Il s'est ensuivi une sorte de solidarité de caste. Sans doute aussi parce que l'ancien gendarme est sympathique et qu'il a un regard franc. Cela ne veut rien dire. Si les criminels avaient la tête de l'emploi, on le saurait et cela simplifierait le travail de la police.
Me précédant dans cet exercice de style bien difficile: la rédaction d'une préface, Paul-Emile Victor a justement dit qu'il ne suffisait pas d'avoir une idée mais que le tout était de la réaliser. j'ajouterai: puis de la faire vivre et dans ce domaine que les fluctuations, les modes, les engouements, les désamours n'ont pas épargné, ce flux et ce reflux ne rendent pas la tâche aisée.
C'est tout à l'honneur de Patrick Sermadiras d'avoir réussi dans une entreprise difficile qui, en s'adressant à tous, allie art et information, art et communication.
[extrait de la préface de Henri Amouroux de l'institut de France]
Chaque fois qu'il m'arrive d'abandonner le domaine auquel je m'intéresse de puis des années, je découvre les plaisirs et les enrichissements que procure l'ignorance. Je me plonge, par exemple, dans le guide de l'Art International, le "Sermadiras". Là, pas de parti pris, pas de chapelles, pas d'idées reçues, l'esprit et l'oeil vagabondent. On aime ce qu'on aime, sans souci de l'artistiquement correct. On se promène, de-ci, de-la en terrain inconnu, avançant, reculant, tout au long d'un parcours qui réserve les surprises de l'aventure et les conforts du voyage organisé.
[extrait de la préface d'Henri Amouroux]
Un corps s’effondre sur le bord du chemin et le tireur, après avoir retiré les papiers d’identité des poches de sa victime et ses clefs de voiture, l’entraîne à l’abri des regards derrière une haie.
Il appuie sur un des boutons de la clef qu’il vient de subtiliser. Les feux de position d’une Citroën clignotent. L’homme ouvre la portière, retire les documents qui se trouvent dans la boite à gants et rejoint sa voiture sans plus d’émotion que s’il avait tiré un lapin.
Encore un qui n’aura plus à s’inquiéter pour son addition au tabac !
Dezuiwer et ses compagnons ne sont pas insensibles. Ils s'obligent à ne pas prendre à cœur ces scènes sordides. Il faut rester froid autant que possible et laisser l'émotion en dehors du travail
Il est si facile de faire croire à ses électeurs que le problème, c'est l'autre!