Akimine Kamijyo

Code Breaker T.1 (/26) by Akimine Kamijyo (né au Japon en 1975) 192 pages – Pika édition – 02 Février 2011 –



… Et puis de temps en temps, on croise un ouvrage qui captive tellement qu'on en a pas le temps de prendre des notes.



Ôkami et Sakura, le « Code Breaker » et « le spécimen rare »

Ôkami est nouveau en ville, Sakura l'a surpris en train de bruler des gens dans des flammes Bleu comme la nuit.

Mais la police fait fort mal son travail ‘(?)..

Quelle surprise pour Sakura de revoir le garçon qu'elle suspecte de meurtre, au sein de sa propre classe.

Vous croyez qu'elle prendrait des gants ? Qu'elle ferait profil bas ? Pas du tout !



Ôkami abat son châtiment Quasi divin sur ceux qu'il pense qui le méritent. Il est un « Code Breaker » il appartient à une élite qui ne peut pas être jugé.

Il n'a aucun scrupule à Brûler Sakura mais seulement… ça ne fonctionne pas.



Code Breaker, un manga où les justiciers pourraient faire ce qu'ils veulent, exercer la justice comme ils l'entendent. « Éprouver des sentiments humains » c'est bien cela le principal…

Un conseil: Vous devez lire ce livre.



Phoenix

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Finalement, je suis maso et très curieuse, j'ai décidé d'acheter ce tome après l'avoir feuilleté sur plus de la moitié du volume en magasin. À voir donc si ma curiosité sera récompensée ce coup-ci.



Bon ben finalement non toujours pas avec ce manga... Les graphismes sont certes agréables et bien fait mais je n'arrive pas à accrocher à l'histoire ni aux personnages. Sakura est beaucoup trop naïve à mon goût et croit vraiment tout ce qu'on lui raconte. Elle s'est déjà fait avoir 2 fois, mais non elle croit toujours en la bonté humaine malgré tout. Malheureusement, dans ce manga, elle est la seule à avoir un sens aigu pour la justice et l'honneur, même les flics s'en fichent. D'une certaine manière, cela fait penser à une caricature du monde actuel où tout le monde, et surtout dans les plus hautes sphères des pays, pense d'abord à eux (et à son compte en banque) plutôt qu'aux plus démunis et à faire régner la loi et la justice. Mais bon, Sakura est vraiment trop extrême dans son caractère, elle ne sait réfléchir que dans une seule direction, c'est vite lassant.



Quant à Ogami, on en apprend plus sur son passé grâce à l'arrivée d'un second Code:Breaker. On en apprend également un peu plus sur eux et sur l'organisation qui les emploie.



Mis à part ça, une fois le livre refermé, je ne me souviens déjà plus de l'histoire. Vous voyez donc à quel point elle m'a passionnée... Je ne retenterais donc pas avec le tome suivant.



Comme vous l'aurez compris, je vous conseille donc de vous faire votre propre avis sur ce manga et cette histoire de justicier du mal intouchable. Pour ma part, je lirais d'autres mangas de cet auteur dont j'apprécie néanmoins le trait et les graphismes.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Livre conseillé par un ami, grand lecteur de mangas.



Je connais l'auteur de celui-ci car elle a également réalisé « Samuraï Deeper Kyo » dont il me semble avoir lu les 10 premiers tomes grâce à une médiathèque.



La couverture de ce tome est très belle, toute bleue avec les 2 personnages principaux et quand on y regarde bien, le titre est principalement écrit avec la lettre « I ». Curieux... Est-ce que cela a un rapport avec ce manga ?



Au début de ce tome, nous bénéficions de quelques pages en couleur qui nous permettent d'observer les flammes bleues du mystérieux jeune homme du résumé. Grâce à celui-ci, il a la possibilité de brûler des ordures, entendons par là des êtres humains se comportant comme tel (des voyous, des dealers...)



Sakura, une jeune lycéenne, a assisté impuissante à un de ces bûchers bleus. Elle va alors tout faire pour retrouver le jeune homme, Rei Ogâmi, puis essayer de le faire revenir à la raison pour qu'il arrête de brûler des gens. Pour elle, la justice et la loi sont plus importants que tout. Malheureusement pour elle, Rei ne croit plus en rien à part en son boulot d'éboueur où il débarrasse toutes les villes des ordures qui les gangrènent...



