Mon besoin de la protéger s’était mu en une force féroce et possessive. Je pensais à elle constamment, en me disant sans cesse que je voulais sa sécurité.Auprès de moi. Personne d’autre n’avait le droit de la toucher ou de la réconforter. Personne à part moi.J’étais censé régler ses problèmes. Censé la prendre dans mes bras quand elle pleurait.