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Vidéos de Albert Cohen (22)
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Thelx11 décembre 2022
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Pire lecture de ma vie : "Belle du seigneur" - J'ai besoin de vous en parler ! (Tiboudouboudou)

Voici mon avis ou plutôt ma critique sur "Belle du seigneur" d'Albert Cohen qui est pour moi un ouvrage dangereux, je peux officiellement dire que ça a été la pire lecture que j'ai jamais faite !

#booktube #livre

videos05 décembre 2021
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#belleduseigneur #albertcohen #cultureprime
Ce roman, procès de la passion amoureuse, est radical : on aime ou on déteste mais pour beaucoup, il y a eu un avant et un après "Belle du Seigneur". Ces 850 pages, commencées avant la Seconde Guerre mondiale mais terminées en 1968, ont fait dire à Albert Cohen qu'écrire est un acte d'amour.

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ThibaultMarconnet01 août 2021
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Albert Cohen, le dernier épique : Entretiens (1976 / France Culture). Une série d'entretiens produite par Françoise Estèbe et Jean Couturier, réalisée par Danièle Fontanarosa et Vanessa Nadjar. Attachées de production : Daphné Abgrall et Odile Joëssel. Coordination : Sandrine Treiner. Photo : Albert Cohen chez lui à Genève le 2 juin 1981. Ulf Andersen • Crédits : Getty. Albert Cohen, né à Corfou, le 16 août 1895, mort à Genève le 17 octobre 1981, est un écrivain, dramaturge et poète suisse romand dont l'œuvre est fortement influencée par ses racines juives. D'abord diplomate, militant sioniste jusqu'en 1944, il publie son premier roman en 1930 mais ce n'est qu'en 1968 qu'il connaît la consécration littéraire avec "Belle du Seigneur".

00:00 1er épisode : « Je suis bien content, mon bel Albert, que tu aies repris ta plume d’or »
Dans ce premier entretien réalisé en 1976, Albert Cohen nous parle de l'origine et de la signification de son nom. Il évoque sa rencontre avec Marcel Pagnol au lycée à Marseille et cette indéfectible amitié qui les liera leur vie durant.

26:00 2ème épisode : Une acceptation joyeuse du malheur
Albert Cohen a 10 ans. Il est victime d'une agression antisémite d'une violence inouïe. Cet épisode le marque pour la vie. Malgré la haine dont il a fait l'objet, il cultive dans "une acceptation joyeuse du malheur" une "tendresse de pitié" à l'égard de l'humanité.

52:26 3ème épisode : "Belle du Seigneur", une œuvre sensuelle d’anti-passion
Entre lectures et commentaires, Albert Cohen nous parle de "Belle du Seigneur", de Solal et Ariane, amants passionnels et, à travers eux, de ses propres contradictions.

01:16:51 4ème épisode : Le roi Mystère
L'amour, les femmes, le désir... Sur tous ces sujets, la vision d'Albert Cohen est décidément bien éloignée de celle du Solal de Belle du seigneur. Loin de lui la fougue et les passions brûlantes.

01:42:45 5ème épisode : « Assez de réalités invisibles, j’étouffe »
Albert Cohen est agnostique. Cependant, il prend Dieu au sérieux et le vénère tout en ne croyant pas en lui. Il s'explique avec passion sur cette contradiction.

Sources : France Culture et Wikipédia
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videos19 février 2020
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Dans cet épisode de Réelles fictions, le professeur de littérature Pierre-Louis Fort parle d'Avant que j'oublie, un roman d'Anne Pauly. Il aborde l'écriture du deuil, le style particulier de l'autrice et le roman familial.

Réelles fictions est une série de podcasts qui présentent les cinq romans sélectionnés pour le prix Effractions. Ce prix récompense un roman qui entretient un lien fort avec le réel ; il est remis par la Bibliothèque publique d'information et la Société des Gens de Lettres pendant le festival littéraire « Effractions » en mars 2020.

Références citées dans le podcast :
Simone de Beauvoir, Une mort très douce, Gallimard, 1964.
Jacques-Bénigne Bossuet, Sermon sur la mort : et autres sermons, Flammarion, 1996.
Jacques-Bénigne Bossuet, Oraisons funèbres, Garnier, 1988.
Albert Cohen, le Livre de ma mère, Gallimard, 1954.
Annie Ernaux, La Place, Gallimard, 1984.
Annie Ernaux, Une femme, Gallimard, 1988.
Annie Ernaux, Je ne suis pas sortie de ma nuit, Gallimard, 1997.
Philippe Forest, L'Enfant éternel, Gallimard, 1997.
Stéphane Mallarmé, Pour un tombeau d'Anatole, Gallimard, 1961.
Yaël Pachet, le Peuple de mon père, Fayard, 2019.
Extrait lu :
Anne Pauly, Avant que j'oublie, page 16 © Verdier, 2019.

