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Citations de Ajahn Chah (61)


Ajahn Chah
Si vous avez le temps de respirer, alors vous avez le temps de méditer.
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Ajahn Chah
Toute véritable transformation sera précédée d'un grand moment d'inconfort.
C'est là le signe que vous êtes sur le on chemin.
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Le monde est dans un perpétuel état d’agitation...
L’esprit passe de la satisfaction à l’insatisfaction au rythme de l’agitation du monde...
La plus grande aide que nous puissions apporter au monde,
c’est apprendre à apaiser notre esprit..
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Ajahn Chah
Question : Quelle doit être la préoccupation d’un moine, alors ?

Ajahn Chah : Le but est de lâcher prise.

Question : Il faut donc lâcher prise mais sans faire d’effort pour y parvenir ?

Ajahn Chah : C’est cela. On doit lâcher sans désir. Si le désir est encore là, si on poursuit un but, alors ce n’est pas le Nirvana. Nous sommes ici pour comprendre la cause de la souffrance et savoir pourquoi les choses sont comme elles sont. Soyez attentifs et laissez les choses suivre leur cours naturel. Alors votre mental sera paisible comme un étang clair dans la forêt. Toutes sortes d’animaux viendront s’y abreuver, vous verrez des choses étranges et merveilleuses aller et venir, mais vous resterez paisible. Des problèmes apparaîtront mais vous en verrez aussitôt le sens. Tel est le bonheur du Bouddha.
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Ajahn Chah
Toute véritable transformation sera précédée d'un grand moment d'inconfort. C'est le signe que vous êtes sur le bon chemin.
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Vous les gens, vous voyez des hommes des femmes, beau, belles, gros, grosses, moches etc.... mois je ne vois que des cadavres animés en train de pourrir
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Si on vous demande : « Quel type de nourriture préférez-vous ? » ne prenez pas la question trop au sérieux. Si vous dites que vous aimez vraiment quelque chose, quelle importance ? Réfléchissez : si vous en mangiez tous les jours, l’aimeriez-vous toujours autant ? Vous en viendriez probablement à dire : « Oh, non ! Pas encore de ça ! »
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Nous avons besoin de voir et de réaliser la vérité des enseignements en les pratiquant, pas seulement en les entendant
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En termes simples, ceci est la vérité. L’impermanence, la souffrance et l’absence de soi sont la nature même des phénomènes. Ils ne sont rien d’autre que cela, mais nous donnons aux choses bien plus de sens qu’elles n’en ont en réalité.
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Vous étiez une fontaine d’eau fraîche
sur la place d’une ville poussiéreuse,
et vous étiez la source de cette eau
sur un sommet invisible, là-haut.

Vous étiez, Luang Por, cette montagne inamovible
mais vue de différentes perspectives.

Luang Por, vous n’étiez jamais une personne
vous étiez toujours le même.

Vous étiez l’enfant qui rit
des habits neufs de l’Empereur et des nôtres.

Vous étiez l’exigence d’un éveil,
le miroir de nos erreurs – férocement bon.

Luang Por, vous étiez
l’essence des textes étudiés
le guide de notre pratique,
la preuve de son efficacité.

Vous étiez
un feu de joie étincelant
par une nuit de froid et de vent.

Comme vous nous manquez !

Luang Por, vous étiez
le solide pont de pierre dont nous avions rêvé.

A l’aise dans l’instant présent
comme dans votre domaine de tout temps.

Luang Por, vous étiez
la pleine lune resplendissante que nos nuages parfois cachaient.

Vous étiez l’arbre de fer, l’arbre banyan et l’arbre bodhi :
Por-Mae-Khrooba-Ajahn

Luang Por, vous étiez
un lotus tout frais sorti de l’eau
dans un univers
de fleurs artificielles.

Pas une seule fois, vous ne nous avez égarés.

Vous étiez un phare
pour nos fragiles radeaux
sur la mer agitée.

Luang Por, vous êtes
au-delà de tout éloge et de tout portrait.

Humblement, je pose ma tête
sous vos pieds.
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Si vous comprenez le Dhamma, vous devez pratiquer en conséquence. Il n’est pas indispensable de devenir moine ou nonne – même si la vie monastique est un cadre idéal pour la pratique. Pour vraiment pratiquer, vous devez renoncer à la confusion de la société, abandonner famille et possessions et partir dans la forêt. C’est la manière idéale. Mais si vous avez une famille et des responsabilités, comment allez-vous pratiquer ? Certains disent qu’il est impossible de pratiquer le Dhamma en tant que laïcs. Mais regardez autour de vous : qui sont plus nombreux, les moines ou les laïcs ? Il y a beaucoup plus de laïcs ! Alors, si seuls les moines et les nonnes pratiquent, cela risque de créer beaucoup de déséquilibre. Cette compréhension est erronée. Devenir moine ou nonne n’est pas la question. Etre moine ne signifie rien si on ne pratique pas. Si vous comprenez vraiment la pratique du Dhamma, quelle que soit votre position sociale ou votre profession, que vous soyez enseignant, médecin, fonctionnaire ou quoi que ce soit, vous pouvez pratiquer le Dhamma à chaque minute de la journée
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Essayez d'être attentif et de laisser les choses suivre leur cours. Votre esprit deviendra imperturbable en toute situation, comme un clair lac de forêt.

