Votre premier instinct vous pousse-t-il à relever les autres, ou à les piétiner ? Cette bête à l’intérieur de vous, celle dont vous pensez qu’elle est fermement attachée à son poteau, celle que vous avez apprivoisée à force d’art, d’amour, de prière ou de méditation : elle est à peine muselée. Le nœud est fragile. Le poteau est cassant. Il suffit de deux mots et d’une sirène pour arracher tout ça.