Le drame de l’absence, c’est comme un coup de poignard permanent dans le ventre. Jamais je n’aurais pensé que ça puisse faire mal à ce point. J’ignorais même que ce vide dévastateur pouvait exister. Il mise sur le vide absolu… En art, on appelle cela le minimalisme. J’étais un artiste des sentiments, un expert des émotions épurées.