Citations de Douglas Reeman (161)
Si nous n'avons pas ce que nous aimons, tâchons d'aimer ce que nous avons.
Il ne faut pas tendre trop souvent la main à quelqu'un. On finit par se faire mordre.
L'histoire ne juge que les résultats, non les intentions.
Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait.
Ces marins ne se battaient ni pour le pavillon ni pour le roi, comme le croyaient ces imbéciles de terriens. (…) Ils se battaient pour leurs compagnons, pour leur bâtiment, pour leur commandant.
Un seul homme ou bien un millier, la vie ou la mort. Dans les deux cas, la décision était cruelle.
La mort est la seule chose inévitable au monde et pourtant c'est la seule que l'on ne puisse jamais admettre.
A bord, les commandants sont seuls maîtres après Dieu ; mais de simples pions aux yeux des autorités qui les gouvernent.
Dans le lointain, là où la mer au ciel s'unit,
Une forme à l'allure imposante grandit.
C'est par édit royal qu'elle fend l'onde amère :
Voyez, battue des vents, flotter sa flamme altière !
Crachant un feu nourri et chapeautée de gris
Elle répand sa rage meurtrière.
Ses balles, ses boulets sur le mur d'ennemis
Impriment leur sillon : une profonde ornière !
Daniel BYRNE, « l'histoire du marin »
La solitude du commandement : lorsqu'on navigue seul, sans autorité supérieure. Si l'on réussissait, d'autres revendiquaient les succès. En cas d'échec, c'est vous qui en subissaient le blâme.
Connais ton ennemi.
Mais ne montre jamais que tu le connais.
Dieu et la marine tu adoreras, lorsque tu seras en danger, et pas avant cela!
D'aucuns prétendaient que pendre un homme ne faisait pas diminuer le nombre de crimes. Mais cela empêcherait au moins celui-là de recommencer.
Une guerre défensive se conclut inexorablement par une défaite.
Les guerres n'étaient pas décrétées par des jeunes gens, et c'était pourtant eux qui devaient la faire.
Savoir sacrifier quelques vies pour en sauver bien davantage, c'est le rôle de tout commandant.
Un officier qui a besoin d'aide lorsque les choses sont un peu difficiles devient totalement inutile lorsqu'elles deviennent vraiment graves.
Ils pousseront pourtant autant de vivats que d'habitude lorsque l'heure du combat viendra. Ils n'ont jamais connu de vrai bataille, ceci explique cela.
Partout où un bout de bois peut flotter, suis certain de trouver le pavillon d'Angleterre.
Napoléon Bonaparte.
Mets à la voile – cap sur le grand, large,
Ô mon âme intrépide, pars à l’aventure. Moi avec toi, toi avec moi,
Car là où nous allons, aucun marin n’osa encore voguer,
Et nous y risquerons notre vaisseau, nous-même, et tout le reste
Walt Whitman