Près du transformateur électrique, sentant la poussière, le tabac et la démission, se trouvait le bureau-chambre à coucher de Butagaz, le gardien.
La cinquantaine ronde, court sur pattes, une casquette de base-ball sur la tête, le visage rouge, une dent en or sur le devant, il suait, telle une motte de beurre au soleil, en essayant de mettre un peu d'ordre dans le campement.