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Critiques de Alexandra Rossi (10)
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Les lames de Dieu

Un bon roman historique! La partie qui se passe en terre sainte ainsi que l'incursion dans le fief des Assassins est bien documentée et j'y ai appris une foule de chose sur cette secte musulmane.

Si j'ai beaucoup apprécié le début du roman, j'ai un peu moins gouté à la fin un peu trop roman à l'eau de rose à mon gout...

Je voudrait mettre 3,5 étoiles mais comme cela n'est pas possible j'opte pour le 3...

Mais une écrivain prometteuse à suivre et à lire.
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Les lames de Dieu

Il s’agit du tout premier roman d’Alexandra Rossi, et, j’avoue avoir été bluffée par ma lecture. En effet, j’ai eu l’impression tout le temps de ma lecture qu’Alexandra Rossi était un écrivain confirmé tellement elle maîtrise à la perfection son sujet.



On sent que des recherches pointues ont été effectuées sur les croisades, la secte des Assassins, les relations entre les « infidèles » et les Chrétiens, etc. Et surtout, c’est très bien écrit.



Les protagonistes sont sympathiques, attachants (y compris les méchants !!!), et, leurs caractères évoluent, s’affirment aux fils des pages tout en donnant le meilleur d’eux même - y compris dans les pires situations – afin de résoudre, de contourner les embuches s’éparpillant sur leur chemin.



Le schéma, la trame de ce roman historique est classique (aventures, amour, batailles, chevalerie, nobles sentiments, etc), mais, il y a un petit quelque chose qui fait que l’on a envie de suivre jusqu’au bout les diverses péripéties, mésaventures de Rayhan et ses compagnons.



Je reconnais également que l’époque (le XIIIème siècle), le lieu (Venise, Damas, Saint Jean d’Acre, Constantinople), le sujet (croisade) y sont beaucoup pour quelque chose tant soit peu si l’on s’intéresse aux romans historiques et/ou chevaleresques.



Enfin bref, j’ai lu ce roman d’une seule traite, et, c’est avec beaucoup de regrets que je l’ai reposé après avoir lu la dernière ligne. J’espère, aussi, qu’Alexandra Rossi continuera à écrire d’autres romans aussi excellent que celui-ci.

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Le sous-marin de Bonaparte

A lire absolument, très différent des autres romans historiques tout en étant semblable ... cette fois le point de départ n'est pas un crime mais une invention .. les événements s'enchaînent.. les 502 pages sont lues en quelques jours tant on est tenu en haleine jusqu'à la fin
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Le sous-marin de Bonaparte

J'ai tellement apprécié ce livre que j'en étais presque triste de quitter des héros si attachants.

Alexandra ROSSI écrit bien. Certes la construction de son récit n'a rien de révolutionnaire, mais elle est plaisante. En outre elle nous propose un grand voyage qu'elle ponctue de rappels historiques sans alourdir l'ensemble.

Bien sûr, son livre est bâti sur un gros "SI", mais l'intrigue tient bien la route.

Elle confirme au passage que ce cher Napoléon n'était pas un homme de mer...

De l'excellent travail à recommander.

Mention spéciale à l'éditeur qui présente "un beau libre" très agréable en main.



Longue vie d'écrivain et autre à Alexandra ROSSI.
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Le sous-marin de Bonaparte

Que l'américain, Robert Fulton, ait conçu et fabriqué un vaisseau sous-marin pour Bonaparte est un fait. La fiction que nous tisse Alexandra Rossi autour ce fait est une intrigue d'espionnage, d'invention, de meurtres et d'amour. Les trois protagonistes sont Maximin, inventeur taciturne et épéiste redoutable, Marie-Aimé, une fille mondaine, et leur ami Altan, un corsaire avec le sens de l'humour. Je donne un maximum de points pour ces personnages, pour l'atmosphère d'époque et pour l'intrigue. S'il fallait noter la couverture comme partie intégrante du roman, je retirerais un demi-point, car elle fait penser que c'est un livre sérieux et un peu ennuyeux, alors que c'est sérieusement divertissant.
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Altaveran : Les cinq protecteurs

Altaveran, les cinq protecteurs d’Alexandra Rossi est l’intégrale de l’œuvre du même nom.

