AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Akira Toriyama (786)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Dragon Ball - Extra : Comment je me suis réin..

Depuis quelques années la Planète Manga est assaillie de titres appartenant au genre « isekai », Portal Fantasy édulcorée dans le meilleur des cas, carrément éco+ dans le pire des cas. le pitch est toujours le même et utilise tous les codes du fanservice : un geek lamba est victime d'un accident, il se réincarne en machin dans le monde trucmuche et vit les aventures dont il rêvait dans sa vie d'avant (souvent avec un côté Die & Retry tiré des mécanismes du monde des jeux vidéos)… C'est exactement le cas ici, et personne n'est dupe puisque le personnage principal déclare lui même qu'un héros victime d'un accident et qui revient à la vie dans un autre monde, c'est un scénario vu et revu !

N'empêche qu'ici ça reste cool et fun, avec un fan de "Dragon Ball" qui se réincarne en Yamcha et qui débarque dans la série après la première invocation des dragon balls à la fin de l'Arc Pilaf. Il kiffe sa race en découvrant ses héros adorés, et il pourrait profiter de la situation en prenant la poudre d'escampette avec Bulma sauf qu'il se rappelle que celui qu'il incarne est destiné à mourir comme un merde au début de l'Arc des Saiyans… Loser un jour loser toujours, car loser dans son ancien monde il s'est réincarné en loser dans le nouveau monde. Il décide donc de prendre d'autres décisions que le personnage d'origine pour ne pas finir en boloss dont la mort pathétique en PLS est devenu un mème… L'idée est géniale, changer l'histoire sans changer l'Histoire, sauf que c'est traité au pas de course et qu'on passe en avance rapide jusqu'à un combat contre Nappa et Vegeta truffé d'ellipses donc soupirs !

On a une deuxième partie où le réincarné en Yamcha affronte un autre réincarné en un autre personnage de la saga à l'époque du Cell Game : on a le côté Die & Retry, la confrontation entre deux fans de "Dragon Ball", et l'explication finale avant l'épilogue … Sinon, il est ajouté un bonus triangle amoureux assez sympa, et un bonus fusion à la con parfaitement dispensable…



Un manga pour fans donc. Beaucoup de bonnes idées insuffisamment exploitées, car ces quelques chapitres auraient plus constituer une vraie bonne série tellement il y a de vrais bons « what if ? » à concocter autour de la franchise "Dragon Ball". Si le côté Portal Fantasy tombe évidemment à plat dans comme presque toutes les oeuvres « isekai » (aucune incidence entre les deux mondes, aucune évolution des univers, aucune évolution des personnages), le côté fan service est plutôt bien géré. Si Dragon Garow Lee imite le style d'Akira Toriyama à la perfection, ce n'est pas les bons imitateurs d'Akira Toriyama qui manque donc depuis le temps cela serait bien qu'on voit la franchise "Dragon Ball" avec d'autres styles graphiques que celui d'Akira Toriyama (allez voir les artworks de Yusuke Murata sur la saga et vous comprendrez immédiatement pourquoi je dis cela ^⁾

Il n'y a que 100 pages, 140 avec les bonus et les mots de l'auteur, et c'est vendu au même prix qu'un manga de 200 pages : les éditions Glénat continuent de considérer "Dragon Ball" et ses fans comme une pompe à fric… C'est triste, car c'était l'occasion ou jamais de faire un opération promotionnelle pour rebooster la saga !
Lien : http://www.portesdumultivers..
Commenter  J’apprécie          350
Dragon Ball, tome 38 : Le sorcier Babidi

Bon, ce n'est pas du tout mon genre de lecture d'habitude mais alors pas du tout mais étant donné que je vais le mettre au pilon (couverture arrachée et j'en passe) tant il a été lu et relu par le jeune public que j’accueille en médiathèque, je voulais essayer de comprendre le succès de cette série. Certes, pour tous ceux comme moi j'imagine qui somme nés dans les années '80, j'ai regardé cette série diffusé au Club Dorothée et chantée par Ariane mais dans mes souvenirs, elle n'était pas aussi compliquée. Je me souviens d'un petit garçon qui volait sur son nuage orange et ou, je me rappelle effectivement qu'il y a avait des combats mais je n'ai pas souvenance d'une telle myriade de noms.



Bref, je m'y suis quand même retrouvée (à peu près si ce n'est pour qui est le fils de qui dans nos héros mais cela na pas forcément d'importance. Ici, ce qui compte, c'est que le dénommé Babidi (tout petit mais extrêmement puissant) s'est allié avec le roi des démons Dabra afin de ramener à la vie le super méchant Boo. Comment comptent-ils s'y prendre ? En aspirant toute l'énergie négative chez les humains, et particulièrement ceux qui ont des intentions de gloire et de pouvoir, bref en cherchant dans chaque être humain les vices qu'ils ont en eux !



Une lecture divertissante, assez humoristique par moments (pour les points positifs) mais pas du tout faite pour moi (je n'y ait absolument pas retrouvé les souvenirs de mon enfance...bon vous me direz, j'aurais dû commencer par le tome 1 t non, comme c'est le cas ici, par le 38 mais je ne choisis pas toujours les livres que je vais pilonner et j'avoue que devant l'étendue de la collection que je possède en médiathèque (et encore, il me manque de nombreux numéros), je ne vais pas m'amuser à tous les lire ! Très peu pour moi !
Commenter  J’apprécie          346
Dragon Ball Super - Broly

Mon dernier anime comics sur l'univers Dragon Ball qu'il me restait à lire.

L'OAV Broly est sans nul doute le plus abouti de tous. Autant le Broly des années 90 était pure haine, autant celui de Dragon Ball Super est plus brutal et bestial tout en gardant une part d'humanité.



Grâce toujours à l'esprit calculateur de Freezer, Broly se voit affronter Goku et Végéta. Et si au début ils arrivent à tenir tête à Broly, ils se voient vite dépasser par ce dernier.

