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Citations de Alex Alice (158)


- Qui a bien pu vous mettre en tête que les contes de fées n'ont aucun sens?
- M...Mon père, monsieur... Majesté!
- Un homme de sa qualité ne devrait pas ignorer la puissance des mythes... Les contes disent toujours la vérité!
- Mais, majesté... Les fées, les dragons... tout ça, ça n'existe pas!
- Croyez-vous? N'avez-vous jamais eu peur du noir? Craint la solitude? La douleur, le rejet? L'échec? La mort? Voyez-vous, la vérité que nous enseignent les mythes n'est pas que les dragons existent... mais qu'ils peuvent être vaincus. Montrez-moi un homme qui a su triompher de ses peurs... Je vous montrerai un tueur de dragon
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Enfin Séraphin, dans quel cours sommes nous?
-L... latin.
-Tout juste! Et quand je vous demande, en cours de latin, un exposé sur Vénus, à votre avis, est ce que le sujet est la déesse de l'amour chez les romains ou une étoile au fond de votre fichu éther?
-Euh... C'est une planète monsieur... pas une étoile...
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J'ai voulu la paix, et il a fallu faire la guerre, pour arrêter Bismarck et la Prusse. Il nous a vaincu, forcés à rejoindre son alliance. Il a eu ma liberté, bientôt il aura mon trône… ce siècle veut l’empire. Il veut la guerre, et noyer dans la boue des champs de bataille tout ce qui est beau et grand…
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Il n’y a qu’un terrien pour accorder de la valeur à l’or !
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Quelles que soient les intentions des pionniers, après l'exploration vient l'exploitation, ainsi va l'Histoire...
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Grandir ce n'est pas renoncer à ses illusions... C'est assumer ses responsabilités !
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"Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait"
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Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.
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- Un esclave !
- Vous vous oubliez Schneidig. L’esclavage implique l’exploitation de l’homme par l’homme. Les Martiaux, par définition, ne sont pas des hommes.
- C’est ce que les Espagnols ont dit des Indiens d’Amérique ! Mais nous ne sommes plus au seizième siècle : Berlin ne le tolérera pas !
- Allez donc vérifier ! Selon mes ordres, votre appareil doit être en cours de révision… Vous arriverez en Allemagne une bonne semaine après le premier chargement d’éthérite, et ce sera la parole d’un petit capitaine comme huit mille mètres cubes de la substance la plus précieuse du système solaire. Allons, Schneidig... Vous le savez bien, après l’exploration vient l’exploitation.
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- Regarde ! On voit le lac Heiterwanger, le Forggensee, même le Alpsee !
- Je ne reconnais rien du tout ! Où sont les frontières ?
- Dans nos têtes je suppose !
- Ah non ! Parle pour toi ! Je n’ai rien de commun avec un tyrolien ou un autrichien ! Tu as vu comment ils s’habillent ?
- C’est une petite planète, Hans… Si nous ne parvenons pas à nous entendre sur la longueur de la culotte de peau, alors c’est qu’il est grand temps d’aller trouver de nouvelles terres là-haut !
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Voyez-vous, la vérité que nous enseignent les mythes n'est pas que les dragons existent... mais qu'ils peuvent être vaincus.
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Sais-tu quel âge j’avais quand j’ai dû monter sur le trône ? Je n’étais pas beaucoup plus vieux que toi… J’ai voulu la paix, il a fallu faire la guerre pour arrêter Bismarck et la Prusse. Il nous a vaincus, forcés à rejoindre son alliance. Il a eu ma liberté, bientôt il aura mon trône… Ce siècle veut l’empire. Il veut la guerre, et noyer dans la boue des champs de bataille tout ce qui est beau et grand…
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Nous nous ne pouvions laisser à la seule Prusse le contrôle de l’éther… A quelles autres nations allions-nous livrer son secret ? A la France bien sûr, notre patrie. Mais les tensions avec la Prusse étaient déjà telles que laisser à ces deux-là le monopole de l’éther revenait à livrer un troupeau de moutons à deux aigles affamés… Voilà comment je voyais les choses… Lâchez UNE trottinette dans une cour de récré, et c’est la guerre… Donnez-en une à chaque élève, et vous aurez gagnez la paix. Et trois minutes plus tard, ce sera la course !
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- Là où j’ai grandi, majesté, il n’y a pas de lacs. Il n’y a pas de belles montagnes… Il y a bien des collines, mais se sont le tas de terre noire qu’on sort des mines… C’est là que travaillent mes anciens camarades de jeu. Tous les jours, ils descendent au fond pour le charbon… Pour l’énergie… C’est pour eux que ma mère est partie dans le ciel. Pour l’éther ! Une énergie inépuisable, juste au-dessus de nos têtes ! L’éther va les libérer !
- C’est un beau rêve. Mais combien de temps crois-tu qu’il faudra pour faire du secret de l’éther une arme au service des conquérants ?
- Nous le protégerons ! Nous le confierons aux sages et aux savants ! Ce monde n’est pas parfait, majesté, mais il peut changer ! Laissez-nous rentrer sur Terre, et il VA changer !
- Tu as la foi que j’ai perdue, Perceval…
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Je ne comprends pas vraiment pourquoi en cliquant sur cet ouvrage, cela me renvoie à ma critique précédente alors que c'est un tout nouvel épisode que le lecteur découvre ici. Il doit y avoir un problème, pourtant je ne me suis pas trompée d'ISBN puisqu'il s'agit bien de la bonne couverture...bref, passons...