Altaveran est une épée forgée dans les temps anciens et qui serait l'arme la plus puissante jamais fabriquée.

Une épée qui n'est pas sans rappeler la légende du Roi Arthur avec Excalibur ou encore Durandal dans La Chanson de Roland.

Dans le prologue, l'auteure cite : Et tout ça pour une vulgaire lame.

Alors épée mythique ou pas ?

C'est dans une high-fantasy jeunesse à la facture plutôt classique que l'auteur nous entraîne dans une intrigue, elle aussi simple, mais à facettes multiples : à la fois initiatique, de quête et de sempiternelles luttes contre les grands méchants qui veulent conquérir le monde.

L'auteur installe doucement le contexte et nous présente le protagoniste principal, un jeune elfe hybride qui découvre, en même temps que le lecteur, moitié Lumière et moitié Sombre. Un héros pour lequel le lecteur a du mal à ressentir de l'empathie, particulièrement arrogant, prétentieux, imbu de lui-même. Un héros qui aurait pu être attachant, si ses défauts prêtaient à une conséquence et, lui revenait dessus, ce qui n'est pas le cas ici.

L'auteur a axé l'intégralité de son récit sur le héros et bien que l'opus comporte 702 pages, le lecteur que je suis aurait préféré que les deux personnages, à savoir le frère et la sœur, soient relégués au second plan. Ces deux personnages, attirant plus notre sympathie auraient apporté plus de diversité à l'histoire. Quand aux grands méchants, ils sont par trop semblables et quelque peu caricaturaux. L'auteure a préféré effectuer un copié-collé plutôt que de creuser ses personnages secondaires qui sont bien ce que le terme signifie secondaires. Les dialogues des personnages, qu'ils soient principaux ou secondaires, sont sans surprises, puérils, voire affligeants, décrits de manière scolaire et l'on trouve également des incohérences. Seul le personnage de Moen tire un peu son épingle du jeu.

L'histoire, malgré de nombreuses action et retournements de situations, présente un intérêt trop linéaire, jusqu'à la dernière partie et l'apparition des Protecteurs qui amènent une idée un peu novatrice. L'histoire, par trop prévisible, est trop largement fortement inspirée de moults romans antérieurs pour être captivante et, les actions du jeune héros sont trop facilitées par l'auteure. Pour exemple, dans la partie quête de l'artefact, celui-ci parvient à déjouer trop facilement les pièges protégeant l’Épée de l’Étoile réputée pour être imprenable.

Si l'histoire s'avère prenante, elle soufre toutefois d'un défaut sa vitesse, tout se déroule trop vite pour le héros qui enchaîne sans difficulté les batailles et succès malgré les difficultés qui s'accumulent sur son chemin.

L'univers et la diversité des races qu'il comporte, bien qu'assez diversifié, n'apporte pas un regain d'engouement de la part du lecteur, car comme pour l'histoire, il n'y a pas, à proprement parler d'idées novatrices.

Si géographiquement la diversité des lieux est très intéressante, il faut se rendre à l'évidence l'absence de carte se fait cruellement sentir et, les descriptions fort bien réalisées, dans la première partie, n'ont pas la même ampleur dans la seconde partie.

Avec Altaveran, l'auteur nous offre un roman dont le postulat de départ doté d'un sérieux potentiel dont les idées ne sont pas pleinement développées du fait quelles sont trop nombreuses, ce qui a pour effet que l'on manque de continuité dans le récit, sautant souvent d'une action à l'autre. Un roman au style trop simple et manquant d'ellipses qui auraient apportées plus de profondeur au récit.
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Le sous-marin de Bonaparte

J’ai dévoré ce livre qui par beaucoup d’aspects m’a rappelé les romans historiques de JeanChristophe Rufin. Il y a le dépaysement historique, géographique, l’aventure, l’histoire d'amour, beaucoup d’humour, un vocabulaire riche, une lecture fluide et en plus, un intérêt réel pour la technique. J’ai hâte de lire un autre roman de cette auteur.
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Altaveran entre ombre et lumière, Tome 1 : L'..

Dans ce livre, on découvre un univers de magie, d’elfe et de féerie.

Une partie du monde est dirigée par 2 puissances elfes : les Lumières et les Sombres.

