Bubber résista pendant une éternité, pleurant de douleur et d'épuisement.
Il s'accrocha durant la première vague. Il s'accrocha durant la seconde vague, plus faible. Il s'accrocha pendant que les traînards et les estropiés se poussaient avec peine dans l'abîme. Tout à leur extase. Il s'accrocha encore dans le silence qui suivit. Il s'accrochait encore quand le sommeil vint, lui apportant l'oubli.