Docteur en physique, Ahmed Bensaada fut tour à tour enseignant à l'Université d'Oran, chercheur à l'École polytechnique de Montréal, enseignant à la Commission scolaire de Montréal, consultant scientifique pour des maisons d'édition et plus encore.
«Le «printemps» arabe ? Une belle plaisanterie ! Le printemps est une trop belle saison pour qu'il serve de qualificatif à des révoltes pernicieusement noyautées qui ont conduit certains pays arabes à un incommensurable chaos» (p 198).
«L'imposture, le mensonge, la désinformation pourraient, certes, servir à justifier, à court terme, une politique donnée. Mais la vérité finit toujours par prévaloir»