AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.61/5 (sur 84 notes)

Nationalité : Canada
Né(e) à : Lituanie , le 11/06/1934
Biographie :

Alain Stanké, de son vrai nom Aloyzas-Vytas Stankevicius, est journaliste, éditeur, écrivain et animateur de télévision québécois.

Il a publié beaucoup de grands écrivains aux Éditions Internationales Alain Stanké (propriété de Quebecor depuis 1997).

Il est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages dont une autobiographie intitulée Des barbelés dans ma mémoire à propos de son enfance passée sous l'occupation nazie et soviétique.

Il a immigré au Canada en 1951. Après avoir travaillé pour les Éditions de l'Homme de 1961 à 1971, il lance les Éditions La Presse en 1971 avant de fonder sa propre maison d'édition en 1975. À la télévision, il a créé Les Insolences d'une caméra (1961).

Source : Wikipédia
Ajouter des informations
Bibliographie de Alain Stanké   (25)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Alain Stanké, auteur des livres Barbelés dans ma mémoire, Ceci n'est pas un roman, c'est ma vie ! et autres livres.


Citations et extraits (58) Voir plus Ajouter une citation
6 juin 1944
Les Américains se préparent à débarquer sur la plage d'Omaha Beach.
Les Allemands déclenchent aussitôt une colossale tempête de tirs sur les navires de Yankees.
Face au carnage, un soldat américain se penche à l'oreille de son compagnon et dit :
"Ça doit être une plage privée. J'ai l'impression qu'on dérange !"
Commenter  J’apprécie          130
Préface de Jane Birkin
Grâce à ce livre, mon père est là, devant moi, entouré de ces Bretons qu’il admirait tant, quittant la côte anglaise à bord de son bateau les nuits sans lune, naviguant sur une mer féroce. Et là, réfugiés sur la côte française, des pilotes canadiens, anglais et américains attendaient dans le noir…
Job Mainguy donne son signal du haut des falaises, et ces jeunes garçons de l’Air Force seront bientôt saufs, en route vers Dartmouth avec mon père comme navigateur.
(…) Les résistants gardaient les aviateurs dans leurs greniers,les cachaient des jours, des mois, leur donnaient à manger, les habillaient, les occupaient sans réveiller les soupçons des voisins, attendant mon père ou encore le capitaine de corvette Peter Williams su son sister-ship.
Il fallait prêter une attention particulières aux détails. Par exemple, ces hommes venus d’ailleurs étaient de plus haute taille que les Français et fumaient leurs clopes de manière différente. S’il se trouvait beaucoup de héros dans la population, il y avait aussi des espions et des traites.
Envers et contre tout, pendant quatre ans, les résistants firent face à l’adversité…
Commenter  J’apprécie          103
Page 211
"L'homme n'est pas entièrement coupable : il n'a pas commencé l'histoire ; ni tout à fait innocent, puisqu'il la continue".
Commenter  J’apprécie          80
-Mais enfin, puisqu'ils tuent des gens, n'y a t-il pas quelqu'un qui pourrait les tuer eux aussi ?
Le regard inexpressif devient chargé de pitié.
-Il y en a eu, dit-il, mais ça n'a pas donné grand chose. On ne réglera jamais rien avec des armes !
Commenter  J’apprécie          60
Entre l'état et le devenir existe un temps indéfinissable pendant lequel la mémoire s'alourdit d'effroyables souvenirs. Il suffira peut-être d'en raconter une partie pour que, vidée de ses obsessions, la mémoire se libère.
Commenter  J’apprécie          60
Comme c'est étrange! Je viens à peine d'avoir 6 ans et je ne m'étais jamais rendu compte qu'on pouvait vivre sans avoir l'impression que ce n'était pas une chose naturelle. Je ne m'étais jamais rendu compte qu'on pouvait tout aussi bien mourir à 6 ans que vivre.
Commenter  J’apprécie          50
On nous prend notre argent, on nois chasse de notre maison, mais le principal c'est qu'on ne nous sépare pas ! Tant que nous pourrons vivre ensemble nois serons heureux.
Commenter  J’apprécie          50
- Sais-tu pourquoi on chante tant dans notre pays? me demande-t-il. Non? Eh bien! je vais te le dire. C'est que, pour danser, il faudrait cesser de travailler, avoir les mains et les pieds libres, tandis que le chant n'empêche pas la besogne. Il accompagne le paysan du matin jusqu'au soir. Il fait la tâche légère. Chez nous, quand on danse, c'est que le travail est fini.
Commenter  J’apprécie          40
Témoignage de Guy Hamilton ,réalisateur de quatre films de James Bond (…) Fils de diplomate britannique né à Paris , il parle couramment le français et commença sa carrière en 1939 comme assistant de Julien Duvivier. (…) Mais revenons à cette autre sorte de cinéma que représente mon séjour de cinq ans dans la marine de guerre de Sa Majesté. J’ai eu, là aussi, ma part d’aventures, mais avec armes à tir réel et la mort aux trousses (…).
On m’a souvent demandé si je pensais aux moments de suspense de nos missions lorsque j’ai tourné, plus tard, des fils de James . Il est certain que lorsqu’on a vécu des moments de suspense, on s’en souvient toute sa vie, mais James Bond c’est du cinoche. (…)
Notre travail n’avait rien à voir avec ces charmants clichés. Je me souviens de nos jeunes agents. Ils étaient tout le contraire de Bond. (…) Je n’avais moi-même que vingt-deux ans.
Commenter  J’apprécie          30
Ce 15 juin 1940, mes six ans ont découvert la guerre et je sais que jamais plus rien ne sera comme avant.
Commenter  J’apprécie          50

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Alain Stanké (98)Voir plus

Quiz Voir plus

BLOG J-P Blondel

Quel est le passe-temps favori du narrateur ?

Jouer à la marelle
Aller au cinéma
Aller sur son blog
Faire ses devoirs

7 questions
20 lecteurs ont répondu
Thème : Blog de Jean-Philippe BlondelCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..