Dès les années vingt, il collabore à des revues, crée et dirige Esso Rivista. Résistant, il participe activement à la libération de Venise. Une nouvelle qu’il publie en 1932 lui vaut les foudres de la censure pour une phrase qui n’avait pas eu l’heur de plaire à Mussolini : « Avec toutes les femmes qu’il y a sur terre, mieux vaut ne pas se sacrifier pour une seule. ».
Résistant, il participe activement à la libération de Venise.