Celui-ci voit sa force et sa puissance augmenter au fur et à mesure des combat contre Goku et Végéta et de plus sa puissance augmente de façon exponentielle face à eux.

Si bien que Goku et Végéta devront recourir à la technique de la fusion pour se transformer en Gogéta. Union de Goku et Végéta grâce à la technique de la fusion.

Et malgré le grand pouvoir de Gogéta Broly lui tient tête et sa force ne cesse de croître même contre lui.



C'est un très bon OAV ainsi qu'un sympathique anime comics qui ravira tous les fans de Dragon Ball. Que ce soit les récents ou les vieux de la première heure.
Commenter  J’apprécie          321
Dragon Quest : Illustrations

Au commencement fut l'aventure bon enfant ! https://www.youtube.com/watch?v=YtQVIInfkCo



La franchise "Dragon Quest" a largement été inspirée par la fantasy occidentale à la "Donjon & Dragon", et bien qu'elle ait quasiment créé le genre JRPG elle reste encore trop méconnue de par le monde à cause de guéguerres commerciales absolument débiles dont je vous épargnerais le récit (mais essentiellement lié au fait que malgré antériorité chronologique et artistique de la franchise "Dragon Quest" les grands pontes de l'industrie du jeux vidéo ont toujours misé sur la franchise "Final Fantasy" pour l'exportation à l'étranger, ce qui est d'autant plus débile que les premiers opus des deux séries étaient réputés pour leur politique d'emprunts croisés ^^). La saga a acquis une telle place au sein de l'immense communauté japonaise des gamers qu'il fut décidé par les plus hautes autorités que les nouveaux opus sortiraient désormais durant les vacances, la sortie de chaque épisode de la saga étant accompagnée de vagues massives d'absentéisme à l'école puis au travail… ^^

Cette saga doit sa popularité à sa simplicité : dans un univers fantasy générique un héros héroïque, dont le nom est « le héros » et qui appartient à la classe des héros, doit combattre des méchants maléfiques à l'aide d'un groupe de compagnon appartenant aux classes des guerriers, des budokas, des prêtres, des magiciens ou des sages biclassés prêtres et magiciens (avec l'ajout de marchands et d'artistes pour la touche humoristique ^^). Il va donc vivre moult aventures et périples, rencontrer de nouveaux alliés et rallier à sa cause des champions adverses, tout ce beau monde devenant de plus en plus puissant pour affronter des ennemis de plus en plus puissants jusqu'à l'inévitable boss de fin surpuissant (souvent à tiroir, dans la plus grande tradition vidéoludique ^^). Évidemment, les méchants ne pensent qu'à semer mort et chaos pour dominer le monde tandis que les gentils sont unanimement animés par l'amitié, le courage et l'esprit de sacrifice. Déjà vu certes, mais quand c'est bien fait l'esprit bon enfant de l'ensemble marche toujours très bien ! (d'autant plus que la plupart du temps les antagonistes sont manipulés et envoyés au casse-pipe par une oligarchie du mal dirigée par un parangon de crevardise débitant des discours suprématistes, du coup je me demande si ce n'est pas un critique déguisée mais édulcorée des épisodes noirs de l'Histoire du Japon).

Crée en 1986 la série se poursuit pour le bonheur des petits et des grands de 7 à 77 ans et plus si affinité : elle compte aujourd'hui 11 épisodes, 20 jeux dérivés et plusieurs adaptations en mangas ou en animes d'assez bonne qualité voire de très bonne tenue... le miracle eut lieu grâce au créateur de jeux vidéos Yuji Horii, aux graphismes d'Akira Toriyama et aux merveilleuses musiques de Koichi Sugiyama !



"Dragon Quest Illustrations" est un beau livre réalisé par des fans pour des fans avec grand soin (on ne peut que saluer tout le travail réalisé par l'équipe de Mana Books !), et consacré non à la franchise "Dragon Quest" mais à la contribution à la saga du légendaire créateur de "Dragon Ball", manga culte s'il en fut ! le mangaka a surtout oeuvré comme charadesginer et monsterdesigner, donc les centaines d'illustrations de cet artbook concernent largement et logiquement les personnages et les créatures, mais le charme des illustrations d'Akira Toriyama est tel qu'il fut bien souvent chargé des couvertures, des jaquettes et des posters... C'est un régal pour les yeux, et je ne peux que regretter que le mangaka ait privilégié la Science-Fiction à la Fantasy car elle était clairement faite pour lui (à sa décharge elle n'existait pas dans le Japon qui l'a vu naître et qui l'a vu grandir). La nostalgie joue à fond, mais je suis toujours autant surpris que le style d'Akira Toriyama ait aussi peu et aussi bien vieilli : ses créations des années 1980 n'ont pas pris une ride, au point de continuer à figurer dans les opus les plus récents de la saga.

J'aurais aimé plus de texte pour avoir davantage d'information sur la série (avec des résumés / présentation de chaque épisode par exemple), mais l'ouvrage est centré sur l'oeuvre d'Akira Toriyama donc c'est déjà bien d'avoir une chronologie de la série, les mots de Yuji Horii et d'Akira Toriyama, ainsi que les commentaires du mangaka sur ses propres créations...
Commenter  J’apprécie          310
Dragon Ball Z - Battle of Gods

"Dragon Ball Super: Battle of Gods" est un anime comics qui est donc tiré d'un OAV. C'est différent de la série régulière.

Je me souviens que quand j'étais môme dans les années 90 les anime comics ou tout simplement les tomes qu'on pouvait trouver en avance en version japonaise, c'était la folie dans la cours de récré, quand on a été biberoné à Dragon Ball toute son enfance.



