Après que Françoise eut fermé les yeux et que sa respiration fut devenue régulière, je me levai et marchai jusqu'à la mer. Je me tins assise dans l'eau peu profonde et je m'enfonçai lentement tandis que la marée retirait le sable entre mes orteils. Les lumières brillaient à l'horizon comme les traces d'un coucher de soleil.