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Citations de Alexandra Connor (22)


You can’t change the past, though, can you ?
Bah, but you can take care of the future, Al replied.
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This tough lady was his life. God, Ada, he thought, I don’t want to leave you. I don’t want to miss a day of your life. Not one word, or action. I shall be such a jealous ghost.
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When you die you only see the people you loved, and those who loved you, Clem replied softly, clinging to her hand. Don’t you worry, luv. I’ll come and meet you. I’ll be there waiting for you.
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The world is opening up, Vicky, but remember this : in the end there ´s only one thing that matters in life. Is there someone who loves you ? Someone who would die for you ? Without that you could have all the money and power in the world - and have nothing.
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Oh je sais, l'éternelle histoire des gens simples foulés aux pieds par les puissants. Combien sont-ils à avoir subi le même sort, juste pour préserver la réputation d'un notable, ou faire passer un lâche pour un héros...
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Des faux? Mais nous sommes tous faux...
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C'est fou comme les défunts, même les plus vils, ont tendance à devenir des héros.
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Un jour, un client m'a dit que la vérité absolue est un instrument qui n'appartient qu'aux virtuoses.
- que lui est il arrivé?
- je lui ait conseillé de se mettre au mensonge.
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S'il les avait peints sur un fond noir, les couleurs auraient été avalées. les peindre sur un fond plus clair permettait de faire ressortir la lumière de la base.
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Perdu quelqu'un. Pas égaré. pas oublié. perdu. Quelle preuve de négligence. de manque d'intérêt. Oh la cruauté des mots.
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Le Caravage fut le premier à fonder sa carrière hors de la lumière, mais sa force bestiale et sa violence le mirent au ban, alors que vint Rembrandt.
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Rubens par exemple privilégiait la lumière, on peut même dire qu'il la traquait dans toutes ses nuances, que ce soit pour représenter un animal sauvage ou une galerie de personnage.
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La carrière de Owen Zeigler était lancée. Non pas à la façon d'un puissant transatlantique, mais plutôt comme un frêle esquif maintenant son cap, en dépit des vagues scélérates déferlant sur le monde de l'art.
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– Mr Kapinski va bien ?
Les deux détectives échangèrent un regard.
– Est-ce que Mr Kapinski va bien ? répéta Philip en élevant la voix.
– Qui êtes-vous ?
– Je suis son avocat, mentit Philip.
Le policier lâcha son bras, le laissa entrer dans la chambre.
– Erreur, marmonna l’un des inspecteurs d’un air las. Vous étiez son avocat.
Philip tressaillit, baissa les yeux sur la masse inerte recouverte d’un drap.
– Puis-je le voir ?
– C’est-à-dire…
Pris d’un mauvais pressentiment, Philip interrogea l’inspecteur du regard.
– Eh bien, on lui a arraché les yeux… murmura le type.
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– Samuel, écoutez-moi…
– Ne me dis pas que tu t’inquiètes pour moi, répliqua sèchement Samuel. La dernière fois que nous nous sommes parlé, j’ai eu l’impression d’être Satan réincarné. En fait, tu as même laissé entendre que tu ne me faisais pas confiance.
– Je suis désolé, Samuel, vraiment. C’est tellement difficile.
– Ça l’est pour chacun de nous.
Marshall inspira profondément. Son intention n’était pas d’effrayer Samuel Hemmings, mais il voulait s’assurer de la sécurité du vieil historien. Vivre seul, qui plus est handicapé, dans une maison isolée n’était pas prudent dans les circonstances actuelles. Si Stefan Van der Helde, Owen Zeigler et Charlotte Garday, tous valides et en bonne santé, avaient été assassinés, Samuel Hemmings saurait encore moins se défendre.
– Vous devez aller à l’hôtel.
– Non.
– Samuel, je vous en prie !
– Et toi, Marshall ? Vas-tu te terrer dans un hôtel ?
– C’est différent…
– Parce que tu es jeune et bien portant ?
– Oui, admit Marshall. Et parce que je n’ai pas le choix.
– Depuis quand ? riposta Samuel. Qu’y a-t-il de changé ?
– Je dois trouver qui a tué mon père.
– Oublie ça, répondit Samuel, en essayant d’adopter un ton détaché. Si tu veux mon avis, c’est terminé. Je pense que le tueur a les lettres en sa possession.