Dans Battle of Gods qui marque le début de Dragon Ball Super et la suite de Dragon Ball Z (on peut mettre Dragon Ball GT dans une catégorie à part), Beerus le dieu de la destruction se réveille après un long sommeil et décide de trouver le Super sayian divin. Qui après quelques séquences se révélera être Goku.



Dans les débuts de DBS l'humour est plus présent, bien que par la suite le manga devienne un peu plus sérieux, à la manière d'un DBZ.



Pour un anime comics, Battle of Gods est plutôt de bonne qualité. Avec de belles frames capturées.

Je n'ai pour l'instant pas la suite de la série régulière de Super en mangas papier. Part contre j'ai les anime comics de Golden Frezeer et de Broly, que je lirais très prochainement.
Commenter  J’apprécie          301
Dragon Ball Super, tome 5

Alors un manga si c'est fait dans les règles de l'art, cela est un peu comme un comics, il faut une dose (même légère) d'humour! Ceci passe souvent par des carricatures de bad guys, celui du tome 5 de Dragon Ball Super a pour joli projet de « détruire tous les humains » je sais pas trop ce que vous en pensez mais il y a de quoi faire pipi dans la culotte à Kévin CE2 èé…



Le personnage de Trunks se défend et place quelques coups habiles. Végéta y va à fond ! Même crevé, le Prince des Sayens pioche dans l'énergie du désespoir pour repartir en Blue une autre fois.



Végéta dévaste complétement le terrain aha…



Mais cela n'arrête pas Zamasu qui étend désormais son projet de « tuer tout le monde sauf moi » à toutes les dimensions parallèles…



Page 65 il y a un retournement de fou mais je ne vous dis pas lequel!



Zen-O est amené à prouver sa valeur, il a la top classe. Même s'il est écrit comme un personnage très enfantin. Il est l'ami de Goku, qui lui trouve un deuxième ami, parfait.



J'ai été mort de rire au clin d'oeil à « parce que c'est notre projet! ».



Page 83… Non je ne vous spoil pas, mais c'est assez rigolo : )…



P.104 si vous voulez voir un « Goku Terminator » :').



Beerus raille « Blessé dans son orgueil comme d'habitude aucun intérêt ».



Son Goku le tournoi entre tous les univers débutera dans…40h! Attention Son Goku car le royalisme de Dragon Ball n'est pas mieux que nos « démocraties » … C'est bien par la peur que domine Zen-O…



On a un avant goût de la grosse mêlée avec « le Tournoi des Dieux de la destruction » qui est très sexy et dans lequel Beerus se distingue avec brio. J'ai largement préféré ce T5 à son T4.



Pour mémoire:



T1 = 5/5.

T2 = 4,5/5.

T3 = 4,5/5.

T4 = 4/5.

T5 = 5/5.



A+ dans le bus!
Lien : https://charlyyphoenix.wordp..
Commenter  J’apprécie          293
Dragon Ball Z - Cycle 1, tome 5

Et voilà que je termine déjà le dernier volet de ce premier cycle. Vegeta n'avait pas encore tout montré de ce dont il est capable, Goku en est estomaqué et se battre contre ce monstre s'avère de plus en plus compliqué. Heureusement que Gohan et Krilin perçoivent sa détresse et décident de faire demi-tour pour lui venir en aide. Un autre allié va également s'en mêler, à la surprise de tout le monde... Mais vont-ils réussir à vaincre enfin Vegeta ?



Un combat ultime impressionnant, où chacun y met tout ce qu'il peut, avec de nombreux rebondissements et une fin plus que surprenante laissant une porte grande ouverte pour les cycles suivants, et laissant présager de futurs moments épiques.



Gohan, petit garçon aussi courageux que son père, bien qu'un peu plus peureux (n'oublions pas qu'il a 5 ans !), est mignon comme tout et attendrissant à défendre son papa. Goku, quant à lui, est fidèle à lui-même : prêt à se sacrifier et donnant tout pour sauver les siens et la planète. Vegeta est terrifiant, endurant, déterminé.



Des moments forts. Des combats terrifiants. Une fin quelque peu décevante mais nécessaire pour la suite. De l'action. Des effets "spéciaux" grandioses. Un tome final délirant !

Commenter  J’apprécie          283
Dragon Ball Z - La résurrection de F

Malgré que La Résurrection de F (Freezer) soit un anime comics tiré de l'OAV du même nom, il n'en reste pas moins canon au manga d'origine.

Bien que les séquences de cet animé ne figurent pas dans le manga, il en découle tout de même de cette histoire, la suite dans l'œuvre originale.

Freezer, orgueilleux et hautain tel qu'on le connait revient à la vie grâce aux Dragon Balls...

Et pour se venger de ses ennemis décidé de s'entraîner lui, qui jusque là ne s'était contenté que de ses acquis et de sa puissance innée, s'entraîne ce qui le conduira à une nouvelle forme de toute puissance à l'aspect doré pour venir à bout de ses ennemis de toujours.

Mais même en étant un fin calculateur, Freezer se rendra vite compte que tour ne va pas se passer comme il l'aurait espéré.
Commenter  J’apprécie          271
Dragon Ball Z - Cycle 1, tome 4

Nous retrouvons nos trois seuls compères qui ont survécu jusque-là aux Saïyens, à Nappa exactement puisque Vegeta n'est pas encore intervenu. Mais Goku arrive enfin et sa force ayant décuplé grâce aux entraînements de Kaio, c'est l'espoir que tout n'est pas perdu qui renaît. Après avoir terrassé Nappa, le combat contre Vegeta s'avère être beaucoup plus difficile que prévu...



Culpabilité, tristesse d'avoir perdu ses alliés et amis, espoir et désir de vengeance dominent le déroulé de cet opus. On perd également un nouveau combattant, celui sur qui tout reposait avant l'arrivée de Goku, nous offrant un petit moment émouvant au milieu de tous ces combats époustouflants. C'est ici aussi que Vegeta, l'un de mes personnages chouchous, dévoile une partie de son potentiel.