Cet épisode a été préparé par François Patriarche.
Lecture : Denis Cordazzo.
Réalisation : Camille Delon et Renaud Ghys.
Musique : Thomas Boulard.
Merci aux éditions Verdier, à Inès Carme et à Blandine Fauré.
Ce podcast a été enregistré dans les studios du Centre Pompidou.
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videos10 octobre 2018
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Bonjour et bienvenue dans le monde de notre Vie Intérieure. Nous parlons aujourd?hui de l?expérience de voir son image dans un miroir?

« Clarissa (se dirigeant vers la table de toilette) plongea au c?ur même de l?instant, le cloua sur place, l?instant de ce matin de juin sur lequel s?exerçait la pression de tous les autres matins, voyant comme pour la première fois le miroir, la table de toilette, et tous les flacons, se rassemblant toute entière en un point (en se regardant dans le miroir), regardant le visage rose, délicat? de Clarissa Dalloway ; d?elle-même. Elle l?avait vu des milliers de fois, son visage, et toujours avec cette même imperceptible contradiction? Oui, c?était bien elle? »
Virginia Woolf, Mrs Dalloway.

Le miroir n?a pas toujours existé sous sa forme actuelle : il fut longtemps un objet rudimentaire, en métal poli, n?incitant guère à la contemplation de soi. Il ne s?est popularisé dans les foyers qu?à la fin du XVIIIe siècle. Depuis, les miroirs et leurs avatars (photos et réseaux sociaux) sont omniprésents dans nos vies, et nous permettent de nous assurer de notre bonne apparence.

Mais se regarder dans un miroir peut être aussi l?objet d?expériences existentielles plus intéressantes que la simple vérification de son image. L?occasion d?une rencontre avec soi, d?une exploration des liens éventuels entre essence et apparence, avec ce goût particulier que procurent les expériences de sortie de son corps. Car se regarder dans un miroir, c?est se voir comme les autres nous voient, c?est observer un corps vivant, mobile, réactif, changeant? Et dont la contemplation prolongée va activer notre vie intérieure, bien davantage que ne le font les considérations esthétiques, qui sont l?usage habituel des miroirs?

Face à son miroir, sans autre but que mener une expérience de psychologie, on peut donc s?arrêter, et prendre son temps. Il va d?abord falloir laisser s?épuiser les automatismes mentaux, qui se déclenchent tout seuls face à notre image : on vérifie son apparence, on se dit qu?on a pris un coup de vieux, ou au contraire qu?on est resté jeune d?allure, on fait ses petites grimaces sociales (sourire, incliner la tête, froncer les sourcils, mimer différentes émotions?). Une fois passées ces babouineries, comme dit Albert Cohen dans Belle du Seigneur, on passe aux choses sérieuses?

On se regarde longtemps, en se répétant « c?est moi, c?est moi? » Au bout d?un moment, on ressent une impression aussi étrange que lorsqu?on se répète un même mot en boucle : « chocolat, chocolat, chocolat? » Après quelques minutes, survient un phénomène de dissociation entre le mot et l?objet qu?il désigne. Et des interrogations : pourquoi ce mot, et pas un autre, pour désigner cette chose ? de même, face au miroir, surviennent peu à peu des interrogations et sentiments troublés, devant notre reflet : pourquoi suis-je doté de ce corps, de ce visage, et pas d?autres ? Pourquoi ces traits sont-ils associés à mon identité ? Pourquoi cette « partie antérieure de ma tête », comme la définit le dictionnaire, a-t-elle tant d?importance à mes yeux, et à ceux des humains qui me croisent ? Que peut-on penser de moi d?après mes traits ? Mon visage reflète-t-il ce que je suis ?

Et puis, finalement, est-ce que tout ceci est si important ?

Vous vous souvenez du mythe de Narcisse : ce jeune homme était si captivé par sa beauté qu?il finit par mourir d?inanition, en contemplant son reflet à la surface d?une eau limpide. Comment faire pour que notre statut d?animal social, soucieux d?être aimé et accepté par les autres, ne nous conduise pas à être un animal narcissique, pensant que c?est notre image qui compte le plus pour être aimé ? Regardez un peu mieux le miroir : autour de votre visage, il y a le commencement du reste du monde. Il est temps d?y revenir et de le parcourir?

À demain, et ne perdez jamais le lien? avec vous-même.

Plus d'info sur La Vie Intérieure https://www.editions-iconoclaste.fr/livres/la-vie-interieure/
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videos31 mars 2018
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Le choix des libraires. Rencontre avec Bertrand Lamure, libraire de la « Librairie des Marais » située à Villefranche-sur-Saône. Avec lui, découvrez sa sélection d'ouvrages dont « Tolstoï » d'Anna Karénine ou encore « Belle du Seigneur » d'Albert Cohen.
25 mars 2018
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Justine Lévy - Le livre qui a changé ma vie

Albert Cohen : "Belle du seigneur"





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