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Citations de The Harvard Lampoon (43)


Je songeai à l'expression "beau à en mourir". Il était si beau que je l'aurais en effet volontiers mis à mort, vidé, empaillé, et accroché au-dessus de ma cheminée comme un trophée.
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Et si je te disais que tu es seulement la deuxième fille a me tenir la main et que la première était ma mère ?
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-Comment t'appelles-tu ?
Pour la première fois, je vois la colère déserter son visage. Elle se dirige vers l’embrasure de la fenêtre où est posée une rose, une seule, dans un vase. Elle pointe le doigt.
-C'est ravissant. Mais comment t'appelles-tu ?
Elle désigne de nouveau la rose.
-Quoi ? Tu veux que je l'arrose ? Ce n'est pas à toi de faire ça ?
Elle tend le doigt avec plus d'emphase.
-Oh, ton nom ! Ton nom est... vase ?
Elle secoue la tête, puis commence à décrire des cercles autour de la fleur avec sa main.
-Cercle ! Tu t'appelles Cercle !
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Le fusil automatique avec lequel je pourrais tirer ? Il est juste à côté de moi, mais je ne voudrais pas passer pour une désespérée.
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"Je commençai à m'impatienter. Allions-nous devoir attendre quatre tomes et des milliers de pages avant qu'il se passe quelque chose?"
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-Tu penses certainement que nous sommes tous des monstres, dit-il.
Il me fusille du regard, et ma respiration s'accélère. Je ne sais pas trop si je dois répondre, ou hocher la tête, ou bien garder le silence, ou encore faire la roue. Dans le doute, je rote.
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Je t'aime plus que tout ce qui existe dans la galaxie concentré dans un chewing-gum à la fraise au goût qui ne finit jamais !
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Mon bien-être émotionnel dépend bien trop de ta présence pour que je m'éloigne une seule seconde.
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Tout est si confus, tout va si vite, car les auteurs condensent notre histoire pour en accentuer l’effet comique.
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Je compte onze coups de trombone triste. S'il y a un coup de trombone par tribut, sachant qu'il y a vingt-quatre tributs au départ, qu'une journée compte vingt-quatre heures et les Jeux durent depuis moins d'une heure, qu'il y a soixante minutes dans une heure et qu'il m'a fallu deux heures pour pousser aussi loin mon équation, alors il doit rester au moins quarante tributs ! La compétition bat son plein.
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Je suis ainsi constituée que le seul fait de penser au sport me paralyse.
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Tu as beaucoup changé... A vrai dire, je ne t'ai pas reconnue sans ton cordon ombilical.
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C'est de mon père que je tiens mon manque de coordination ; il avait l'habitude de me pousser quand j'apprenais à marcher.
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Elle rate son coup, et le projectile file dans les arbres. Pour la remercier, je lui lance la grenade posée à côté de moi. En revanche, je garde la goupille en souvenir.
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" Nom d'une pipe, Belle. Quand on te demande : "Quoi de neuf ? ", tu dois répondre : "Rien que du vieux." Et puis, tu ne trouves pas que tu es encore un peu jeune pour t'isoler de tes semblables et compter sur un amoureux pour satisfaire tes besoins sociaux au lieu de te faire des amis ? Imagine un peu ce qui se passerait si ce garçon était obligé de te quitter ! Je vois d'ici de pleines pages blanches avec seulement le nom des mois qui défilent."
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Le problème avec les garçons brillants, c'est qu'ils ne prennent jamais l'initiative.
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Le jour suivant fut mieux... et pire. Donc, l'un dans l'autre, on peut dire que ce fut un jour moyen.
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Tandis que je la bombarde de questions supplémentaires, elle brandit le vase bien haut. Ensuite pour m'aider à trouver le sommeil instantanément, elle me l'abat sur le crâne et m’assomme.
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Quand la sonnerie annonça la fin du cours, mon voisin se pencha évidemment vers moi pour me parler.
-Excuse-moi, dit-il, espérant sans doute que j’allais tomber raide dingue de lui. Ton sac m’empêche de passer
Je l’aurai juré. C’était exactement le genre de type à engager la conversation en prétextant qu’un sac lui bloquait le passage
-Je m’appelle Belle, répondis-je. (Je me demandais ce qui était le plus étonnant chez moi, mes coudes naturellement pointus ou mon comportement, si éloigné de celui des filles populaires, même si j’avais potassé tous les manuels de popularité pour pouvoir être populaire si je l’avais voulu.) Je t’autorise à m’accompagner jusqu’à mon cours suivant.
-Oh, bien sûr, répondit-il, fou d’amour.
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Rappelle-toi que la peur est une émotion irrationnelle que tu ne dois pas écouter.
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