Ainsi nous considérons l'autosuffisance comme un grand bien: non pour satisfaire à une obsession gratuite de frugalité, mais pour que le minimum, au cas où la profusion ferait défaut, nous satisfasse.
Car nous sommes intimement convaincus qu'on trouve autant plus d'agréments à l'abondance qu'on y est moins attaché.
Les nourritures savoureusement simples vous régalent aussi bien qu'un ordinaire fastueux.