Apparemment avec sa bibine et sa violence, il avait transformé leur existence en enfer. Mais maman ajoutait, comme si elle conservait un peu de fierté pour ce salopard, que ce n’était jamais contre eux, qu’il était violent. À cela, Polly répondait, comme son frère Abe, que rien qu’en étant violent en leur présence, il l’était contre eux. C’était ce qu’ils avaient appris en classe quand on leur avait parlé des violences à la maison et de leur effet sur les enfants.