Alexandre Arlène

Comme les deux précédentes, cette bande dessinée présente un humour parfois noir voire trash et d'autres fois un peu moins. Si dans les deux autres tomes l'auteur dénonce quelques petites choses par ci, par là, j'ai trouvé que c'était moins le cas ici.



Bloody Harry, ce sont des planches sur l'univers d'Harry Potter où tout est sous le prisme de l'humour. Les situations sont cocasses, parfois ridicules, ainsi que les personnages... mais Alexandre Arlène grossit les traits, en rajoute - parfois beaucoup - et c'est ce qui est drôle.



J'ai cependant moins aimé que le tome 1 et 2, mais je suppose que l'imagination de l'auteur doit commencer à être moins importante maintenant...



En revanche, j'aime bien les mini-jeux assez drôles qui nous sont proposés et les anecdotes d'illustrateur à la fin du livre étaient sympathiques à découvrir !

Migali est une petite princesse araignée, elle vit avec ses parents et son chat araignée, et c’est le grand jour, elle va au château de l’académie royale pour se rendre à l’école des princesses et des princes. Migali est une petite fille espiègle et très dynamique, du genre super-active, elle accumule les bonnes notes mais aussi les bêtises et les punitions. j’ai aimé cette débauche d’énergie, ce burlesque à toiles d’araignées, c’est plein de fraîcheur, de vivacité. Le graphisme est brut, simple et déborde aussi d’énergie.

J’y mettrais tout de même un bémol concernant le fonctionnement et les valeurs de cette école, basées sur les notes, la compétition, les classements, les punitions où il faut écrire des lignes 100 fois, ce sont des valeurs d’un autre temps, vanter une telle école, je trouve ça assez maladroit. Dans ce domaine, les auteurs auraient pu faire preuve d’un peu plus d'originalité et de modernité.

Malgré ce défaut, cela reste une lecture très plaisante, surtout grâce à son ton pétillant.

Sous la direction de Thomas Cadène, voici une bande dessinée sous forme de cadavre exquis, avec les jeunes auteurs des éditions Manolosanctis. Il y avait déjà eu 13m28 l’année précédente (2010), voici un nouveau récit de fin du monde, mais pas d’inondation, cette fois-ci, ça sera par le feu. J’ai trouvé cette seconde couvé plus homogène dans la qualité, mais aussi plus anecdotique dans les récits, ils font tous de 6 à 8 pages, et ne prennent pas le temps d’approfondir, mais ils offrent un panorama de jeunes créateurs inventifs, originaux et modernes. Ils sont 22 artistes, depuis, ils ont fait leur chemin, certains avec succès, comme Timothée Le Boucher, Terreur Graphique ou Thomas Cadène, j’était content de retrouver les trop rares Wouzit, Mhat et Maud, et j’y ai fait quelques découvertes intéressantes, Aleksi, Gray Mael, Guillaume Penchinat et Alexandre Arlène. Ils ont tous réussi à créer une ambiance sur le thème général, à créer un univers qui leur est propre, souvent en jouant sur le caractère intimiste de leurs histoire, et tout en offrant une cohérence d’ensemble qui finit par donner une certaine force à cette œuvre malgré l'éclectisme des styles. C’est, à l’image de 13m28, une réussite, dommage que Manolosanctis n’ait pas survécu, le courage éditorial ne paie pas..

La série Harry Potter est parodié avec irrespect, iconoclasme, servi par un humour noir, scato et grivois, c’est parfois très osé (nettement plus Fluide Glacial que Titeuf), mais on sent que les auteurs connaissent bien leur sujet, se permettant d’appuyer sur les nombreuses failles de la série. On se moque mieux de ce qu’on aime. Le graphisme est simple, expressif, les décors sont réduits au strict nécessaire pour la compréhension. Tous ces gags ne sont pas à se rouler par terre,et ça ne fait pas dans la délicatesse, mais j’ai passé un bon moment de détente et de rigolade. De la bonne parodie bien graveleuse, pas forcément à mettre entre toutes les mains.