Les graphismes représentant les personnages sont très beaux et bien réalisés. Par contre, ceux des combats ne sont pas toujours très clairs principalement, je pense, par manque de couleurs. Dommage... Quoique...



J'ai lu ce tome en entier mais je ne lirais sans doute pas la suite car je ne trouve aucun attrait à cette histoire et il y a un peu trop de violence à mon goût. Et vu que c'est un peu le but de ce manga, ça ne me donne pas envie de lire la série complète.



Comme vous l'aurez compris, je ne vous conseille guère ce manga malgré les graphismes de l'auteur. Mais bon, comme on dit : « Chacun ses goûts », vous apprécierez peut-être plus que moi cette histoire mêlant magie et violence urbaine.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Ce manga démarre vraiment très bien, dans cet album double, on a droit a deux tomes pour presque le prix d’un ce qui n’est pas non négligeable car le manga est de qualité.



Nous suivons les aventures de Kyoshiro, une jeune médecin tout gentil, qui, d’après la légende renfermerait une autre personnalité, Kyo aux yeux de démon. Il rencontre très vite la jolie Yuya, une chasseuse de primes, qui à le don pour s’attirer les ennuis.



Ensemble ils vont rencontrer de nombreux ennemis et venir en aide à quelques villages tout du moins dans le premier tome. Dès le tome deux, on retrouve le personnage cruel de Jimon qui se donne beaucoup de mal pour réveiller la deuxième personnalité de Kyo et le provoque. Son agressivité finit par porter ses fruits: le Kyo démoniaque se manifeste. Dans le même temps, on apprend que la femme à laquelle Kyo n'a pu enlever la vie autrefois, s'appelle Okuni…



Ce manga est simple, bien construit et semble posséder un énorme potentiel. Les dessins sont simples et efficaces et on avale les 400 pages de ce premier double album sans s’en rendre compte.



Que demander de plus ?

Code : Breaker, tome 2 – Akimine Kamijyo (Japonais né en1975) – Tome 2 sur 26 – 208 pages –Pika éditions 06 Avril 2011–



Ôgami est super badass. Y a le badass « too much » et le « badass » style Ôgami ce genre de passages qui font qu’on est content ou pas d’un Livre. Il ne faut pas que le héros se veuille stylé, il faut en plus qu’il le soit.

On peut penser qu’Ôgami est brutal envers Sakura, mais en fait, il la tient éloignée de dangers encore pires.



Sakura et Ôgami sont mignons, on les entend presque parler.



Franchement, c’est fort d’avoir introduit autant d’humour dans un manga de hors-la-loi si tragique.



Code 06 c’est le nom de code « Code : Breaker » de Ôgami. On apprend qu’il n’en existe que 6.



Toki Code : Breaker 04 fait so apparition et il tripote Sakura, donc Sakutra en a après Rey (06) mais Rey n’est interessé par personne et 04 est interessé par Sakura ! J’adore quand les choses sont simples !

…Mais 06 ne serait-il pas cependant un peu jaloux ?



« Ôgami fait le mal ! Mais ce n’est pas quelqu’un qui ignore la souffrance d’autrui et la valeur de la vie. »



Sakura essaye d’empêcher 06 de tuer des gens. Ils sont différents… Je ne suis pas sûr que ça marche entre eux sur le long terme.



C’est donc 04 qui fait tout le sale boulot. (Ils sont missionnés par des ordures pour détruire d’autres ordures).



Tabata a tout du pire salopard dealer d’organes et mérite certainement de se faire défoncer…



Je m’arrête là pour vous laisser la surprise…



« Je ne supporte pas « le mal » alors job ou pas job si j’aperçois le mal, je le brûlerai. »



Ça finit en Cliffhanger de dingue.



LE manga qui me plaît en ce moment.

Pas réellement de défauts.



J'espère que vous aurez envie de le lire, mes Phoenix!



Phoenix

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Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg

Je l'ai commencé...pas continué, du moins pour l'instant. Ce manga propose de très beaux dessins, les personnages sont attachants à leurs manières mais certaines scènes sont un peu trop violentes à mon goût (peut-être suis-je une petite nature) Le manga propose aussi (et je crois que dans beaucoup de mangas on y a droit) une ou deux scènes de nudité, mais je m'y suis habituée, il n'empêche que Yuya a quand même le droit de prendre un bain en gardant son flingue à proximité!

