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Citations de Véronique Delamarre Bellégo (42)


Elle ressemblait à une Japonaise de dessin animé : brune, avec une frange droite, des yeux foncés, la peau claire, un très petit nez et des yeux bridés. Elle portait de grandes chaussettes blanches, une jupe plissée bleu marine et une veste avec un écusson brodé. Un look très manga, la grande classe !
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le cafard absolu d'avoir tout quitté pour s'installer ici, dans cette ville inconnue, vide, et sûrement bête et moche. Un cafard noir, triste, qui, depuis quelques semaines, avait envahi chaque seconde de ma vie, chaque goutte de mon sang, chacune de mes nuits, chacun de mes rêves.
Tous mes copains étaient partis en vacances, alors que je passais mon été écartelé entre deux maisons : je déménageais, comme on dit. Pour moi, c'était une sorte de maladie grave.
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A vous aussi je laisse un héritage, mais il est d'un tout autre genre : il s'agit d'un secret. Du secret d'un vieil homme qui s'appelle Arthur. Cela vous rappelle quelqu'un? Ce secret, j'aurais pu simplement vous le révéler, mais je préfère que vous le découvriez par vous-mêmes.
Nous nous sommes tellement amusés ensemble aux devinettes et aux énigmes...Continuons encore un peu, vous voulez bien?
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"Camille, je ne l'aimerais pas plus si je l'avais trouvée dans mon ventre, et toi, Charlotte, ta maman ne t'aimerait pas plus si elle était allée t'adopter au bout du monde."
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Sakura Yamanako,une petite fille de 11 ans japonaise arrive dans une nouvelle école .Jo est devenu très vite son amie . Fabio, lui , insulte Sakura de tous les noms jusqu'au jour où Sakura s'énerve et se venge . c'est a partir de ce jour que Fabio a compris qu'on ne doit pas s'en prendre à une des descendante des samuraïs ; )
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La loi de la jungle est simple, les plus forts dévorent toujours les plus faibles, sauf si :
- Les plus faibles s'unissent ;
- Les plus faibles se rendent compte qu'ils ne sont pas faibles ;
- Les plus faibles utilisent la ruse.
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Alors, si j'ai bien compris, j'ai fait disparaître tous les garçons - ce qui est "techniquement" impossible, puisque je n'ai que treize ans- et tout le royaume des sorciers est au courant. Cool, je dois passer pour la reine des courges, sympa.
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Mais, ce que je ne savais pas encore ce jour-là, c'est que Sakura, si sage derrière sa frange bien droite, aller réussir à dompter Fabio, à en faire une boulette de viande, une croquette pour chat, une crêpe molle.
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Cher carnet,
il faut que je t'explique quelque chose.
L'école c'est comme la jungle. C'est un territoire dangereux, où nos parents nous déposent chaque matin, en nous recommandant d'être sages et de bien travailler. Ils ne se rendent pas compte que nous y vivons des épreuves terribles.
Car dans cette jungle cohabitent les fauves et les proies, les carnivores et les herbivores, les loups et les agneaux.