Lorsque j’ai remporté cette BD, je pensais faire plaisir à mes deux enfants.

Le grand fan d’Harry Potter et le petit fan de BD.

Je la lis en premier. Normal, c’est quand même moi qui l’ai remportée ! Et là, surprise, « j’éclate de lire » comme dit mon dernier mais du coup, je m’aperçois qu’elle n’est pas du tout faite pour lui.

Oups, il va falloir que je lui fasse oublier qu’elle devait être pour lui !

Pas de baguette magique sous la main et pas de formule magique qui fonctionne.

Il va falloir investir dans la sortie de son prochain manga.



Donc, comme je connais la saga Harry Potter en livres, en films, en long, en large et en travers, je peux dire que ce premier tome résume une partie des aventures du jeune balafré en version parodique. Humour gore et graveleux.

Je pense que pour les plus petits qui tomberaient inopinément dessus, ils ne percevraient pas forcément tout mais ils peuvent s’en passer.

Pour les fans plus grands d’Harry, s’ils apprécient le second degré, ça peut le faire également.

A cette heure, mon grand ne l’a pas encore lue. Je reviendrai donc compléter l’avis ou il le dira lui-même avec son propre compte.



Très peu de texte finalement, donc elle se lit en moins d’une heure.

Les dessins et cet humour m’ont, un peu fait penser, à « Mortelle Adèle » en plus graveleux.

Est-ce que je lirai le tome deux ? Non.

« Veni, vidi, vici » comme a dit Jules et non pas Vincent Cassel dans le dernier film d’Astérix.

A vous de découvrir « La BD dont il ne faut pas prononcer le nom ! » et le reste de la série si elle vous enchante.

Second tome de cette bande dessinée parodique et décalée, issue du blog de Poudlard.

On rit à nouveau à la chute de chaque petite aventure tirée de la fameuse saga.

Cette fois, l'auteur fait un peu moins appel à la vulgarité, ce qui est une très bonne chose. C'est la finesse de l'humour qui distrait le lecteur.

Bloody Harry est une bande dessinée parodique de la saga Harry Potter, réalisée par une jeune auteur, Alexandre Arlène.

L'humour est décalé et décapant, on rit à ces courtes scènes qui partent d'une véritable scène de la saga et qui se terminent sur une chute drôle et décalée.

On peut reprocher à l'auteur certaines scènes un peu vulgaires, mais dans l'ensemble, on s'amuse bien.

• « Bloody Harry, tome 1 La BD dont il ne faut pas prononcer le nom », de Alexandre Arlène, publié chez Jungle!.



• En fouillant dans ma liste de livres emprunter par le biais d'Amazon Prime, j'ai retrouvé cette bande dessinée que j'avais complétement oublié de lire. Je ne l'avais pas choisie par hasard, car je connaissais Bloody Harry du temps où la série était publiée sur le blog du jeune artiste Alexandre Arlène. Une période de ma vie où j'avais découvert quelques artistes comme lui et PirateSourcil, et où ces artistes parfois très talentueux (comme Alexandre Arlène d'ailleurs) n'arrivait pas encore à passer le stade de la publication. C'est avec joie que je redécouvre l'artiste, ainsi que sa réussite professionnelle, qui est pour moi méritée.



[Le livre]



• Avant de vous lancer dans cette bande dessinée, il faut que vous soyez prévenu de deux, trois petites choses. Tout d'abord, cette bande dessinée n'est pas destinée aux enfants, il est très important de le préciser, car plusieurs parents pourraient clairement ne pas prêter attention au contenu du livre qui est très adulte, avec des scènes pouvant être choquantes pour un jeune lectorat. Il faut aussi connaître un minimum la saga parodiée dans cette série, à savoir les romans de J. K. Rowlings ou leur adaptation filmiques : Harry Potter. Cette condition est en principe déjà remplie pour une bonne partie de la population, néanmoins si vous ne connaissez que vaguement les aventures du jeune sorcier, vous risquez de passer à côté de beaucoup de blagues de l'auteur.



