Un virus qui s’en prend au cœur, c’est tellement singulier… Ne reviens pas Gaële, ne viens pas te transformer en garde-malade, cours plutôt, navigue, vole, comme tu l’avais décidé. C’est ce que tu peux faire de mieux pour moi. Mais s’il te plaît, écris-moi, envoie-moi des mails, raconte-moi ce que tu vis, ce que tu vois, et si tu ne vis et ne vois rien que tu aies envie de me relater, tu pourras toujours inventer.