AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Vince (87)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Les Chronokids, tome 2

Pas très originale, cette idée de faire voyager des enfants dans le passé.



Si les scénarios sont travaillés, ça peut être instructif et/ou amusant ('Les messagers du temps', série de romans de Evelyne Brisou-Pellen ; 'Retour vers le futur', film de Robert Zemeckis, 1985).



Résultat très moyen ici, dans ce recueil de gags de 4 à 5 pages.

Avec Marvin et Adèle, dotés d'un téléphone magique, on visite la Préhistoire, le VIIIe siècle de Charlemagne, Versailles au XVIIIe siècle, Woodstock et son célèbre festival peuplé de hippies Peace & Love, la Suisse de Guillaume Tell, le Montmartre des peintres du début du XXe siècle...



Ambiance potache, lourde (bêtise supposée des ancêtres) et scato (pipi, kk, bouse, boue, puanteurs diverses). Et je n'ai pas toujours compris les chutes.

Le seul intérêt trouvé : les détails dans les dessins, notamment pour Woodstock & les Alpes de Guillaume Tell.
Commenter  J’apprécie          292
Donjon antipodes, tome 3 : Rubéus Khan

On quitte le Fantasy Médiéval pour un récit de science-fiction entre dystopie et urban fantasy. Donjon Antipodes nous envoie dans un futur très éloigné de la période du Donjon. On sort des canons de la série, j’avoue avoir été un peu décontenancé par ce grand saut qui ne m’avait déstabilisé autant dans l’autre sens (L'armée du crâne).





Rubeus Khan est un descendant des Vaucanson, il est rouge comme Marvin Rouge, et comme son caractère impétueux et violent. Il travaille pour un oncle éloigné, autre membre de la famille Vaucanson, propriétaire d’une usine de robots. Un soir de garde, Rubeus Khan va contrecarrer une attaque de l’entreprise, et il parvient à éviter le sabotage de son centre de recherche. Son acte d’héroïsme va malheureusement se retourner contre lui.





Cet épisode propose beaucoup de violence, dans un univers faisant penser aux films d’action, genre Stallone ou Schwarzenegger, avec une pointe de Fantasy, une flopée de combats en tout genre, MMA, bagarre de rue, combat entre robot et dragons, et aussi magouilles et corruption, bercé par une pointe de cynisme et d’humour noir, tout en offrant un nouveau panel intéressant de personnages écorchés ou en marge. Mis en valeur par un dessin pêchu, cet épisode déborde d’énergie, encore plus sauvage que ceux de la série classique, avec toujours cette ironie si particulière, en utilisant des personnages aux silhouettes disneyennes dans un récit ultra-violent et outrageusement cynique.





Putain, Donald, qu’est-ce qu’il leur met dans la gueule !





Malgré tout, je regrette qu’il y ait un peu moins d’inventivité, de magie loufoque. Ça reste une lecture très plaisante, super dynamique, pleine de vie (et de mort), mais on n’est pas au sommet du génie créatif de ses auteurs.
Commenter  J’apprécie          160
Esmera

Esméra est en terminale, en 1965, dans un pensionnat catholique pour jeunes filles. Elle partage sa chambre avec Rachele, originaire d'un village voisin du sien. Rachele est plus délurée qu'elle. Rachel' va faire enter un garçon dans leur chambre avec l'objectif d'y perdre son pucelage. Esmérada, témoin des frasques de sa copine connaît ses premiers émois. Elle va son tour, lors d'un bal, s'essayer au sexe mais son expérience est décevante. Rachel' va alors lui faire connaître son premier orgasme et la pauvre Esméra va se rendre compte qu'apres avoir resenti du plaisir, elle change de sexe. ...



Zep, père de Titeuf, auteur d'un scénario de bande dessinée érotique ? Ça devait forcément piquer ma curiosité. Le dessin de Vince est tout en nuance de gris. Le trait est beau. Le scénario surprenant. Inscrit dans l'histoire de mai 68 à nos jours, ce que vit tour à tour l'héroïne ou le héros, en fonction de sa mutation physique est étonnant. Bref, une bande dessinée originale, plaisante, rendue intéressante par la qualité du dessin et du scénario. Une bande dessinée érotique avec une vraie histoire et un vrai fond.

