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3.89/5 (sur 38 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Lancashire
Biographie :

Top model, puis directrice d'un cinéma, Alexandra (Alex) Connor travaille dans une galerie d'art lorsqu'elle est victime d'une agression.

Dès lors, elle se consacre à ses nouvel­les passions : la peinture et l'écriture.

Elle est auteur de roman policier, de saga historique et de roman d'amour.

sites de l'auteure:
http://alexconnorthrillers.com/
http://www.alexandra-connor.co.uk/

Twitter:
https://twitter.com/alexconnorwrite

page Facebook:
https://www.facebook.com/pages/Alexandra-Connor/226381490894178

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Thriller : UNE DANSE DE TROP, par Donna Malane, collection Prisma Noir CERTAINES VERITES DEVRAIENT RESTER ENTERREES... Diane Rowe, à la tête d'une agence spécialisée dans la recherche des personnes disparues, parviendra-t-elle enfin à faire la lumière sur le meurtre de sa soeur Niki ? Une quête effrénée, au détour de nuits interlopes et de cadavres décomposés, qui la conduit de bars à strip-tease au bush néo-zélandais. UNE DANSE DE TROP, BEST-SELLER EN NOUVELLE-ZELANDE. Bientôt en vente librairies le 28 mars 2013 et en version e-book. Decouvrez vite les thrillers de la collection PRISMA NOIR, le souffle des polars d'ailleurs, en librairies et en version e-book sur www.prisma-noir.com - LE SANG D'ODIN, par Ottar Martin Nordfjörd. En vente librairies le 28 mars 2013. Voir la vidéo www.youtube.com - La trahison de Rembrandt, par Alex Connor. Déjà paru. Voir la vidéo www.youtube.com - La vierge africaine, par Helle Vincentz. Déja paru. Voir la vidéo : www.youtube.com - LE LAPIN BLANC, par Nino Treusch. Déjà paru. Voir la vidéo : www.youtube.com