• La franchise Harry Potter est une mine d'or de détails et de lore, alimenter très régulièrement par sa créatrice, mais aussi par sa grande communauté de fans. Et même si je suis moi-même très attacher à cet univers magique, il faut bien reconnaître que beaucoup de personnages et points scénaristiques sont assez vagues et étranges lorsque l'on y réfléchit bien. C'est justement sur le côté bancales et prolifique de cette saga littéraire que l'auteur s'amuse à parodier dans tous les sens la vie du jeune sorcier.



• Exit le côté bon enfant de l'œuvre originale, place à un humour trash, grivois et complétement décalé ! Pour ma part, cet humour débile marche du tonnerre, déjà à l'époque de son blog, Alexandre me faisait grandement rire. Humour attendu comme inattendu, c'est toujours aussi drôle et inventif.



• Le trait de notre dessinateur accompagne parfaitement son humour, et à l'avantage d'offrir des personnages parfaitement reconnaissables des aficionados. Pas de fond dans les cases, l'auteur se concentrant uniquement sur ces personnages et les éléments clé qui les entourent. Les vannes sont ouvertes, drôles et joyeusement inventives, avec toujours plus de situations abracadabrantesques. Pour les connaisseurs de l'univers magique, c'est un véritable envoûtement !



[La petite voix de la fin]



• Une lecture rapide tout en étant fournie, avec plus de pages que ce que je me serais attendu à voir pour cette série, et tant mieux ! Cette bande dessinée m'a rappelé de bons souvenirs et je la recommande à ceux qui remplissent les conditions nécessaires à la découverte d'un artiste comme Alexandre Arlène.



Heureusement pour moi, cette critique n'a pas été écrite conjointement avec Dolores Ombrage.. Elle serait bien plus courte, croyez-moi.

Alors là, me voilà drôlement embêtée... Je viens de finir de lire les trois tomes parus de cette BD parodique de l’univers d’Harry Potter et je n𠆚rrive pas à savoir quel ton adopté dans ce billet. Prof-doc en collège, sur les conseils de mes supers loulouttes de 5ème addicts de ce Bloody Harry et ceux d’une de mes collègues prof, j’y ai donc mis mon nez dedans et bien m𠆞n a pris car j𠆚urais pu risquer ma pauvre petite carrière de prof à déposer le tome 1 de cette série sur les étagères du CDI ! Pour avoir déjà eu moult plaintes sur la légitimité de la place dans un fonds collège de certains romans ou mangas bien innocents à mon humble avis (Detective Conan !!!), je me dis que si certains parents étaient tombés sur certaines planches de la « BD dont il ne faut pas prononcer le nom », ils auraient frôlé l’infarctus... Donc, pour être objective mais tout en étant franche, il me paraît impossible de mettre entre les mains de collégiens (10-14 ans) le premier tome de cette BD. Sadomasochisme, scatologie, allusions sexuelles un peu « trop lourdes » à mon goût, drogue, tout ça saupoudré d’une ribambelle de grossièretés et d’humour « gore » à souhait, cela donne un cocktail explosif ! En discutant avec les élèves du club lecture (28 gamins de la 6eme à la 3eme), certains m’ont « gentiment » rassurée en me disant ne pas avoir compris les allusions sexuelles graveleuse alors que mes girls de 3eme qui ne connaissaient pas la BD étaient yeux écarquillés et ok... mortes de rire ! Elles pensent quand même que pour petits frères et petites sœurs « ça arrache ! Madame ! » - comprendre : « c𠆞st un peu trop, quand même ! ». Donc, de l𠆚vis général d’une doc grisonnante et d’un collectif d�os courageux testeurs : série de BD bottée en touche au lycée voisin... En laissant les tomes 2 et 3 en prêt, on ne pouvait inciter les jeunes lecteurs à risquer d𠆚ller mettre leur petit nez encore tout plein de lait dans les pages de l’innommable tome 1... Un gros coup de gueule contre l’éditeur qui devrait au minimum se fendre d’une petit réserve au lecteur et avoir l’honnêteté en quatrième de couverture du premier tome de citer le contenu complet de son résumé en ligne « Avec au programme un Ron précocement libidineux, des sorts délicieusement foirés, du mauvais esprit à chaque page et Harry et Hermione qui enlèvent le bas sous nos yeux ébahis, il faut bien reconnaître que le secret le mieux gardé du Ministère de la Magie ne manque pas de piquant. N’hésite pas plus longtemps… Compromets ton âme en ouvrant la Grande Œuvre Noire, tu ne le regretteras pas ! » Un parent (ou une doc !) averti en vaut 2. J𠆚i laissé innocemment mon grand de 10 ans le lire et on n𠆚 pas encore fini d𠆞n parler.... !

