Vidéos de Alexandre Pouchkine (16)
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Alexandre POUCHKINE – Le poète de l’âme russe (France Culture, 1982)
Une émission des « Samedis de France Culture », par Annie Epelboin et Efim Etkind, diffusée le 12 mars 1982 sur France Culture. Présences : Hélène Henry, Louis Martinez, Georges Nivat, Michèle Cohen, Valère Novarina, Michel Vitold. Lecture : Michèle Cohen, Tamara Ingerflom, Alexandre Kourepov, Liev Krougli, Nathalie Krougli, Valère Novarina, le Petit Petia, Antonia Tselkova et Michel Vitold.
Alexandre Pouchkine : Eugène Onéguine (2005 / France Culture). Portrait d’Alexandre Pouchkine par Oreste Kiprensky, 1827. Enregistré en 2005, au cours du Festival Nîmes Culture. Diffusion sur France Culture le 10 juillet 2005. Roman écrit en vers par Pouchkine en 1833, dans lequel le héros, Eugène Onéguine, qui a rejeté dans sa jeunesse l'amour d'une jeune fille, et a tué en duel son rival, la retrouve mariée, des années plus tard : il a découvert qu'il l'aimait, elle l'aime aussi, mais refuse de le suivre. « Le plus célèbre roman de la littérature russe, et qui a produit un chef-d'œuvre de l'opéra, était d'abord un poème, en strophes rimées. L'auteur y a mis sa vie - et sa mort. L'héroïne, Tatiana, tombe amoureuse d'un héros byronien, qui tue en duel le fiancé de la sœur de celle-ci. Les années passent, Onéguine revient, découvre qu'il aime passionnément Tatiana, maintenant mariée ; elle l'aime aussi ; que choisira-t-elle ? “Et le bonheur était si proche, si possible” chante Pouchkine. Un jeune homme qui s'ennuie, la plus touchante des jeunes filles, un poète de dix-sept ans, un vieux mari, des créatures de rêve. C'est le roman des rencontres manquées, des amours perdues, des remords sanglants. C'est aussi, comme dit Nabokov, “une des œuvres les plus brillantes jamais composées, un classique international aussi grand que Hamlet, ou Moby Dick”. »
Présentation éditeur
Texte français : André Markowicz qui a mis près de 28 ans à traduire les 6000 vers de ce roman déterminant pour l'évolution de la littérature en Russie.
Réalisation : Marguerite Gateau. Lecture par André Markowicz, Françoise Morvan, Denis Podalydès, Éric Elmosnino et Daredjan Markowicz.
Source : France Culture
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Mon portrait, Alexandre Pouchkine
Lu par Sabine
Enregistrement : Audiocite.net
Lorsque j'erre songeur, au-delà du faubourg..., Alexandre Pouchkine
lu par Félicien Juttner
L'adieu à la mer, Alexandre Pouchkine
lu par Éric Génovèse
Pouchkine – Les démons I & II
- I. Traduction de Marina Tsvétaïéva
- II. Traduction d' André Markowicz
Pouchkine – Les démons
lu par Carolyne Cannella
Pouchkine, un cas unique dans l'histoire de la littérature universelle.
Il est dit que les grands auteurs russes lui doivent tout.
Certes, il existait une littérature avant Pouchkine, mais la littérature russe naît avec lui.
Poète romantique au destin tragique (il meurt dans un duel), marqué par l'Histoire, auteur de Eugène Onéguine et Boris Godounov,
il influencera les plus grands écrivains russes : Gogol, Tolstoï, Dostoïevski, et plus tard, Marina Tsvetaïeva, Boulgakov, Tourgueniev...
Les classiques anglais (Byron, William Shakespeare, Laurence Sterne) et français, (Molière, Voltaire, Évariste Parny) l'inspirèrent.
Sa profonde connaissance de la culture française et son parfait bilinguisme (qu'il cultiva toute sa vie) lui valurent,
parmi ses camarades de lycée, le surnom de Frantsouz, « Le Français ».
Alexandre Pouchkine étonnait par son aisance à improviser,
comme à réciter par cœur des vers innombrables ; sa mémoire était infaillible, sa vivacité d'esprit remarquable.
Il meurt à l'âge de 37 ans.
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Henri Troyat :
" Si sa poésie perd - hélas ! - les trois-quarts de son charme dans les traductions, il mérite l'admiration unanime pour ce qui émane encore de lui à travers les écrans trompeurs des langues étrangères."
Henri Troyat
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"Les Démons",
poème d'Alexandre Pouchkine,
traduction: Marina Tsvétaïéva
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