La France vit des heures difficiles, le général Weygand et le corps d’armée sont vaincus et se replient en juin, le maréchal Pétain entre en scène le 17 juin : « Je fais à la France le don de ma personne », et c’est l’armistice. Le 18 juin, De Gaulle, à Londres, reprend la balle au bond : « la France a perdu une bataille, etc… ». C’est la débâcle, Édith, comme tant d’autres, fuit la capitale et se replie sur Toulouse, avec son Meurisse ; et Canetti, avec eux, en bon imprésario, leur organise une tournée du Sud.