Que ce soit Disney, les mangas japonais ou autres créateurs, tous en prennent pour leur grade

Impertinents, parfois vulgaires ces parodies et jeux de mots en cascade, sont plutôt destinés aux plus grands ou pour le moins en prendre connaissance avant de le laisser entre toutes les mains.

Mélange de genre, mélange des personnages s'invitant dans d'autres histoires que les leurs.

Cela fait déjà un petit moment que je suis cet auteur sur les réseaux sociaux et l'occasion de lire la version papier de sa bande dessinée ne s'était pas encore présentée, mais voilà chose faite.

Une parodie du célèbre Harry Potter qui devient ici Harry Potteleur. On y retrouve tous ou presque les personnages de la saga avec des jeux de mots plus ou moins reluisants sur leur nom. Voldemort devient Loldemort par exemple.

Attention à ne pas prendre cette bande dessinée au premier degré et de ne pas avoir la phobie du sang car aucun personnage n'est à l'abri des excentricités qui peuvent traverser la tête de son auteur !

Une foultitude de scènettes se succedent dans cette BD haute en couleurs et où les pirates n'ont pas toujours le premier ou le bon rôle mais qui s'ingenient à des calembours et de bons mots au milieu de l'océan.

Des histoires d'écumeurs des mers mises au goût du jour avec des références anachroniques.

Abandon ! Ce n'est clairement pas pour moi...



Je n'aurais jamais tenté cet ouvrage graphique si il n'avait pas été inclus dans l'abonnement de ma liseuse. Je me suis dit pourquoi pas... Bon, j'aurais dû passer mon chemin en fait. Je ne m'attendais pas à cela...



J'ai pourtant essayé, je suis allée jusqu'à 40% de l'ebook mais non, je n'apprécie pas du tout l'humour (même si une ou deux planches m'ont fait sourire), les blagues à connotation sexuelle, le sang, et j'en passe. Cela ne m'a pas plu, je dirais même que ça m'a un peu dégoûtée ^^', ceci est lié à ma propre sensibilité et à mon sens de l'humour qui est différent, voilà tout. Il en faut pour tout les goûts!



Il est certain que cette BD trouvera son public. Public, dont je ne fais pas partie. À ne pas remettre entre les mains des plus jeunes.

Lorsque Migali, jeune princesse araignée, apprend qu'elle va étudier au sein de l'Académie Royale, autant vous dire que l'on peut s'attendre au pire...car Migali, pourvue de six pattes et d'une énergie débordante, n'est plus princesse mais bien reine en matière de catastrophes et de punitions ! 😅



Cette héroïne survitaminée, joyeuse et câline, ne peut que séduire petit.e.s et grand.e.s.



Cet album jeunesse désopilant comporte de courtes aventures d'une à deux pages qui raviront les lecteurices friand.e.s d'humour et prêt.e.s à faire le plein de bonne humeur...(enfin ça, c'est sans compter sur le club des PET - Princesses Extrêmement Talentueuses 🤣).