La série des SDK (samurai deeper Kyo) est un grand classique. L'une de mes premières séries manga. Elle n'a pas vieillie et c'est toujours un plaisir de la relire (attention, 38 tomes). Les personnages évoluent et murissent au cours des tomes, tant en caractères qu'en dessins, et leur passé se révèle peu à peu, ainsi que la complexité des relations qui les relient entre eux. Les pouvoirs au fur et à mesure deviennent moins réalistes, mais cela passe bien avec l'histoire qui s'éloigne aussi progressivement de son empreinte historique (Sekigahara...). Un classique à lire et relire.

Une série un peu trop étirée à mon goût, malheureusement, avec des longueurs vers la fin, dommage.

MAIS !

Les héros sont très charismatiques et attachants, l'aventure est bien ficelée, les dessins sont beaux...

C'est vrai qu'à la fin, on tourne un peu rapidement les pages parce que ça tourne pas mal en rond, mais ça aboutit à une fin digne de l'histoire : j'ai beaucoup ri et pleuré sur le dernier tome.



Bref, un manga sympa, plus profond qu'il n'y paraît, agréable et beau.

Par contre, pas forcément pour tous les âges : 14 ans est un minimum, à mon humble avis.

J'ai beaucoup aimé !

Critique pour la saga



Et quelle saga ! Sombre, de l'action, plus mature que Naruto ou One Piece. Une des meilleures sagas de Mangas que j'ai lue dans ma vie. Et en entier !!! Elle a un point final excellent.

Chaque personnage a ses démons internes qu'il doit résoudre.

Bon bien sur parfois caricaturé, mais on n'y échappe rarement dans ce style de Shōnen.



Bref, prenez votre week-end, tous les volumes et que le plaisir commence.

Comme j'ai pu aimer cette série...



Les personnages variés et bien développés, les super combats, l'intrigue générale, et ce malgré le petit côté pervers du personnage principal.



Un très bon souvenir de lycée !

super manga avec beaucoup de combats au sabre assez impressionnant

Objectivement, je devrais dire que SDK a tout de la série commerciale: des personnages stéréotypés, des potiches aux gros seins, une histoire qui n'avance pas afin de faire fructifier le nombre de volumes (un combat par tome sur la fin c'est un peu abusé...), des scènes qui se répètent... Bref, pas de quoi casser trois pattes à un canard. En série sur les samouraïs, on a vu mieux quand même...

Cela étant dit, je dois reconnaître que, même frustrée par le contenu pauvre des volumes sur la fin, j'ai suivi toute la série avec un intérêt certain. Les dessins sont beaux, les personnages attachants et les mystères entourant les mibu suffisamment bien entretenus pour nous tenir en haleine jusqu'au bout.

Dans le bus, en rentrant de l'école, Sakura voit une scène des plus étranges : plusieurs personnes sont en train de mourir brulés par d'étranges flammes bleues, pendant qu'un homme se tient au milieu, sans réagir, jouissant du spectacle.

Le lendemain, elle se rend compte que cet homme est le nouveau de l'école, Rei ! L'effet de surprise passé, elle décide de directement aller vers lui pour lui dire qu'elle l'a vue faire, dans le parc, le soir passé.

Il nie farouchement, l'air innocent, souriant, mais ça ne suffira pas à convaincre la jeune fille qui retourne sur les lieux le soir même.

Malheureusement, elle se retrouvera confrontée à une bande de brutes qui ne supportent pas les gêneurs ...

Rei fera une arrivée fracassante à ses côtés, et il ne pourra plus nié son identité à la jeune fille.



Sakura est une jeune fille qui a droit aux regards de tout les garçons du lycée.

Elle est jolie, mais surtout, a cet air fragile dont les mecs raffolent. Elle a toujours l'air un peu en retrait, dans la lune, plongée dans un livre qui la fait doucement rigoler ou qui l'émeut tellement qu'elle en verse de délicates larmes.

Sauf que ...

Elle a la force d'un boeuf, un caractère bien trempé, et les livres qui l'a font pleurer sont les magazines d'art martiaux qui parlent d'un combat intense qu'elle trouve magnifique.

Elle reçoit toujours le même type de déclaration, du style "J'ai trop envie de te protéger", alors que la plupart du temps, c'est plutôt elle la plus apte à protéger l'homme qui l'accompagne.

Ce côté-ci du personnage apporte bien sûr une touche comique, avec des situations assez marrantes, bien que encore un peu clichées.



Rei, quant à lui, reste le personnage mystérieux. Bien que l'histoire soit en grande majorité focalisée sur lui, ce premier tome est à peine suffisant pour le présenter.