Commenter  J’apprécie          130
Esmera

L’histoire lorgne du coté du fantastique à la Manara. Esmera suit sa scolarité dans une école catholique italienne, à Gênes. Nous sommes en 1965 et la jeune fille, après avoir perdu sa virginité à la va vite dans un bal de village, découvre le plaisir avec sa compagne de chambre. Une révélation qui tourne à la stupéfaction lorsqu’elle se rend compte que chaque orgasme la fait changer de sexe ! Une situation difficile à vivre dont elle tirera partie avec plus ou moins de bonheur au fil du temps, de ses études à la Sorbonne à un passage éclair dans une communauté hippie d’Ibiza, des années sida à 2015, le tout sans prendre une ride puisque son étrange pouvoir l’empêche de vieillir. Des décennies jalonnées d’étreintes plus torrides les unes que les autres où Esmera, tantôt homme, tantôt femme, prendra le plaisir comme il vient sans trop se poser de questions…



Un album « pour public averti » enchaînant des cabrioles plus explicites les unes que les autres. Alors oui, Zep lâche les chevaux sans tricher. Aux crayons, Vince s’en sort avec les honneurs. Son trait réaliste en noir et blanc teinté de sépia rend un bel hommage aux courbes féminines et ses scènes de sexe, même lorsqu’elles offrent quelques gros plans, ne sombrent jamais dans le vulgaire.



Pas un chef d’œuvre, loin de là, mais une lecture agréable. Le vrai problème, c'est que ce « conte pornographique », comme le qualifie Zep, se révèle bien trop sage au niveau du scénario pour renouveler le genre. Dommage…



Et un gros coup de gueule par rapport au prix prohibitif de cet album. 24 euros pour 78 pages de BD, je m’étrangle, je m’insurge, je hurle à l’escroquerie ! Rien de particulier dans la fabrication, tant au niveau du format que de la qualité du papier, à peine peut-on souligner un cahier cousu et non collé. Même pas un dos toilé ou un ex-libris, même pas un cahier graphique en bonus, juste un album tout ce qu’il y a de plus banal qui ne devrait pas dépasser les 16 euros. Franchement, l'éditeur exagère.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
Commenter  J’apprécie          130
Esmera

Sur une idée bien amusante, Zep et Vince ont signé un album érotique de très bonne facture. Esmera change de sexe à chaque orgasme !



Une idée originale pour un scénario un peu léger – mais plaisant – avec de bouillonnants dessins de Vince. Oui, c’est vraiment très explicite !



Une bande dessinée qui se retrouve d’ailleurs – et à très juste titre – en bonne place avec Les plus belles filles de la BD érotique



Un petit regret ? Que ce ne soit pas un homme et une femme qui aient collaboré à la réalisation de ce bel objet. N’était-ce pas justement l’idéale occasion ?
Lien : https://www.noid.ch/esmera/
Commenter  J’apprécie          120
Les Chronokids, tome 5

Les Chronokids, ce sont un frère et une sœur Marvin et Adèle, qui vont à l’école comme tous les enfants de leur âge, mais qui possèdent un petit gadget étonnant, qui leur permet de voyager dans le temps. Il vont dans cet épisode, tenter d’éviter la fin du monde pour que le spectacle de danse où Adèle tient le premier rôle ne soit pas annulé. Une visite à Salon de Provence au XVIe siècle pour rencontrer Nostradamus et chez les mayas en Amérique centrale. C’est l’aventure, avec ces quiproquos, anachronismes, rebondissements, gags. Le dessin n’est pas toujours très élégant, je ne suis pas fan. L’ensemble est frais et sympathique, mouvementé, assez violent tout de même. Cela reste une lecture distrayante, mais pas inoubliable.
Commenter  J’apprécie          110
Donjon antipodes, tome 3 : Rubéus Khan

Nouvel étage du Donjon proliférant. C’est clair , la clique de Donjon (Sfar ,Trondheim et Cie ) a décidé de dynamiter les codes et de mixer tous les genres de la pop culture .La dynastie Vaucanson ,toujours palmipède, passe de la fantasy à la SF dans un monde largement robotisé (référence Pacific Rim, Goldorak, Robocop…Avec son nom Vaucanson est à sa place chez les automates ) , une ambiance de polar noir (truands contre establishment industriel bien pourri) . Le Vaucanson de cette époque est rouge (Rubeus Khan(ard) ),bodybuildé et assez vindicatif , ses acolytes sont des crocos et une ourse sexy et tueuse . Le tout est très agréable et appelle une suite …
Commenter  J’apprécie          90
Les Chronokids, tome 1

Un gsm qui n'en est pas, mais qui peut transporter dans le temps, et hop ! Marvin et Adèle se disent que pour les devoirs, ce sera hyper fastoche. Y'aura qu'à aller voir sur place... les Gaulois, Napoléon, les dinosaures... Les quiproquos sont nombreux.