Une découverte pleine de mignonnerie et un véritable coup de cœur pour les dessins de l'album (qui ont motivé mon achat). Un grand merci à Migali qui m'a réconcilié avec ses congénères multi-pattes !

Migali est une jeune princesse araignée qui vient d’être admise à l’Académie Royale et c’est avec euphorie qu’elle se voit déjà manier l’épée, élaborer des plans de bataille mais aussi rencontrer des princes lors de bals. Elle découvre son école et fait la connaissance de nouveaux amis.



J’ai beaucoup aimé cette BD. Migali est une petite princesse qui est toujours enthousiaste et spontanée, c’est une héroïne attachante et rigolote.

J’ai apprécié les planches courtes qui permettent à l’enfant d’assimiler l’humour, et de faire des pauses dans la lecture. En tout cas, c’est un format qui convient parfaitement à ma fille de 7 ans qui se lance dans ce genre de lecture. Le graphisme m’a plu avec ses couleurs vives, et il ne faut pas louper le chat de Migali qui se fait discret parfois sur la planche mais qui vaut le coup d’œil, car celui-ci a des expressions qui font autant sourire que les autres personnages.

Migali est une BD qui fait passer un bon moment, sûre que cette petite araignée et ses compères séduiront les jeunes lecteurs (et les plus grands aussi 😊)

Avec un humour un peu gore et graveleux, Alexandre Arlène revisite la mythique saga "Harry Potter".

C'est une parodie aux gags qui tombent souvent dans la facilité mais qui relève également quelques incohérences dans la saga. Les illustrations colorées et dynamiques contrastent un peu avec l'humour noir.



C'est une bande-dessinée rigolote et sympathique... mais à ne pas mettre entre les mains des enfants !

La mignonne petite araignee fait sa rentrée à l'académie royale. Chaque page narre de courtes histoires qui se suivent pour former les aventures de Migali. Le récit est original, drôle et distrayant. Les dessins et couleurs sont mignons. J'emprunterai avec plaisir les autres tomes disponibles.

Beaucoup moins drôle que les deux précédents volumes, ce troisième opus fait tout au plus esquisser un sourire. Je m'avoue un peu déçu...

Libellule est une princesse. Enfermée dans la plus haute tour d’un majestueux château, elle attend que son prince vienne la chercher. Mais cela fait maintenant des mois qu’elle attend et rien ne se passe.



Pour tromper l’ennui, Libellule s’occupe comme elle peut. Elle imagine que son prince combat trolls et dragons. Elle l’imagine super beau et hyper intelligent. Elle en vient même à se demander si elle n’est pas trop nulle pour lui. Et ce n’est pas le miroir magique récemment commandé qui va la rassurer ! Libellule a aussi une tutrice. C’est important pour une princesse, notamment afin d’apprendre qu’il ne faut jamais croquer dans une pomme ou encore pour différencier un prince ensorcelé d’un vulgaire crapaud.



Finalement, Libellule tient plus de la peste que de la princesse : colérique, tyrannique, jalouse, de mauvaise foi… elle a tout d’une mégère dotée d’une intelligence très limitée.



Alexandre Arlène et Stéphanie Bellat mettent en scène un personnage vraiment caricatural. Leur parodie bourrée de clins d’œil aux contes classiques détourne les codes du genre pour faire rire. Un humour noir, irrévérencieux, mais qui s’adresse néanmoins aux jeunes lecteurs.



Voila un titre 100% girly au graphisme « cartoonesque » très moderne qui séduira celles et ceux ne supportant pas les princesses à la mode Disney.
Lien : http://crdp.ac-amiens.fr/cdd..

Pourquoi ? Pourquoi me suis je imposé cette lecture ? Je n'ai pas spécialement aimé Harry Potter et je me suis dis : "tiens, une BD satirique qui se moque du sacro-saint Harry Potter, pourquoi pas ?" Bon, mauvaise idée. J'ai souris 2 fois, en 120 pages, pour une BD qui se veut humoristique, c'est peu.