"Tu sais, nous ne piétinons pas, poursuivit Salo. Au contraire, nous progressons. Il faut comparer notre situation à celle qui était la notre au ghetto, où nous étions à la merci des soldats et des gendarmes. Chaque semaine, des enfants et des vieux étaient raflés pour être envoyés Dieu sait où. Ici, une petite partie de notre destin est entre nos mains."