Puis, un matin d'hiver, il n'a plus cheminé vers la vallée. On m'a pourtant dit : "Il est parti". Je n'ai pas osé demander où ni jusqu'à quand. Peut-être avait-il tellement rapetissé qu'une petite brise l'avait emporté ? Ou peut-être s'était-il caché ? J'ai cherché mon papi farceur dans son potager et près de ses peupliers. Mais pas de papi. Alors j'ai compris : cette fois, il ne reviendrait pas.