Viennent ensuite les élémentaires, qui bien que possédant certaines capacités magiques, sont bien en dessous des 2 premières puissances.

3 enfants se sont liés d’amitié : Aléar et Mya, frères et sœurs Lumières, et Reyan, Elémentaire.

Viennent le jour de leur 7 ans, (d’après ce que j’ai compris), et le début de leur apprentissage magique, chacun dans leur peuple respectif.

Reyan se sent inférieur, rêve de puissance et de gloire. Et lors de son 1er sort, il évoque la magie sombre.

Étonnement de la part de tous ceux qui l’entourent….On l’emmène au camp Sombre où il apprend qu’il n’est pas élémentaire, mais adopté, fils d’un Sombre et d’une Lumière, dernier membre d’une race haïe, les Norya…

Reyan va devoir faire montrer ce dont il est capable, et va faire preuve de beaucoup d’ingéniosité et de courage dans tout ce qu’il entreprendra.

Grâce à Altavéran, la fameuse épée forgée d’une larme d’étoile, il parviendra à des sommets! Et pourtant, les contreparties seront énormes, elles aussi, et Reyan en souffrira plus qu’il ne peut le penser.



Si l’histoire se lit bien, elle souffre, à mon sens, pendant les trois quart du livre d’un défaut : sa vitesse. Tout se passe très vite, le héros enchaine les succès et les batailles comme d’autres enchaineraient les carrés de chocolat.

Pendant un temps, donc, je me suis demandée ce que je lisais? Une chronique des victoires d’un Norya ou un roman?

Puis, au moment au Reyan découvre son autre facette, enfin, les difficultés s’accumulent sur son chemin, et le livre prend donc une autre épaisseur, un peu plus réaliste et « humaine ».



Voilà pour le principal défaut de ce roman.

Malgré tout, ce livre se lit très bien, les actions se succèdent, laissant peu souffler ce pauvre Reyan….

L’univers crée par l’auteur est superbe, car on pourrait presque y croire!



Concernant les personnages, pendant un long moment, je me suis demandé ce que je ressentais pour Reyan. Jeune homme ambitieux, il est aussi autoritaire, égocentrique, parfois très égoiste. Il incarnerait le parfait méchant, froid et dur. Et pourtant, à plusieurs reprises, il montre une facette plus fragile de lui, plus « humaine », avec des idéaux très simples mais qui le rendent très attachant.

Alear et Mya, ses 2 amis elfes Lumières, malgré leurs présences indubitables dans le livre, engendrent moins de questionnement. Ils sont foncièrement bons…Et pourtant, à côté de Reyan, ils sont quasiment invisibles.



Un des autres personnages qui tire son épingle du jeu face au charisme de Reyan est Moen, son maitre Sombre, celui qui l’a pris sous son aile et lui a appris tout ce qu’il sait.



Et bien sur, les Protecteurs, qu’on ne découvre que dans les dernières pages, mais qui auront un rôle déterminant dans la vie de Reyan, surtout Enkara.



En conclusion, si l’histoire peut sembler un peu simple parfois, elle reste palpitante. La fin ouvre la voie à un possible 2eme tome que je me ferais un plaisir de lire!
Lien : http://vanytheque.fr
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Altaveran : Les cinq protecteurs

alors que l'aventure semblait simple, Reyan va vivre des péripéties bien plus profondes que celles auxquelles je m'attendais. l'histoire d'amour n'est pas incroyable, mais elle ne fait pas tache sur le reste de l'histoire, et les amitiés et inimitiés forgées par les personnages m'ont tenu.e en haleine jusqu'au bout. j'ai surtout apprécié la magie de ce monde, au sens propre comme au sens figuré. je recommande chaudement
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Les lames de Dieu

Le livre se lit facilement. L'histoire de la secte des Assassins est intéressante ainsi que les lien entre la république de Venise et les croisade. Par contre j'ai trouvé que les liens entre les personnages, amoureux, amical et même les liens mettre apprentis ne sont pas assez creuser au point qu'on a du mal à croire à l'histoire d'amour ou même à l'amitié entre les protagonistes. Cela empeche de s'attacher aux personnages je trouve. Néanmoins il s'agit d'un premier roman et je lirais avec plaisir les autres livres de cet auteur
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