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Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
The world is opening up, Vicky, but remember this : in the end there ´s only one thing that matters in life. Is there someone who loves you ? Someone who would die for you ? Without that you could have all the money and power in the world - and have nothing.
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La joie de Liliane fut à son comble lorsque furent annoncées les fiançailles. Peu lui importait de perdre sa fille - et, du même coup, sa vendeuse ; n'y gagnait-elle pas un professeur de physique, de quoi réaliser ses propres rêves par procuration ? Derek Collins représentait la garantie d'une maison sur le Coppice et, plus tard, l'éventualité d'une demeure sur Queen's Road. Elle ne se risquait pas, certes, à donner libre cours à son imagination mais, comme elle le suggéra à Jack, pour un jeune et ambitieux enseignant, Lytham St Annes n'était pas hors de portée.
- Oh ! laisse-les tranquilles, Liliane. Ils se débrouille­ront bien tout seuls.
Liliane était en train d'égaliser la pâte d'un fond de tarte. La table de la cuisine était encombrée et il y avait de la farine partout.
- Mais c'est ce que je fais, Jack. Je dis simplement qu'ils ont toutes les chances de faire du chemin.
Son mari ne daigna même pas lever les yeux de son journal.
- Oh ! moi, tu sais, tant que Ruth est heureuse... Liliane passa un coup de rouleau sur la pâte.
- Moi aussi, figure-toi. Mais l'ambition n'a jamais fait de tort à personne.
- «Péché d'orgueil ne va pas sans danger», conclut Jack sans hausser le ton.
Liliane, sans mot dire, disposa la pâte dans un plat. Elle ne voyait de son mari qu'un journal grand ouvert et un léger nuage de fumée de cigarette. Elle se pencha et enfourna la tarte. «Mon four est trop vieux, se dit-elle avec amertume ; trop vieux et trop usé tout comme moi.»
Il n'était pas dans les habitudes de Liliane de rester inactive ; elle entreprit de plier le linge sec en pile sur la chaise à côté d'elle. La plupart de ces vêtements avaient fait leur temps et certains avaient été reprisés ou recoupés de façon à leur donner une nouvelle jeunesse. Derek Collins, lui, ne laisserait pas sa femme s'attifer de nippes élimées. Dorénavant, Ruth porterait beau, elle aurait un manteau neuf chaque hiver et de l'argent plein son sac. Cette pensée était comme un baume sur les inquiétudes de Liliane. Après toutes ces années passées à tirer le diable par la queue, le mariage de sa fille donnait enfin un sens à sa vie. Déjà, les voisins lui faisaient des compliments grinçants sur son futur gendre : comme ils étaient jaloux ! Ça ne s'était pas fait en un jour, pensa Liliane, mais elle devenait enfin une personne avec laquelle il faudrait compter. Liliane Gordon, l'anonyme de Carrington Street, mariait sa fille à un professeur et irait vivre à Lytham...
Souriant intérieurement, elle continua à plier son linge. Une conversation qu'elle avait eue avec Ruth la veille au soir lui revint en mémoire. Elles discutaient des mesures à prendre en vue du mariage et Liliane avait lâché au passage :
- Avec Derek, tu as fait le bon choix.
Ruth interrompit la rédaction de sa liste de mariage et regarda sa mère.
- Oui, je sais. Il est gentil.
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– Ohé, Marshall ! appela quelqu’un dans Albemarle Street. Je savais bien que c’était toi…
Avec sa façon de marcher comme sur des œufs, Timothy Parker-Ross se hâta vers Marshall. Son ami l’étreignit avec tendresse, avant de le lâcher, l’air embarrassé.
– Désolé, Marshall, mais je suis si content de te voir… C’est triste, pour ton père.
– Moi aussi, je suis content de te voir, dit Marshall avec chaleur. Je te croyais à l’étranger.
– Je suis rentré… Et je ne tarderai pas à repartir. Tu me connais, j’ai toujours aimé les voyages…
– Je me souviens. Tout jeune, tu disais que tu voulais visiter chaque pays de la planète. Et apprendre toutes les langues.
– Eh bien, pour les langues, je ne dois pas avoir le cerveau fabriqué pour. Je n’ai jamais été un intellectuel… dit-il en riant, dépliant et repliant ses longs bras, tels des tentacules. En revanche, je passe ma vie en voyages. Il faut dire que j’ai le temps, et l’argent. Depuis la vente de la galerie, je roule sur l’or, ou presque…
Il promena son regard sur la rue, déserte à cette heure.
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– Mr Kapinski va bien ?
Les deux détectives échangèrent un regard.
– Est-ce que Mr Kapinski va bien ? répéta Philip en élevant la voix.
– Qui êtes-vous ?
– Je suis son avocat, mentit Philip.
Le policier lâcha son bras, le laissa entrer dans la chambre.
– Erreur, marmonna l’un des inspecteurs d’un air las. Vous étiez son avocat.
Philip tressaillit, baissa les yeux sur la masse inerte recouverte d’un drap.
– Puis-je le voir ?
– C’est-à-dire…
Pris d’un mauvais pressentiment, Philip interrogea l’inspecteur du regard.
– Eh bien, on lui a arraché les yeux… murmura le type.
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Oh je sais, l'éternelle histoire des gens simples foulés aux pieds par les puissants. Combien sont-ils à avoir subi le même sort, juste pour préserver la réputation d'un notable, ou faire passer un lâche pour un héros...
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Des faux? Mais nous sommes tous faux...
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– Samuel, écoutez-moi…
– Ne me dis pas que tu t’inquiètes pour moi, répliqua sèchement Samuel. La dernière fois que nous nous sommes parlé, j’ai eu l’impression d’être Satan réincarné. En fait, tu as même laissé entendre que tu ne me faisais pas confiance.
– Je suis désolé, Samuel, vraiment. C’est tellement difficile.
– Ça l’est pour chacun de nous.
Marshall inspira profondément. Son intention n’était pas d’effrayer Samuel Hemmings, mais il voulait s’assurer de la sécurité du vieil historien. Vivre seul, qui plus est handicapé, dans une maison isolée n’était pas prudent dans les circonstances actuelles. Si Stefan Van der Helde, Owen Zeigler et Charlotte Garday, tous valides et en bonne santé, avaient été assassinés, Samuel Hemmings saurait encore moins se défendre.
– Vous devez aller à l’hôtel.
– Non.
– Samuel, je vous en prie !
– Et toi, Marshall ? Vas-tu te terrer dans un hôtel ?
– C’est différent…
– Parce que tu es jeune et bien portant ?
– Oui, admit Marshall. Et parce que je n’ai pas le choix.
– Depuis quand ? riposta Samuel. Qu’y a-t-il de changé ?
– Je dois trouver qui a tué mon père.
– Oublie ça, répondit Samuel, en essayant d’adopter un ton détaché. Si tu veux mon avis, c’est terminé. Je pense que le tueur a les lettres en sa possession.
– Non, il ne les a pas. C’est moi qui les ai.
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Deux tasses de café plus tard, Philip referma son journal et sortit de la cuisine. Le silence régnait dans le couloir, apparemment Charlotte dormait encore. Un instant, il hésita. Il pouvait aussi bien lui laisser un mot pour lui dire qu’il partait travailler… Mais il se ravisa et s’approcha de la porte de la chambre. Faisant le moins de bruit possible, il pénétra dans la pièce plongée dans l’obscurité et se dirigea vers les fenêtres pour entrouvrir les rideaux. Mais comme il passait près du lit, quelque chose effleura sa jambe. Il sursauta et en se penchant sentit la main de sa femme.
– Charlotte ? Charlotte ! appela-t-il en bondissant sur la lampe de chevet.
Quand il se tourna vers elle, elle gisait en travers du lit, un bras dans le vide, la main au ras du tapis. Sur la soie couleur pêche de son négligé, il vit tout de suite la tâche brunâtre entre ses seins, le textile délicat lacéré, maculé de sang. Dans sa main droite, elle tenait encore le couteau dont elle s’était servi pour mettre fin à ses jours. Un couteau dont la lame avait plongé jusqu’au cœur.
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Ils s’appréciaient l’un l’autre, n’étaient pas dupes de l’humanité et savaient voir derrière les apparences. Flatté, valorisé, Teddy s’était révélé comme le support idéal, le parfait allié. L’espion exemplaire.
Et sans doute le seul homme de ce monde à connaître vraiment Owen Zeigler. À savoir tout de lui.
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J’ai procédé à l’expertise de ces lettres, Owen. Elles sont authentiques. Le papier et l’encre correspondent à la bonne période, le filigrane aussi. L’usure des documents coïncide également avec ta théorie. J’ai répété par trois fois les tests. D’après moi, et un autre expert digne de confiance, ces lettres ont bien été écrites par Geertje Dircx au XVIIe siècle, aux Pays-Bas. Elles témoignent d’un crime ignoble et d’une extraordinaire supercherie artistique, les conséquences de leur révélation, je crois inutile de te le rappeler, seraient désastreuses.
Fais attention à toi, mon ami. Ces lettres pourraient bien se révéler mortelles entre de mauvaises mains. Elles sont en tout cas dangereuses et je te recommande la plus grande prudence.
La note était signée Stefan Van der Helde.
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