Toute dette devrait alors être remboursée, par un gain, comme une bonne action. Si la personne responsable d’une dette ne s’en acquitte pas, le poids de celle-ci serait alors transmise à la génération suivante, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’une réparation symbolique permette enfin au porteur de la dette d’être délivrée de ce poids.