« La lame siffla enfin, et trancha net la main du soldat qui hurla, autant de colère que de douleur. Le corps plié en deux, il protégea son moignon douloureux dans le creux de son bras valide. Puis, très vite, il ressentit le picotement caractéristique de la blessure qui se referme et du processus de régénération qui se met en route. Les trois hommes virent bientôt le moignon grandir, des petits doigts apparaître et, peu à peu, la main se reformer. »