets-moi que tu veilleras sur eux.
- Mais...
- Oh, Kate, je t’en prie ! Promets-le-moi !
- Je... je te le promets.
C’était Noël."
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