Ici, celui que l'on appelle désormais Sar Ha Sarim ou encore Seigneur, celui qui serait le Messie tant attendu par toute la population juive et chrétienne, décide de quitter la terre de Judée...seul, enfin, cela était dans ses intentions premières jusqu'à ce que six chrétiens comme lui, plus le général romain déchu qui a donné son nom à cette série, Julius Publius Vindex, décident de l'accompagner dans sa quête pour trouver la parole divine. C'est ainsi qu'ils se retrouvent à Babylone la grande, ville de Daniel et d’Ézéchiel pour les Chrétiens du monde entier mais si elle n'était pas celle que notre héros attend ou si la ville, elle, ne l'attendait pas, lui ?

Un deuxième tome où les forces du mal commencent à se révéler mais celles-ci, ne venant pas de l'ennemi auquel on pourrait s'attendre, à savoir Rome, comme dans le premier tome, seraient-elles d'une puissance surnaturelle ?

Encore une fois, un scénario extrêmement bien pensé, qui tient son lecteur en haleine du début à la fin et un graphisme encore une fois très bien travaillé ! J'ai hâte de découvrir la suite...A découvrir :
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-C'est de la folie ! Avez-vous vu la taille de ces nuages ?!
-Croyez-vous que Christophe Colomb aurait renoncé au premier coup de vent?
-Bon Dieu de bois! Si la foudre s'abattait sur leurs voiles, les marins de la Pinta ne risquaient pas l'explosion d'hydrogène à 11000 mètres du sol!
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-On n'emporte pas une enclume quand on veut traverser la moitié du monde !
-Ça c'est bien vrai... Heureusement que Mime a pensé à en prendre une de rechange !
-Tu as emporté DEUX enclumes ? !
-Tu sais comme ces choses sont fragiles. Siegfried ? Qu'est ce que tu fais ? Lâche cette enclume ! Rends-la moi, tu vas te faire mal ! Ah bravo, tu l'as laissée tomber, maladroit ! Heureusement que le sol est mou ! Ah, tiens, non, ce n'est pas le sol... Eh, ne fais pas cette tête ! Quand on a le pied douiller on ne s'amuse pas avec les enclumes des gens !
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"Mais Julius sait qu'il est un homme et que tout homme peut se tromper. Alors, pour la première fois de sa vie, il prie. Il prie un dieu auquel il ne croit pas. Il prie pour qu'il ait tord. il prie pour qu'un dieu existe qui entende ses prières. Et quand à nouveau, il rebrousse chemin pour poursuivre le voyage auprès de son ami, il ne croit toujours pas. Non. Il ne croit pas...Il espère."
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- Ça faisait plutôt breton...
- Quoi donc ?
- Son accent. C'est louche.
- Un breton, c'est toujours louche.
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Des forêts de cristaux. Des prairies de quartz sous un ciel d'améthyste... De juteux filons de fer et de cuivre... Tu verras, les grottes de Mime n'ont rien à envier à la surface. Pas de pluie, pas de neige collante, pas d'affreux soleil.
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