C’était peut-être ça que son père avait essayé de lui dire. Dans son franc-parler habituel, il lui rappelait que le changement était inévitable et irrépressible. Que de petites vagues pouvaient en créer de plus grosses, et de ne pas craindre l’avenir car chaque instant est suivi d’un autre, parfois merveilleux, parfois terrible, que tout cela était toujours imprévisible, des composants essentiels à la complexité d’un monde vaste et magnifique.