Ce tome est rythmé par les combats et les répliques cinglantes (et quelquefois grossières). Il y a donc énormément d'action, un peu d'humour comme d'habitude. Les pouvoirs et la force de chacun sont dévoilés petit à petit, à se demander si Goku et Vegeta ont des limites. Tout se déroule très vite, à l'inverse de l'anime de mon enfance (ou du moins des souvenirs que j'en ai, de la gamine que j'étais il y a plus ou moins 30 ans).



Le duel Goku/Vegeta est on ne peut plus décoiffant, alors que Vegeta n'a pas encore dévoilé son dernier atout, ce qu'il fait à la toute dernière page, nous abandonnant sur notre faim...



Ce quatrième tome est l'un des plus énergiques de ce cycle, l'un des meilleurs également pour qui aime l'action et les combats.

Commenter  J’apprécie          2711
Dragon Ball, tome 1 : Sangoku

Y a t-il encore des gens qui ne connaissent pas Dragon Ball? Ce manga qui raconte l'histoire d'un étrange petit garçon doté d'une queue de singe, Son Goku, âgé d'une douzaine d'année, qui vit seul dans les montagnes après la mort de son grand père. jusqu'au jour où sa vie paisible va être chamboulée par la venue de Bulma une jeune fille très active qui recherche les légendaires " 7 boules de cristal".



On Peut voir dans Dragon Ball le précurseur des shonens tel qu’on les connaît aujourd’hui. Il a posé les bases du shonen tel qu’on le connaît maintenant, et depuis, peu ont réussi à jouer avec ses codes de façon aussi originale.



Si au départ Dragon Ball est un titre d’aventure avec quelques combats et beaucoup d’humour, il va très vite évoluer et s'orienter sur les combats seuls et développer l'aspect familial et multi-générationel. La force de ce manga réside dans sa constante évolutions et les différentes facettes des personnages.



Dragon Ball est un titre qui ne peut que nous séduire, nous les fans de shonen de la première heure.
Commenter  J’apprécie          251
Dragon Ball Super, tome 15

Salut les Poussins !! ; -) ça gaz?...

Ah, Dragon Ball !! le manga sans doute le plus connu au monde... Peu de gens savent ce qu'est "Dragon Ball Super" et "Dragon Ball" tout court. (Qui a beaucoup vieilli). Quant à Dragon Ball GT, il est tant décrié par la critique qu'on a pas envie de le regarder... Il y a de nombreux films hors-série. Tout le monde connaît en revanche Dragon Ball Z. Goku, le Super Saiyen et Freezer le Tueur de Planètes. Voir, le Prince Végéta. Il y a eu tellement de créations originales de la part des fans.

Dragon Ball Super T.15 - Moro l'Astrophage - Akira Toriyama (Scénario) - Toyotaro (dessins) - glénat - 187 pages.

Goku n'arrête jamais de se dépasser. Même contre Moro au sommet de sa force, il n'a pas besoin de se défendre, ses abdos sont un bouclier tout naturel. Moro récupère le bras que Mérus lui avait coupé. Il acquiert ainsi de nouvelles ressources.

« Son organisme ne doit pas supporter la puissance angélique, il commence à s'hypertrophier. Voilà ce qui arrive quand on prend les forces divines à la légère. »

(p.41)

« Pour acquérir cette technique, un long entrainement est nécessaire. Tu ne pourras pas la maîtriser si facilement. »

(p.42)

On voit des antagonistes adopter des formes gigantesques come jamais vu dans Dragon Ball...

C'est fun !! Je m'amuse beaucoup.

Nos héros s'unissent dans le don de leur énergie et c'est plutôt beau.

Retournement de situation de ouf p.79.

Sans trop vous spoiler la scène ressemble à tout un tas de trucs je ne serais peut-être pas comment expliquer le mieux mais SNK par exemple.

Pas de sépulture pour les méchants...

« La paix est revenue dans l'univers… du moins, pour quelque temps… »

(p.118)

Je ne vous divulgue pas tout les Cliffhangers.

Enfin un vrai Gun Fight dans Dragon Ball !! Pf! "Granola" du peuple des Céréaliers?! Sérieux?...

Les anges ne peuvent pas intervenir. Après tout pourquoi pas.

(Un p'tit clic sur mon Lien? Je l'ai màj)

(Déso pour ceux qui ont assistés au faux départ! J'avais oublié plein de passages!).

Phoenix

++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg
Commenter  J’apprécie          240
Dragon Ball Super, tome 10

À vrai dire, le tome 10 était le seul qui me restait à lire pour le moment.

Étant sur la lecture de "Ça" tome 2 de Stephen King, je m'octroyais quelques petites pauses avec "Dragon Ball Super" et la série des "Doggybags" du Label 619.

Dans ce tome 10, avant que je puisse me prendre les tomes suivants, il ne se passe pas grand chose, à part un coup de rage de Buu face à Moro.



Un peu déçu de ce tome mais ce n'est que partie remise en attendant la suite de l'arc. Ce n'est pas un tome catastrophique pour autant, mais le rythme est plus lent dans les combats et plus axé sur l'intrigue de ce début d'arc en soit.
Commenter  J’apprécie          241
Dragon Ball Z - Cycle 1, tome 3

Ça y est ! Les Saïyens ont débarqué, l'heure est venue pour nos héros de prouver qu'ils ne se sont pas entraînés pour rien. Mais les deux Saïyens, Vegeta et Nappa, sont encore plus forts que ce qu'ils pensaient. Et Goku qui n'est pas encore là... Il s'agit désormais de résister le plus longtemps possible pour lui laisser le temps d'arriver. Que fait-il ?