– Non, il ne les a pas. C’est moi qui les ai.
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Deux tasses de café plus tard, Philip referma son journal et sortit de la cuisine. Le silence régnait dans le couloir, apparemment Charlotte dormait encore. Un instant, il hésita. Il pouvait aussi bien lui laisser un mot pour lui dire qu’il partait travailler… Mais il se ravisa et s’approcha de la porte de la chambre. Faisant le moins de bruit possible, il pénétra dans la pièce plongée dans l’obscurité et se dirigea vers les fenêtres pour entrouvrir les rideaux. Mais comme il passait près du lit, quelque chose effleura sa jambe. Il sursauta et en se penchant sentit la main de sa femme.
– Charlotte ? Charlotte ! appela-t-il en bondissant sur la lampe de chevet.
Quand il se tourna vers elle, elle gisait en travers du lit, un bras dans le vide, la main au ras du tapis. Sur la soie couleur pêche de son négligé, il vit tout de suite la tâche brunâtre entre ses seins, le textile délicat lacéré, maculé de sang. Dans sa main droite, elle tenait encore le couteau dont elle s’était servi pour mettre fin à ses jours. Un couteau dont la lame avait plongé jusqu’au cœur.
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– Ohé, Marshall ! appela quelqu’un dans Albemarle Street. Je savais bien que c’était toi…
Avec sa façon de marcher comme sur des œufs, Timothy Parker-Ross se hâta vers Marshall. Son ami l’étreignit avec tendresse, avant de le lâcher, l’air embarrassé.
– Désolé, Marshall, mais je suis si content de te voir… C’est triste, pour ton père.
– Moi aussi, je suis content de te voir, dit Marshall avec chaleur. Je te croyais à l’étranger.
– Je suis rentré… Et je ne tarderai pas à repartir. Tu me connais, j’ai toujours aimé les voyages…
– Je me souviens. Tout jeune, tu disais que tu voulais visiter chaque pays de la planète. Et apprendre toutes les langues.
– Eh bien, pour les langues, je ne dois pas avoir le cerveau fabriqué pour. Je n’ai jamais été un intellectuel… dit-il en riant, dépliant et repliant ses longs bras, tels des tentacules. En revanche, je passe ma vie en voyages. Il faut dire que j’ai le temps, et l’argent. Depuis la vente de la galerie, je roule sur l’or, ou presque…
Il promena son regard sur la rue, déserte à cette heure.
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J’ai procédé à l’expertise de ces lettres, Owen. Elles sont authentiques. Le papier et l’encre correspondent à la bonne période, le filigrane aussi. L’usure des documents coïncide également avec ta théorie. J’ai répété par trois fois les tests. D’après moi, et un autre expert digne de confiance, ces lettres ont bien été écrites par Geertje Dircx au XVIIe siècle, aux Pays-Bas. Elles témoignent d’un crime ignoble et d’une extraordinaire supercherie artistique, les conséquences de leur révélation, je crois inutile de te le rappeler, seraient désastreuses.
Fais attention à toi, mon ami. Ces lettres pourraient bien se révéler mortelles entre de mauvaises mains. Elles sont en tout cas dangereuses et je te recommande la plus grande prudence.
La note était signée Stefan Van der Helde.
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Sur le seuil de la salle à manger de leur luxueuse demeure de Barnes, Rosella Manners observa son époux, impassible, les pieds nus. Elle avait retiré ses chaussures en rentrant tout à l’heure. Une vieille habitude, dans le seul but d’épargner l’orgueil de son mari, plus petit qu’elle de dix bons centimètres. Elle portait encore son manteau, boutonné jusqu’au cou, mais avait laissé son sac à main sur la console, dans l’entrée. À son arrivée, elle avait pris soin de ne pas attirer l’attention de la bonne. Personne ne devait entendre ce qu’elle s’apprêtait à dire.
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Ils s’appréciaient l’un l’autre, n’étaient pas dupes de l’humanité et savaient voir derrière les apparences. Flatté, valorisé, Teddy s’était révélé comme le support idéal, le parfait allié. L’espion exemplaire.
Et sans doute le seul homme de ce monde à connaître vraiment Owen Zeigler. À savoir tout de lui.
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