Mais quid quand le bébé que l'on garde pousse sur le bouton? Ou papa? Et si on oublie un gsm dans une momie? Ou que l'indien de 1850 s'empare du bidule?



Zep est à la manoeuvre et les idées ne manquent pas. On plonge allègrement dans les paradoxes temporels sans vraiment se soucier du truc. On se gourre de 10 minutes, et hop ! reprogrammons le bidule 10 minutes plus tôt... Cela ne révolutionne pas le genre, mais l'étron de tyrannosaure m'a bien fait rigoler. Eh oui, je suis un peu pipi-caca... Etre régressif, c'est tellement bon.

Commenter  J’apprécie          90
Donjon antipodes, tome 3 : Rubéus Khan

• Donjon Antipodes, Tome +10001

• Sfar & Trondheim (Scénario) & Vince (Dessin)

• Delcourt



Ce tome de Donjon Antipode est le 39éme tome de la franchise Donjon, tout confondu. Et il est le deuxième d'une nouvelle ère, l'ère antipode qui comprendra des tomes numérotés "-" se passant 10000 ans avant l'ère Zénith et des tomes numérotés "+" se passant 10000 ans après l'ère Zénith.



Donjon étant une série se basant énormément sur le principe des différentes temporalités, en ajouter deux nouvelles parait bien alléchant.

Enfin... Peut-être...



Peut-être, mais peut-être pas...

Si ajouter deux nouvelles ères peut être intriguant, une fois la lecture faites, on est en droit de se poser des questions.



Pour ce tome, comme pour le premier tome Antipode -, les liens avec le reste de l'univers sont assez faibles et on ne comprends pas trop l'intérêt de nous servir une nouvelle ère.



Fini le monde médiéval, nous sommes désormais dans un monde futuriste ressemblant assez au notre pour l'architecture mais avec des robots, un truc classique de SF.

On va suivre un canard rouge, descendant Vaucanson.

Et vu son nom et ses caractéristiques physiques, on peut assez facilement faire des suppositions sur ses ancêtres.

Mais à part cela, aucun lien dans l'histoire entre ce tome et les autres ères.



Ce qui me fait dire tout comme pour Antipodes -, que ce tome n'est pas particulièrement intéressant si on le sort de la série Donjon, et qu'en tant que partie de l'univers Donjon, il ne sert pour l'instant pas à grand chose.



Les auteurs agrandissent un peu plus leur univers, mais à quel prix ?

Pour le moment, je suis assez perplexe et j'en attend beaucoup plus des prochains tomes.
Commenter  J’apprécie          80
Esmera

Une BD érotique?

Pourquoi pas, même si ce n'est pas vraiment ma tasse de thé.

Le scénario est sympa et original : Esméra change de sexe à chaque fois qu'elle a un orgasme. Elle vit une vie bien complexe et des plus mouvementée.

C'est bien mené et distrayant mais c'est clairement écrit par un homme qui transpose dans une femme son propre fantasme de la sexualité féminine (sans vouloir faire de la psychanalyse à 2 francs).

Le dessin est bien maitrisé, dans un noir et blanc savamment ombré.
Commenter  J’apprécie          80
Esmera

Je suis un peu mitigée à la lecture de ce tome. J'avais plutôt aimé la première expérience de Zep dans la bd adulte; cependant j'avais trouvé qu'il collectionnait les exemples et les situations au lieu d'en faire une analyse. C'est excatement ce qui m'a manqué dans "Esmera".



Le dessin de Vince est somptueux, et le choix de la monochromie vraiment judicieuse. Les corps exultent, le trash parfois surprend mais on parcourt la bd avec beaucoup de plaisir.



Pourtant je suis restée sur ma faim : au delà de l'idée de départ, plutôt séduisante d'explorer la sexualité côté masculin et féminin, Zep accumule les expériences et les situations incongrues sans trop approfondir le sujet. J'ai fini par me lasser... et c'est bien dommage!

