Mes recherches m'ont en effet permis de découvrir que la vaste majorité des poissons capturés ont été élevés en bassine et relâchés dans le fleuve par les habitants de Bois-le-Roi eux-mêmes. Ces derniers ne peuvent donc ignorer que ces poissons appartiennent nettement plus à la sphère de la "culture" qu'à ce qu'ils appellent la "nature".