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Jean van Hamme et
Francis Valles : Les maîtres de l'orge - Noël 1932]
Olivier BARROT dans une
bibliothèque présente le livre de
Jean VAN HAMME et
Francis VALLES, "Les maîtres de l'orge - Noel 1932" aux éditions Glenat. [Différents plans] de la
bande dessinée, [différents plans] des dessins.
Olivier BARROT explique le
témoignage qu'apporte cette
bande dessinée sur l'époque (
crise économique en Belgique, montée du
fascisme).
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je commence à comprendre pourquoi votre père a décidé de me faire cadeau 🎁 de vous il
devait certainement être
désemparé de vous trouver un mari.
L’homme a envoyé des appareils dans l’espace.
Il émet des signaux en direction d’autres systèmes solaires.
Il écoute nuit après nuit les sons provenant des galaxies.
Il attend ainsi et guette sans cesse une réponse à son angoissante question : est-il seul dans l’univers ?
Je peux répondre à cette question. Nous ne sommes pas seuls. Nous ne sommes même plus seuls sur Terre.
je commence à comprendre pourquoi votre père a décidé de me faire cadeau 🎁 de vous il
devait certainement être
désemparé de vous trouver un mari.
on dit de lui que c'est un
visionnaire.et je crois pas
qu'il y ait grand monde a
vouloir partager ses visions
India. Je tente à chaque instant de me battre contre cette idée.
Cette idée que depuis l’Afghanistan, depuis que ton sang est rentré en contact avec le mien…
Je n’ai cessé de te voir tuer. Et que pourtant….
Tu détruis tout ce qui se dresse sur ton chemin. Froidement. Violemment. Et malgré cela…
Malgré cela, je ne parviens pas à te chasser de mon esprit.
Ta saleté de groupe sanguin a contaminé le mien…
D’ici jusque la rivière… tout ce que tu vois t’appartient !...
Les bars, les jeux, les putes…
Des flics, des syndicats, 20% sur tous les immeubles qui se construisent…
Sans parler évidemment des commissions sur tout ce qui s’échange dans les rues…
Tu rêvais d’achever tes études de droit, John…
…Mais tu es un TOSCA !...Voilà l’héritage de ton père !
Le prisonnier qui attendait dans le couloir de la mort est officiellement mort. Cela nous laisse un John Tosca de trop…
On ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs…Prenez-le ainsi. Un jour ou l’autre, il allait forcément se réconcilier avec sa famille et y reprendre son rang…
La seule différence, c’est que c’est vous qui allez le faire.
Le plus dur dans ce métier, c’est d’être toujours entre deux villes. Entre deux manières de voir la vie.
J’ai l’impression d’aller toujours trop vite. Au point que personne ne peut me suivre. Et encore moins m’attendre.