Je ne peux donc pas bien encore juger le jeune homme, il me faudra attendre les tomes suivants pour ça.

En attendant, on peut le résumer par quelques mots : dangereux, secret, manipulateur, froid mais (y a des chances) avec un bon fond.

Pas trop mal pour un début je crois =)



Franchement, il n'y a vraiment pas grand chose à dire sur ce premier tome, c'est vraiment juste une présentation de l'histoire.

Cela dit, bien développée, l'histoire peut être vachement sympa, les bases ont l'air de contenir les bons éléments pour en faire quelque chose de très intéressant au final : action, charisme des persos, sentiments (?), magie, émotion, ...

Le dessin est assez classique pour ce genre d'histoire, pas de surprises à ce niveau-là. Loin d'être moche, mais pas non plus extraordinaire. Il est joli et rend très bien dans les scènes de combats.
Lien : http://archessia.over-blog.c..

LA BAGARRE !



Samurai Deeper Kyo, c'est LE manga de mon adolescence. Et ça, des combats en veux-tu en voilà, on est servi avec cette série !

Chaque personnage a le droit à son duel, contre des adversaires toujours plus puissants qui leur demandent de se dépasser toujours plus.



C'est classique et ça commence à devenir sacrément répétitif, mais c'est toujours aussi dynamique dans les combats et chouette graphiquement, avec quelques beaux gros plans et belles poses, et l'humour fait mouche entre des instants plus sérieux voire dramatiques.



Une bien chouette relecture.

Dans ce troisième opus Kyo prend le pas sur Kyoshiro et s'en donne à cœur joie lors des combats. Aussi fort soit-il sabre à la main, il vraiment insupportable et pas très intéressant. L'intrigue évolue peu même si quelques bribes d'informations sont disséminés entre deux combats.

Une fin magique, un grande tristesse de quitter cette saga qui, bien qu'un peu longuette, soit géniale !

J'ai beaucoup ri et pleuré sur ce dernier tome, et je ne le regrette pas !

Samurai Deeper Kyo fait partie des grands classiques des mangas et il n’est pas de prime jeunesse. Pourtant, je trouve qu’elle possède toujours cet élan de dynamisme et de sauvagerie. Les samouraïs font partie intégrante de la culture japonaise aussi bien pour les autochtones que pour les occidentaux. Quoi de plus normal de les retrouver dans des mangas ? Akimine Kamijyo a décidé de trouver un terrible personnage à la particularité d’avoir deux personnalités bien distinctes. D’un côté un pervers pas très malin qui fait penser à City Hunter et de l’autre un tueur sanguinaire. Comment les différencier ? Trop facile, un est simplet avec une passion pour les poitrines généreuses et l’autre agit faisant couler du sang. Il n’apparaît qu’en situation de danger et la couleur de ces yeux changent. L’effet globule rouge change la couleur de ces pupilles. Son personnage me fait penser à Kenshin qui après être devenu un assassin samouraï hors pair à décider de garder son épée malgré l’interdiction en retournant la lame pour faire le bien. Un début similaire mais un angle radicalement différent dans le déroulement de l’histoire. Le personnage risque de devenir de plus en plus indomptable et de nouveau la mort va sévir sur son passage. Après, il assassine des méchants qui volent les pauvres, exploitent les femmes et tuent des enfants ce qui est plus moral. Scènes de violence garanties mais rassurez-vous tout est en noir et blanc avec une bonne grosse touche d’humour.
Lien : http://22h05ruedesdames.com/..

Yuya et Kyo poursuivent leur route et affrontent de nombreux adversaires, Jimon, Kazura et pour finir les tricolores de la famille Kido. Les combats sont nombreux et les adversaires ont des pouvoirs quasi-fantastiques. L'intrigue ne décolle pas vraiment mais la lecture est plaisante.

Japon,1604, quatre ans après la bataille de Sekigahara. Kyoshiro, un samouraï pharmacien rencontre Yuya, une chasseuse de primes qui le prend pour le célèbre Kyo aux yeux de démons. Des combats de sabres et de l'humour ado au programme de ce shonen. L’ambiguïté du héros laisse entrevoir une suite intéressante.

Bon manga, très bien fait. Les noms sont compliqués , les actions très rapides. Il y a beaucoup d'humours. C'est un manga violent et gore (âme sensible s'abstenir! ).



Ugo