Les jolis mots me font toujours voyager. Je les écoute, et, immédiatement ils dessinent des images dans mon esprit. Alors pays du Soleil levant, 6 852 îles, l'océan, un arc de feu ... Il n'en fallait pas plus pour que je m'envole en pensée vers le Japon. J'écoutais la voix de Sakura, je regardais tous les objets magnifiques qu'elle nous présentait et je gambadais dans mon imagination.
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Kanda, le bien qu'on fait aux autres nous revient en retour. Tu l'as dit toi-même, il faut qu'on prenne soin les uns des autres. Nous partageons une même planète. Un même territoire. L'amour doit gouverner le monde. Peace and love.
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- Notre cohabitation pacifique avec les humains repose sur notre discrétion, notre savoir-faire, notre prudence, notre discernement. Tu as failli faire disparaître tous les hommes de la planète, penses-tu que cela serait passé inaperçu? Depuis des siècles nous nous employons à utiliser notre pouvoir discrètement. Et, en quelques minutes, ta grand-mère, ta mère et toi, avez tout fait vaciller.
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1. Bienvenue dans le royaume de Sarah.
Salut ! Vous me connaissez, je ne suis pas un paresseux. Moi, Globo, j'ai plutôt la réputation d'être courageux et énergique. Garder les frontières du royaume de Sarah, c'est toute ma vie ; j'ai le sens du devoir inscrit dans mes gènes. Bon d'accord, de temps à autre, je m'attarde à la cafète du Rate's Club avec les copains globules en avalant un petit sirop…
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- Son robinet à chagrin est grand ouvert, a soupiré Antoine, derrière moi. Comment faire pour le fermer ?
Tous les garçons de sentaient soudain des vocations de plombiers.
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Moi.le jeune idiot.je protègerai tous ceux dont la main est plus petite que la mienne
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Tout le monde s'embrasse se tend la main et rit. Clovis fait des bons autour de nous. Ils parlent tous en mème temps, le soleil brille, il fait beau, il y a juste un petit vent doux qui fait danser les feuilles dans les arbres. C'est la petite maison dans la prairie!La vraie!
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- Eh bien, si j'en crois la règle des évènements indépendants dans un espace fondamental, impliquant des probabilités conditionnelles, c'est simple : sachant qu'il y a 2 millions d'habitants à Paris et 0,5 million de touristes, une surface totale de plus de 100 km² et une zone touchée d'à peine 100 m², la probabilité que tes parents soient blessés et infinitésimale, surtout qu'ils habitent dans le 18e. Mais comme ils te sont proches affectivement, tu as l'impression qu'ils courent plus de risques que n'importe qui d'autre. Effet psychologique de la proximité émotionnelle. Cela dit, comme tu le sais, tes émotions n'ont aucune incidence mathématiques. C'est juste un leurre.
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Mes amis, au secours… Une femme vient de mourir gelée, cette nuit à trois heures, sur le trottoir du boulevard Sébastopol, serrant sur elle le papier par lequel, avant hier, on l’avait expulsée… Chaque nuit, ils sont plus de deux mille recroquevillés sous le gel, sans toit, sans pain, plus d’un presque nu. Devant l’horreur, les cités d’urgence, ce n’est même plus assez urgent !

Écoutez-moi : en trois heures, deux premiers centres de dépannage viennent de se créer : l’un sous la tente au pied du Panthéon, rue de la Montagne Sainte Geneviève ; l’autre à Courbevoie. Ils regorgent déjà, il faut en ouvrir partout. Il faut que ce soir même, dans toutes les villes de France, dans chaque quartier de Paris, des pancartes s’accrochent sous une lumière dans la nuit, à la porte de lieux où il y ait couvertures, paille, soupe, et où l’on lise sous ce titre « centre fraternel de dépannage », ces simples mots : « Toi qui souffres, qui que tu sois, entre, dors, mange, reprends espoir, ici on t’aime »

La météo annonce un mois de gelées terribles. Tant que dure l’hiver, que ces centres subsistent, devant leurs frères mourant de misère, une seule opinion doit exister entre hommes : la volonté de rendre impossible que cela dure. Je vous prie, aimons-nous assez tout de suite pour faire cela. Que tant de douleur nous ait rendu cette chose merveilleuse : l’âme commune de la France. Merci ! Chacun de nous peut venir en aide aux « sans abri ». Il nous faut pour ce soir, et au plus tard pour demain : cinq mille couvertures, trois cents grandes tentes américaines, deux cents poêles catalytiques
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Je me mets au travail. Parce que mon arme fatale à moi, c'est l'art. Avec l'art, on peut tout exprimer, et transmettre des messages si besoin.
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Le danger était partout, ce monde leur était inconnu.
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A vous de trouver vos réponses en vous-mêmes, vous en êtes capables. Posez-vous la question de ce qu’un départ vous apporterait. Demandez-vous aussi ce qu’Eldorado y gagnerait. Et sachez que chaque pas en dehors de la bulle est un pas vers l’inconnu, le changement, la liberté ou la mort. Vous pourriez ne jamais revenir. Quoi qu’il en soit, décidez-vous rapidement.
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