Toujours aussi riche en action et en combats, ce tome ne manque pas de rebondissements. Si on ne sait pas encore ce que vaut Vegeta, on a eu tout à loisir de s'en rendre compte pour Nappa, qui a terrassé certains de nos comparses. Désormais, il ne s'agit plus uniquement de sauver la Terre, il s'agit également de venger nos défunts amis combattants et de leur rendre justice.



Cet épisode est un peu plus triste que les autres, puisque nous perdons des amis fidèles. Mais il ne manque pas d'humour non plus, ni d'humanité. Le tout jeune Gohan est touchant, toujours aussi mignon, ne lui reste plus qu'à prendre confiance en lui. Piccolo fait preuve d'un sang froid exemplaire, d'ailleurs tous se reposent et comptent sur lui.



Ce tome ne manque pas non plus de "gros mots", j'en ai d'ailleurs fait la remarque à mon fils, qui lui en est au troisième cycle, et qui m'a répondu de ne pas m'inquiéter, que quand il y en avait, il sautait à la bulle suivante sans les lire (il va de soi que je le crois sur parole hein ! ...).



Un tome palpitant, qui joue avec les nerfs de tout le monde (lecteurs compris), à nous faire espérer l'arrivée de Goku d'un moment à l'autre. Et qui s'arrête justement à ce moment-là !

Commenter  J’apprécie          240
Dragon Ball Super, tome 4

DB Super s'essouffle-il ?

Pfiou c'est compliqué ! Zamasu, qui est à la fois Black Goku et Kaio Shin se bat contre Goku, pendant que Végéta se castagne Black Goku « devenu Rosé »... (Me demandez pas ce que ça veut dire...).

La première partie est sans pitié, trop peu d'évolution par rapport au tome 3...

Quant aux combats, ils sont ce qui compte et très inégaux en début de tome, ça se rattrape après mais c'est trop tard, on a perdu quelque chose.

Page 64 l'idée de revoir Vegetto est aguichante... Ça « démarre » enfin.

L'humour est aussi présent, ce qui est un plus. Les potalas se voient « simplifiés » ; )...

Page 108 Zamasu semble utiliser « La Force » aussi bien que Dark Vador lui-même.

Le méchant est très très méchant (lol!) comme on en voit qu'au cinéma !! « Que tout le monde disparaisse à part moi ! » …

Page 115 Vegetto apparaît enfin, ce Sayen mythique né de l'union entre Son Goku et Végéta. Il domine complétement son adversaire, qui lui aussi a utilisé les potalas. Vegetto est presque au même niveau que Beerus.

Je met 4/5 car il a été très dur à démarrer avec des petits combats sans enjeux. Les affrontements de la fin, eux, sont glorieux.
Lien : https://charlyyphoenix.wordp..
Commenter  J’apprécie          246
Dragon Ball, tome 1 : Sangoku

Qui ne connaît pas "Dragon Ball" ? Personne ou presque !

Et que nous disent les Saintes Écritures de Dragon Ball ? ^^

Au commencement était le Nekketsu, et le Nekkestu était avec Toriyama, et le Nekketsu était Toriyama.

Toutes choses dans le shonen ont été faites par lui, et rien de ce qui a été fait dans le shonen n’a été fait sans lui.

En lui était la vie, et la vie était la lumière des lecteurs de manga.

La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçu.

Il y eut un homme envoyé de Toriyama : son nom était Goku…





Pour une fois je ne vais critiquer le traitement de la culture populaire dans mon pays, puisque que le Festival d’Angoulême a décerné à Akira Toriyama un prix pour l’ensemble de sa carrière. C’est d’ailleurs le seul qu’il n’ait jamais reçu : il est surnommé « l’Empereur sans couronne », n’ayant jamais reçu un prix au Pays du Soleil Levant, qui aime bien snober tous les mangaka qui puisent leurs inspirations ailleurs qu’au Japon. Cela ne l’a pas empêché de rencontrer un succès planétaire. Mais tel Hector premier parmi les hommes à jamais second derrière Achille pareil aux dieux, Akira Toriyama restera le premier des mangaka à jamais second derrière Ozamu Tezuka pareil aux dieux.

Toute la nouvelle génération s’en réclame : Eiichiro Oda ("One Piece"), Masashi Kishimoto ("Naruto"), Hiro Mashima ("Fairy Tail"), Tite Kubo ("Bleach)", Atsushi Suzumi ("Venus Versus Virus"), Kentaro Yabuki ("Black Cat"), Shinya Suzuki ("Mr. Fullswing")… Souvent copié, rarement égaler, le meilleur héritier de l’empereur sans couronne est finalement Yoshihiro Togashi, mais ceci est une autre histoire…





Dans "Dr Slump", le mangaka parodiait la science-fiction de Tezuka et ses successeurs dans un esprit cartoon très Looney Tunes. Dans "Dragon Ball", il repend son univers de The World, en alternant cette fois-ci science-fiction et contes de fées.

C’est un vrai bonheur pour un amateur de science-fiction de repérer les clins d’œil à "Star Wars", "Star Trek", "Terminator", "Alien" et même au doyen du genre "Frankenstein"… Et tout ça, c’est avant que la série ne marche sur les plates-bandes du space-opera à la DC Comics, ou l’arc des cyborgs avec tous ses voyages dans le temps (et bien ficelés s’il vous plaît !).

C’est vrai bonheur pour un amateur de fantasy que d’identifier les détournements du classique chinois La Pérégrination vers l'Ouest : Bulma en quête des Dragon Balls reprend le rôle de Xuanzang, San Goku celui du roi-singe Sun Wukong, Oolong celui du démon-cochon Zhu Bajie, Yamcha celui du bonze des sables Sha Wujing, et le dragon Shenron reprend évidemment celui du dragon Longwang Sanjun… ^^

La touche supplémentaire, est d’avoir puisé le cinéma de Hong-Kong, très en vogue en Asie dans les années 1980. Si ses confrères Buronson et Hara ont puisé dans le kung-fu tragique Chang Cheh, Akira Toriyama puise lui dans le kung-fu humoristique des films de Jackie Chan (Yamcha lui ressemble beaucoup, Kamé Sennin prendre l’identité de Jackie Chun durant le 21e Tenkaichi Budokai, et je laisse le soin aux amateurs du genre de repérer les nombreux clins d’œil qui sont faits à ce cinéma là).

