Il y a autre chose qu’il répète souvent : « dans presque toutes les affaires de violence conjugale, le déni de la violence est un point commun entre le conjoint violent et sa victime ». Pour ce qui me concerne, j’ai mis du temps à comprendre cette phrase : elle signifie que la victime – elle aussi – occulte souvent le côté anormal et monstrueux de ce qu’elle subit. p ; 18