J'en garderai le souvenir d'une bd légère alors qu'elle aurait pu aller beaucoup plus loin à mon sens!
Commenter  J’apprécie          80
Esmera

Les métamorphoses du jouisseur.

Dans son école catholique corsetée, à Gênes, dans les années soixante, Esmera ne sait comment accueillir sa sexualité pour pleinement en jouir. Rachele, sa camarade de chambrée, lui ouvre la voie mais l'explosion orgasmique transforme Esmera.

À partir d'une idée fantasmatique, Zep développe une histoire où s'accumuleraient seulement des saynètes répétitives et lassantes si la toile de fond d'une époque ne prenait la lumière et n'occupait le devant de la scène. Le graphisme de Vince rappelle le trait émollient de Zep tout en mols arrondis que la mèche de Titeuf semble concentrer. La monochromie du lavis de Vince est remarquable et donne chair à l'ouvrage.
Commenter  J’apprécie          70
Premières fois

Premières fois est un recueil de 10 récits érotiques où l'on retrouve des auteurs non habitués au genre comme Alfred, Pedrosa ou encore Vatine. C'est toujours intéressant de voir ce qu'il propose.



J'ai bien aimé le fait que cela va au-delà de la simple pornographie et de l'acte sexuel bestial. C'est tout d'abord un rapport que l'on a avec le plaisir lorsque l'on sait ranger sa pudeur et ses angoisses.



D'ailleurs, certaines chutes de scène sont particulièrement réussies. J'ai bien apprécié par exemple la première histoire qui fait l'ouverture de ce festival charnel et sensuel. Mention spéciale également pour "Club" dessiné par Vatine.



Bref, une fois n'est pas coutume dans le genre, il y a de la grâce et même de la tendresse. Un pari réussi pour Sibylline qui a orchestré le tout.
Commenter  J’apprécie          60
Esmera

Qu'est-ce que j'ai pu être critique envers Zep surtout quand il a commencé sa manoeuvre d'émancipation de ces oeuvres d'adolescent attardé. Bon, on n'est pas là pour faire le procès de Titeuf. Je n'avais pas du tout aimé "Une Histoire d’hommes" et c'est presque un euphémisme que de le dire.



Pourtant, dans Happy Sex, j'avais perçu quelque chose qui pouvait devenir intéressant. Mais là, je tombe de haut. C'est bien le même auteur ? Il est vrai que le dessinateur a fait des merveilles. Reconnaissons les mérites à chacun !



J'ai non seulement aimé mais adoré littéralement. Déjà le thème bien qu'exploité régulièrement dans la bd m'a beaucoup séduit. En effet, je suis un peu de ceux qui pensent que l'idéal de l'être humain se trouverait avec les hommes et les femmes. Autant être les deux à la fois pour la recherche du plaisir maximum.



Une idée intéressante et riche qui a été habilement exploitée. Bref, une belle découverte mais à ne pas mettre entre toutes les mains. Puritains, s'abstenir !
Commenter  J’apprécie          60
Premières fois

Pas de répétition pour une fois, toutes les histoires sont différentes, les dessinateurs aussi. Je n'ai pas trouvé la bd vulgaire, le noir et blanc relativise et atténue en même temps.
Commenter  J’apprécie          60
Les Chronokids, tome 1

J'adore.

Que ce serait amusant si on pouvait voyager dans le temps de cette façon. Alors évidemment au début c'est pour préparer les devoirs d'histoire, puis c'est pour s'amuser, et finalement c'est pour tricher sur le devoir de math…. sans parler des accidents de manipulation.

Donc on croise des dinosaures, des gaulois, des huns, des indiens, des croisés, napoléon, etc... et c'est jubilatoire à chaque fois.

Commenter  J’apprécie          60
Premières fois

Souvent les recueils de nouvelles déçoivent ...

La BD érotique Premières fois n'échappe malheureusement pas à la règle.

Chaque petite histoire coquine est un récit différent et un dessin différent (autant de dessinateurs).

Une ou deux histoires valent le détour avec un texte coquin qui amuse, une chute inattendue qui surprend et un dessin sensuel qui émoustille.

Comme Fantasme avec le dessin de Jérôme Daviau.