Je pense même qu’on peut faire un parallèle entre le travail du mangaka et celui du réalisateur Tsui Hark : tous les deux sont en avance sur leur temps en mélangeant action, fantastique et humanisme, tous les deux ont été boudés par les prescripteurs d’opinion et l’establishment culturel.



Oui, il y a beaucoup de tendresse de la part du mangaka envers ses créations : l’ambiance est bonne enfant, personne ou presque n’est réellement méchant, la mort est rarement définitive et l’au-delà est rempli de mecs sympas… Mais au fil des tomes, l’auteur quitte la formule de "Dr Slump", pour construire quelque chose de plus grand et de plus noble. Comme chaque avatar de l’universel Héros aux mille et un visages, Goku est confronté aux dures réalités de l’existence. Et durant l’arc de l’armée du Ruban Rouge, il devient un homme qui assume le rôle qu’il s’est choisi : celui du défenseur du bien et de la justice. Mais pour devenir un véritable héros, il va devoir subir son ordalie : l’altruiste et empathique Goku qui voit le bien en chacun va devoir affronter son exact contraire, égocentrique et sadique Piccolo/Satan qui voit le mal en chacun…

Le manga aurait pu s’arrêter là et cela aurait été très bien ainsi : après avoir vaincu Satan, le Tout-Puissant propose à Goku de lui céder sa place, mais il refuse la proposition préférant vivre une vie simple et tranquille à la campagne auprès de sa famille et de ses amis… Voltaire est vraiment has been avec « il faut cultiver son jardin sans se préoccuper de son prochain », car Goku lui ne va cesser de défendre son prochain, au péril de sa vie s’il le faut… D’ailleurs il est mort et ressuscité deux fois pour le Salut de l’humanité ! Car il y a en plus un côté rédempteur voir christique en Goku qui réussit bien souvent à transformer ses ennemis en amis : « Si ton frère a péché contre toi, reprends-le ; et s'il se repent, pardonne-lui ».

Et l’auteur enfonce le clou en faisant ensuite en faisant de Goku le nouveau Kal-el, l’enfant de l’espace qui choisit de défendre sa planète d’adoption plutôt que d’en être le conquérant et le tyran. Mais en reparlera quand on y arrivera… ^^

Car il y a très longtemps, à quelques milliers de kilomètres de la ville, au fin fond de la montagne… Commence notre histoire…





Dès le tome 1, les graphismes sont très matures, dégageant une véritable personnalité. Les arrière-plans sont soignés et travaillés, alternant les paysans des montagnes sacrée de la Chine éternelle aux vastes étendues désertiques à la "Star Wars". Le cadrage et la mise en scène sont très réussis : tout est très clair, très storyboardé donc très cinématographique, à des années lumière du manque de lisibilité qui est la plaie des shonens de dernières générations. L’auteur se paye même le luxe de jouer avec Goku qui fait rebondir Yamcha les bordures extérieur d’une case… Bref, c’est un régal pour yeux des amateurs de manga.



Goku s’élève seul au fin fond de la forêt depuis le mort son grand-père San Gohan sous les coups d’un monstre mystérieux, et il ne connaît absolument rien du vaste monde : il fait tellement Perceval des temps modernes que je demande si l’auteur ne s’est pas inspiré des mythes arthuriens (ce n’est pas comme le héros n’entamait une quête du Graal avant de rassembler autour de lui les artistes martiaux de la Table Ronde ^^).

Le récit est structuré comme un conte de fée, avec quelques tirages sur la table des rencontres aléatoires comme interludes :

- on rend service à l’immortel Kamé Sennin

- on s’oppose à un ogre qui enlève les jeunes filles

(presque sûr qu’il y a une bonne blague derrière cochon transformiste obsédé par les filles, habillés en uniforme maoïste… surtout quand on connaît la tumultueuse vie privée du Petit Timonier)

- on fait la rencontre de Yamcha le bandit du désert

- on fait route vers la Montagne de feu de Gyumao le roi taureau

C’est gentil tout plein, mais ce n’est pas terrible du tout :

- le running gag de la petite culotte

- le running gag du pan-pan

- le running gag du paf-paf

- Bulma un peu exhibitionniste sur les bords qui craque pour tous les BG qu’elle croise

- Chichi déguisée en fantasme pour lolicon (même si on cligne là de d’œil à d’autres titres)

- les gags pipi-caca-prout et un comique de situation essentiellement basé en dessous de la ceinture

Ah ça ne vole pas haut, l’auteur peine à sortir du ton "Dr Slump" que j’ai toujours détesté à cause de son toilet humour…



On ne va pas se mentir, cette première quête des Dragon Balls est à passer au plus vite pour entrer dans le vif sujet et voir l’auteur passer à plus ambitieux et plus consistant.

Commenter  J’apprécie          249
Jaco : The galactic Patrolman

Jaco est un patrouilleur galactique appartenant à la super élite du roi de la galaxie, il est enthousiaste mais naïf, maladroit et gaffeur, confondant allègrement action movies et vraie vie… Omori est un scientifique à la retraite qui vit sur une petite île à l’écart des turbulences du monde, où il travaille d’arrache pied à la construction d’un machine à voyager dans le temps pour sauver sa femme et ses collègues du terrible accident qui leur a coûté la vie… Tights est une jeune romancière de science-fiction dramatiquement en panne d’inspiration…



Par inattention Jaco a crashé au milieu de nulle part son vaisseau désormais inutilisable… Qu’importe puisqu’il est bien sur la planète Terre qu’il doit protéger de l’arrivée imminente d’un extra-terrestre surpuissant et belliqueux, mais avant cela il doit décider si l’humanité mérite d’être sauvée… C’est entre les deux extrêmes du vieillard aigri et misanthrope et de l’adolescente curieuse et pleine de vie qu’il va découvrir ce trou paumé qu’est la troisième planète à droite de Sol 1 !