Toutes sortes de merveilleux et rares animaux viendront boire à ce lac, et vous verrez clairement la nature de toute chose. Vous verrez beaucoup de choses étranges et merveilleuses aller et venir, mais vous resterez imperturbable. Ceci est le bonheur de Bouddha.
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Le Bouddha nous a recommandé de regarder d’abord les faits et de voir combien ces choses sont trompeuses ; ensuite seulement pouvons-nous trouver la paix. Quand nous ne connaissons pas les choses telles qu’elles sont, nous croyons les posséder et le piège du « sentiment de soi » fait surface. Nous devons donc remonter à l’origine et découvrir comment cela s’est produit. Il faut que nous comprenions comment les choses sont en réalité, comment elles entrent en contact avec l’esprit et comment l’esprit réagit ; après, nous pourrons être en paix. Voilà ce que nous devons étudier à fond. Si nous refusons que les choses se passent comme elles se passent, nous ne pouvons pas connaître la paix. Où que nous tentions de nous échapper, les choses se produisent toujours de la même manière — c’est leur nature.
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Pourquoi pratiquons-nous ? Nous pratiquons pour abandonner et non pour obtenir quoi que ce soit. Une dame m'a dit qu'elle souffirait. Ouand je lui ai demandé ce qu'elle voulait, elle a dit qu'elle voulait être éveillée. Alors i'ai répondu :« Tant que vous voudrez être éveillée, vous ne pourrez pas l'être. II ne faut rien vouloir,»
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Bouddhisme et Philosophies.
3 octobre, à 11 h 15 ·
L’impermanence.

Le Bouddha nous a appris à observer les choses précisément là où elles apparaissent. Une fois apparues, elles ne durent pas ; elles disparaissent et d’autres choses apparaissent qui finissent aussi par disparaître – mais ce n’est pas ce que nous voulons !

Quand notre esprit est en paix, nous voulons qu’il continue à être en paix, nous ne voulons pas qu’il s’agite, nous voulons nous sentir bien or ce souhait est contraire à la réalité.

Le Bouddha nous a dit de commencer par voir et comprendre clairement la nature de tout ce qui nous entoure.

Ce n’est qu’ensuite que l’esprit sera vraiment calme et paisible.

Tant que nous ne connaîtrons pas ces choses, tant que nous ne comprendrons pas nos humeurs, nous demeurerons des personnes changeantes, nous nous attacherons à nos humeurs et cela tournera à l’entêtement et à l’orgueil..
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Si vous avez le temps d'être attentif, vous avez le temps de méditer.
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Le Bouddha a enseigné qu’il faut observer tout ce qui se présente. Les choses ne durent pas. Après s’être manifestées, elles cessent ; ayant cessé, elles apparaissent à nouveau puis, étant apparues, elles cessent encore. Mais quelqu’un dont l’esprit est confus et qui n’a pas la connaissance, ne veut pas qu’il en soit ainsi. Quand nous méditons et que l’esprit s’apaise, nous voulons demeurer ainsi, sans être dérangés, mais ce n’est pas réaliste.
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Il n’y a rien là qui exige un entraînement difficile. Par exemple, des parents préviennent un enfant qu’il ne doit pas jouer avec le feu : « Ne t’approche pas du feu, c’est dangereux, tu vas te brûler ! » L’enfant peut ne pas croire ses parents ou ne pas comprendre de quoi ils parlent mais, s’il touche le feu une seule fois et se brûle, ses parents n’auront plus besoin de lui expliquer les choses ni de le surveiller.
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Ne pas être attentif et vigilant, c'est comme être mort. Demandez-vous : « Aurai-je le temps de pratiquer quand je serai mort ? » Demandez-vous constamment: « Quand vais-je mourir ?» Si nous contemplons les choses ainsi, notre esprit sera présent à chaque seconde. Quand il n'y a pas de relâchement, l'attention suit automatiquement. La sagesse sera claire et les choses seront perçues telles qu'elles sont réellement. L'attention prendra soin de l'esprit, elle sera consciente de l'apparition des sensations à tout moment, jour et nuit. Voilà ce que signifie sati. Avoir sati, c'est être calme et posé. Être calme et posé, c'est être attentif. Si on est attentif, on pratique correctement. C'est votre responsabilité.
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Étudier la méditation, c'est étudier la persévérance et le lâcher-prise.
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