Le reste n'est malheureusement pas à la hauteur.
Lien : http://bmr-mam.blogspot.fr/
Commenter  J’apprécie          60
Premières fois

La représentation de la sexualité dans la BD est souvent venue me conforter dans l'idée d'un dessin masculin et donc d'une vision du monde patriarcale. Les femmes ont pratiquement toutes des longs cheveux et une paire de seins improbables : gros et fermes comme une bonne vache laitière.



De manière plus générale, je regrette souvent qu'il n'y ait pas de nuances entre l'érotisme ridiculement représenté par des pseudos frottis frottas nourris de gémissements grotesques et la pornographie zoomée sur un membre violacé pratiquant avant tout la performance et l'utopie des montagnes russes. L'un et l'autre se valent dans leur concept dépassé du produit qu'est le sexe.



Sybilline, oui c'est son vrai prénom, a écrit plusieurs histoires érotico-pornographiques (je ne sais pas quel terme utiliser, je choisis le consensus) chacune illustrée par un dessinateur différent. Premières fois est une surprise à chaque page, un album que l'on découvre seul ou à deux avec délice.



Le trait de crayon est sensuel, charnel, voluptueux, joliment impudique sans être vulgaire ou libidineux. C'est un hommage à la beauté des sens, aux possibilités de la sexualité quand elle est bien vécue et librement consentie. La plume aborde les fantasmes avec délicatesse et sans aucune grossièreté. Comme il s'agit d'un collectif, une histoire ou un style peut heurter, il est alors facile de sauter le chapitre jusqu'au suivant.



Une BD que les parents feront attention de ne pas exposer sur leurs étagères...
Lien : http://www.audouchoc.com/art..
Commenter  J’apprécie          61
Les Chronokids, tome 1

J'ai été très déçu par cette bande dessinée. Il faut dire que je m'attendais à une série plus « sérieuse » avec l’idée de découvrir l'histoire à travers les aventures de deux enfants ; mais on est loin de tout cela.

Marvin et Adèle sont deux enfants très espiègles, voyageant à travers le temps à l'aide d'un portable acheter en brocante à 5 euros. Voilà pour le décor assez simpliste mais ce sont surtout les histoires qui manquent de sérieux. D'ailleurs j'ai franchement tiqué de l'oeil lorsque les enfants ont croisés des chevaliers en partance pour libérer Jérusalem et qu'ils les ont convaincus de faire de la luge sur les pentes enneigées plutôt qu'aller guerroyer au fin fond du monde. Des histoires courtes sans queue ni tête qui ont finis par me convaincre de refermer cet ouvrage au plus vite.

Bref, même si j'apprécie d'habitude le genre délirant, il faut croire que le thème du voyage dans le temps est pour moi trop sérieux pour en faire n'importe quoi ; du moins, j'aurai aimé beaucoup plus de cohérence pour apprécier cette série.
Commenter  J’apprécie          50
Donjon Antipodes, tome 5 :   10002 Changeme..

3ème épisode des aventures musclées de Rubéus Kahn alias Robert de Vaucanson . le canard rouge est soumis à la double tyrannie de la mystérieuse Atlas (qui détient son fils) et de son oncle Stanislas de Vaucanson, archétype du super méchant capitaliste et retors . Il bénéficie de l'aide de Mimi l'ourse , son amoureuse transie et balèze et de la tête du professeur Cormor ressurgi du passé du Donjon. Beaucoup de citations ( Goldorak,Pacific Rim ...) de topos ( l'instructeur qui envoie ses élèves au casse-pipe...) de bastons (robots vs démons et autres ) . DEssin dynamique ,de bons moments d'humour mais ,dans l'ensemble, un certain manque de consistance .....
Commenter  J’apprécie          50




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Vince (397)Voir plus

Quiz Voir plus

Correspondances artistiques (1)

D'une Joconde à l'autre, séparément et chacun à sa manière à des dates différentes, deux artistes français ont célébré Mona Lisa en chanson (indice : Aigle et tête de choux) :

Serge Gainsbourg et Léo Ferré
Léo Ferré et Anne Sylvestre
Barbara et Serge Gainsbourg

10 questions
180 lecteurs ont répondu
Thèmes : peinture , musique , histoire de l'art , Instruments de musique , musiciens , art , artiste , symphonie , mer , Japonisme , impressionnisme , sécession viennoise , Abstraction , Côte d'Azur (France) , romantisme , pointillisme , symbolisme , Pique-niques , joconde , leonard de vinci , renaissance , culture généraleCréer un quiz sur cet auteur

{* *}