On est chez Toriyama donc c’est la fête : un requin géant, des voyous hoplites / chevaliers / samouraïs, des policiers ninjas, une popstard ébile, et de gros détournement des super-héros comics et des super-sentaïs avec un simili Green Lantern Corp commandé par un slime de "Dragon Quest", le sauvetage de la navette emprunté à un épisode iconique de "Superman", les poses "Power Rangers" de Jaco… (remember le commando Ginyu ! mdr)

Derrière la grosse déconne, une histoire simple et belle. Je ne sais pas si Akira Toriyama a entendu parler du livre de Réné Fallet ou du film de Jean Girault, mais le look de Jaco, les situations, les running gags… On est carrément dans la version japonaise de "La Soupe aux choux" et cela transpire de tout partout la bonne humeur et l’humanisme !

https://www.youtube.com/watch?v=mMKnzjHThmA



Jaco va comprend que l’accomplissement de soi peut passer par une vie simple et heureuse, Omori va retrouver foi en l’humanité et en lui-même et Tights va retrouver inspiration et imagination avant de renouer avec sa famille.

Tout est bien qui finit bien ? Bien plus encore qu’on pourrait le croire puisqu’à cause d’une prise de bec burlesque avec Tights, Jaco rate sa mission et sa confrontation avec le dénommé Kakarotto, renommé ultérieurement Son Gokû, n’aura jamais lieu. Grâce à cela, celui qui devait conquérir la Terre deviendra le super-héros défenseur de la Terre avant de devenir celui de la Galaxie… Car la dernière page nous montre Bulma âgée de 16 ans partir à la recherche des dragon balls qu’elle soupçonne d’être d’origine extraterrestre… ^^



Le chapitre bonus nous montre Jor-El et Lara Lor-Van, euh pardon, Bardak et Giné qui se demandent si leur situation particulière n’est pas une solution pour leur société toute entière… Et alors que Freezer convoque tous les Saiyans sur la planète Végéta, ils envoient leur fils cadet sur une planète considérée comme le trou du cul de la galaxie : la Terre !

Et c’est ainsi qu’Akira Toriyama termine sa carrière de dessinateur : en offrant avec une narration et des graphismes maîtrisés de main de maître un préquel à l’une des plus grandes sagas de la Planète Manga… Chapeau l’artiste !





Une bouffée d’air frais qui fait du bien, un diamant de bonne humeur qui file la patate, un petit morceau d’espoir au fond de cette Boîte de Pandore qu’est le monde d’aujourd’hui ! Et cerise sur le gâteau la VF de Glénat est tellement soignée qu’elle a tout d’une édition de luxe… L’histoire est complète et forme un one-shot, alors amis documentalistes et bibliothécaires n’ayant pas les moyens d’investir dans les 42 tomes de "Dragon Ball" je n’ai qu’un seul mot à dire : foncez !!!
Commenter  J’apprécie          233
Dragon Ball Super, tome 2

Faisant suite à l'excellent Dragon Ball Super T1, le T2 est légèrement en-dessous, souffrant de la comparaison avec l'éternel prémices, la cultissime des débuts. Goku affronte Forst, mais celui-ci joue il vraiment fair-play?!... Piccolo puis Végéta entrent en scène, s'en suit le combat contre Otta Magetta et son deux ex... Cabba, l'apprenti Sayen, formé sur le tas par Végéta... Le combat final oppose Son Goku à "Hit" le Super Sayan blond va au delà des limites! Après ce face à face chatoyant, Zen-O "Le Roi de Tout" apparait, il a une façon de parler à la fois désinvolte et familière, serrant la main de Son Goku et annonce organiser un autre tournoi inter-univers... Ensuite, dans un futur post-apo, Trunks, fils de Bulma et Végéta, rebrousse le temps de dix-sept ans pour atteindre un univers parallèle... Celui que l'on connait bien!...

Le Scénario se complexifie. Nous somme désormais à l'aube d'un tournoi entre les douze univers organisé par Zen-O. En plus de celui des mondes 6 et 7. Puis le récit nous offre une parenthèse avec les événements de Trunks.

Trunks a la classe, il est le seul du LORE Dragon Ball a manier une épée.

J'adore (simplement) le personnage de Goku et son Antichrist, "Black Goku" (Ok là la la c'était facile r_r...)... Le p'tit ton léger de Zen-O, ça pourrait être moi qui l'ai écrit !! XD... Une pensée... Si Zen-O était réellement "Le Roi de Tout", peut-être ment-il et a il déjà organisé des centaines de tournois similaires...

Que penser de ce manga? On a plus "l'effet de surprise" du T1... La chorégraphie des combats, les personnages, sont toujours aussi biens... Franchement si vous avez aimé le T1, foncez sur le T2;)...
Commenter  J’apprécie          222
Dragon Ball, tome 28 : Trunks

Dans e ce tome 28 suite et fin du combat épique et désormais culte opposant Goku le Super Saïyen à Freezer le tyran intergalactique ! Et malgré la colère et la violence, jusqu'au bout Goku ne transigera pas avec ses principes humanistes, Freezer finissant par se condamner lui-même tandis que Goku tente désespérément de quitter une planète Namek sur le point d'exploser…



En guise de transition, Akira Toriyama faisant en 1 chapitre ce que d'autres auraient mis 1 ou 2 tomes à délayer, la team Goku s'affaire pour ramener leur leader à la vie avec les dragon balls des Nameks… Sauf que Goku n'est pas mort, il est en voyage d'apprentissage martial à travers la galaxie !



