Petit, je préférais le monde dessiné au vrai. Les maisons étaient plus belles, les voitures plus rondes. J'ai compris plus tard que ce que j'aimais, c'était le regard des artistes qui transformait le réel. Alors, j'ai aiguisé le mien, je suis sorti à la rencontre de ce monde et je l'ai trouvé beau.