Début ensuite directement, et en fanfare l'arc des cyborgs. La team Goku, désormais augmenté de new Piccolo et de Végéta, doit faire face à une expédition de représailles menée par le souverain de la planète Cold et son fils transformé en cyborg. Sauf que les ennemis de la Terre se font tous éclater en un coup par un nouveau et mystérieux super saïyen…

Que de moments cultissimes pour les amoureux du manga shonen, et ce n'est que le commencement ! Car là où d'autres auraient teasé sur des mystères mystérieux durant des tomes et des tomes, Akira Toriyama balance toute de suite le sauce : Trunks est un visiteur du futur venu les avertir qu'un péril bien plus grand que la team Freezer les menace et révèle tous ses secrets à Goku revenu sur Terre (et donc aux lecteurs !).

Grâce au visiteur du futur, Goku ne meurt pas d'une maladie cardiaque rare et pourra ainsi faire face avec ses amis à la menace des cyborg... Un homme averti en vaut deux et c'est après une ellipse de 3 ans d'entraînement intensif, donc de power-up, que nous retrouvons tout le monde à 9 km au sud-ouest de la capitale du sud pour accueillir comme il se doit les nouveaux super vilains de la saga. Et on apprend que durant ce laps de temps, l'intrépide Bulma a pécho Végéta et lui a fait un enfant dans le dos : serait-ce lui le mystérieux super saïyen venu du futur ? blink
Commenter  J’apprécie          220
Dragon Ball, tome 26 : Le petit Dende

Dans ce tome 26, clairement divisé en 2 temps, Akira Toriyama réutilisent ses schémas de prédilection qui avait déjà bien marché dans l’arc du combat contre Nappa et Végéta :

- dans la première partie du tome, on retrouve le schéma méchant surpuissant joue avec la team Goku, mais tout ou partie de la team Goku donne du fil à retordre audit méchant surpuissant qui énervé passe à la vitesse supérieur…

Sauf qu’ici les mêmes trucs et astuces sont réutilisés à chaque évolution de Freezer donc cela devient vite répétitif !

Notons aussi le chouette gimmick des évolutions du méchant surpuissant, qui ridicule de prime abord va devenir à l’arrivée badass & classe (schéma qui sera repris pour Cell puis Bou dans les arcs suivant de la saga), la forme ultime de Freezer étant celui d’un moine shaolin de petite taille mixé avec un alien androgyne vindicatif. ^^

- dans la deuxième partie du tome, on retrouve le schéma de la team Goku aux abois qui reprend espoir à l’arrivée de l’artiste martial messianique qui va ici déployer toute sa panoplie de coups et de techniques spéciales contre un méchant surpuissant qui rencontre pour la première fois de sa vie un adversaire qui conteste véritablement sa supériorité qu’il pensait définitivement acquise… et rien à redire ici car c’est un combat topissime, mais le meilleur reste encore à venir !



Il est intéressant de voir que le mangaka ne sait pas que mettre en scène les bastons d’anthologie, qui a donné naissance à l’adjectif de « dragonballesque »… Car la première partie s’attarde sur Végéta qui recourt aux pouvoirs de guérison de Dendé pour enchaîner les chocs métaboliques dont il pense qu’ils feront de lui le super saïyen légendaire (car bien sûr il est persuadé qu’il ne peut s’agir que de lui-même), avant qu’il ne soit vaincu à plates coutures par Freezer. Et juste avant d’entamer la deuxième partie, c’est finalement agonisant qu’il reporte ses rêves et ses espoirs sur Goku dans un monologue émouvant où il lui demande de devenir le vengeur de leur peuple… Tout ça c’est de l’excellente mise en place de l’événement qui va marquer à jamais l’histoire du shonen !!!
Commenter  J’apprécie          220
Dragon Ball, tome 11 : Le Grand Défi

Dans ce tome 11, le 22e Tenkaichi Budokai continue et Krilin remporte son combat contre Chaozu par la ruse en perturbant les pouvoirs télékinésiques de son adversaire par un bombardement de questions de calcul mental… ^^

Goku triomphe rapidement de Pamputt le lutteur de l'impossible par un bon coup de coude au niveau de la cage thoracique (une de ses spécialités, qu'il utilise à plusieurs reprises dans le manga).

La demi-finale entre Tenshinhan et Jackie Choun est bien plus disputée… Jusqu'au moment ou ce dernier décide unilatéralement de se retirer de la compétition en sautant hors du ring. Ici, on sent très bien les valeurs positives du mangaka, ce passage ne lui ayant servi qu'à planter les graines du Bien dans le coeur de l'élève du malveillant Tsuru Senin au travers des tirades du bienveillant Kamé Senin.

On suit ensuite une demi-finale assez sympa entre Goku et Krilin, chacun rivalisant de ruses, Krilin profitant de la naïveté de Goku pour compenser son infériorité sans pour autant réussir à l'emporter.



La deuxième moitié du time est entièrement consacré à la finale entre Goku et Tenshinhan, les deux combattants rivalisant de techniques de combat diverses et variés… Les coups pleuvent des deux côtés !

Tsuru Senin ordonne à Chaozu d'utiliser ses pouvoirs pour truquer le combat, mais Kamé Senin veille au grain en se débarrassant de son ancien compagnon d'armes par un bon vieux kaméhameha ! Libéré de l'influence néfaste de son maître, Tenshinhan tente le Shiyoken, la technique des quatre bras, puis le tout pour le tout avec le Kikoho !
Commenter  J’apprécie          222




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Akira Toriyama Voir plus

Quiz Voir plus

Dragon ball

Comment s'appelle le personnage principal ?

Sengoku
Sankogu
Sangoku
Senkogu

11 questions
295 lecteurs ont répondu
Thème : Dragon Ball, tome 1 : Sangoku de Akira ToriyamaCréer un quiz sur cet auteur

{* *}