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Citations de Alexandre Schoedler (19)


"C'est que ce lieu a une histoire secrète lui aussi !C'est là que les templiers ont eu une apparition d'une vierge noire, - Isais - leur enjoignant comme mission de retrouver la pierre noire perdue par cette déesse ou...C'est assez vague. Justement c'est le but de le découvrir ici. - Une vision fit timidement Hélène. -Du XVIème siècle" répondit Sandro. PAGE 203
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et soudain l'effroi ...
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un sentiment indiscible d'attente mêlé de frayeur traversa l'entourage... maria déclama un signe vocal étrange
.. un halo violet entoura la pierre mystérieuse..
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P :168 -Mais personne ne croit vraiment qu'il existe,c'est juste une rumeur urbaine persistante.
- Mais attendez! Il y a des avis de recherches !
-Oui,répondit Grey laconiquement.
-Sur des rumeurs ou des témoins de 3ème main qui " semblent avoir vu " des "ont dit..." ou autres.
Rien de concret quoi.
En fait ,personne ne l'a jamais vu,ni même aperçu ,ou rencontré quelqu'un qui a bossé directement pour lui.
C'est cela tout le problème!
Et tout son pouvoir !
Barry ,nerveux, dit : non mais , ce n'est tout de même pas un fantôme !
Tu ne vas pas me faire avaler ça Grey !
Oui, Agent Barry,mais à en croire Takashi,tout le monde pourrais travailler pour Dias Bolic sans le savoir,grâce à ses ramifications partout dans le monde.
On ne peut jamais le savoir avec certitude!
C'est bien ça toute son emprise!
Jack,la mine sombre poussa :
-inquiétant....
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Le lendemain,minuit trente,Santa Barbara Beach Grove.
Le groupe au complet faisait les cent pas dans le sable.
- Allez les gars,le temps est aux explications cette nuit !
Un véhicule s'approcha des cinq qui étaient très remontés.
Dont Alex qui chargea son 38 Magnum.
Tu fais quoi dit Bryan.
-Devine , je vais le fumer !
-Non ! Jusqu'à présent on a fait comme tu le voulais, l'action et tout ,mais là je prends en charge avant que ça dérape totalement.
-Je décide de la suite à donner là.
-Je vais m'en charger de ce deal foireux ,t'inquiète.
-Y'a intérêt.
-C'est un coup de Roy encore! Le faiseur de plan !
-Il devra me dire si je dois le buter ou pas ce Savage !
-Arrête , calme toi un instant et laisse moi négocier.
-On verra.
La Silver Jeep de Savage s'arrêta devant eux.

/Page 150/
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ça vaut le coup alors..cela doit être un énorme,voire des énormes secrets pour que l'on s'acharne ainsi?
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- Excusez-moi, monsieur, un message pour vous... Tenez.
- Merci !! ... Voyons de qui cela peut-il bien être?... Andrew, peut-être, pour savoir si je me plais ici?... Ca serait bien lui ça...pense Farrell en souriant.
Il déplie le papier et constata qu'il ne s'agit pas d'un message de l'un de ses amis, mais le contenu du message retient toute son attention

(page 128 - ponctuation et orthographe respectés)
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Ouf ! j'en ai marre aujourd'hui, lance Farrell en s'asseyant dans le troisième taxi...
- Ben dites donc, vous en avez eu un sacré accident! dit le nouveau conducteur
- Oui.. Heathrow terminal 9, s'il vous plait !
- Gatwick ?
- Non, Heathrow terminal 9, répète Farrell.
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Youssef émergea dans une sorte de salle souterraine flanquée d’alcôves et de bas-reliefs ternis avec le temps, il n’en crut pas ses yeux… À la lueur de la torche qu’avait allumée Octave, il contemplait devant lui une sorte de caveau antique disparu depuis des millénaires. Youssef s’agenouilla et récita des vers du Coran. Borelli marmonna : — Ce n’est pas possible… Je rêve ! — Pourtant, c'est bien lui. Ses souvenirs d’archéologue et de passionné d’histoire antique lui revinrent en mémoire. Il se tenait devant un sarcophage translucide en albâtre très clair. Un corps embaumé semblait y reposer. Une chose étrange scintillait à la lueur de la torche. Il se rapprocha… C’était une couronne de laurier en or pur qui ceignait le front du corps qui, plus bas, était recouvert d’une armure légère en cuir, cintrée d’éperons à tête de lion, et un glaive avec au pommeau une étoile à six branches. Ainsi qu’un bouquet de fleurs momifiées. Un drap pourpre avec un méandre entourait la dépouille devenue immortelle. On aurait dit qu’il dormait. Nulle corruption du corps n’était visible, mis à part son nez endommagé. C’est lui. Pensa Octave. — Incroyable, incroyable… Et pourtant je suis là. Dans le Sôma d’Alexandre le Grand ! Dhû-i-Quarnain ! S’écria tout à coup Youssef dans un cri de stupeur et d’effroi. Qui résonna…
Borelli, encore pétrifié, laissa défiler dans sa tête
toute l’histoire liée à la mort du conquérant depuis -323. Il se pencha pour ramasser une pièce de Tétradrachme en argent.
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Dans une étreinte effrénée, ils ouvrèrent mutuellement leur pantalon pour se donner du plaisir à deux, il lui murmura à l’oreille, tu m’achèves là… Tu m’asservis…Aaaah.
Elle se baissa pour prendre son membre dans sa bouche.
Ainsi que lui ses seins l’un après l’autre, puis elle lui avala son gland goulûment en le massant avec la langue.
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Parvenu au comble de son excitation, elle le sort, doucement, voluptueusement, empoigne son "lingam" tiède, dégage lentement sa verge pulpeuse violette et l'étreint d'un va et vient vers le haut... Alex est au sommet de son érection... elle le laisse flâner le long de ses jambes, en l'enlaçant, s'embrassant ; il dégrafe le reste des boutons de sa chemise et fait apparaître un buste galbé, deux cornes d'abondance dont les tétons d'un beige clair viennent se plaquer contre ses lèvres. La bouche occupée pas ces délicates pointes, il fait descendre ses doigts autour du nombril de Cathy, puis de son abdomen jusqu'à tâter son entrejambe épilé. Doucement, il pénètre ce royaume par l'étreinte de ses doigts, puis de son sexe, la faisant tressaillir et se cabrer en arrière. Ils se consument d'un amour frénétique jusqu'à l'instant où, épuisés, ils se laissent choir repus.
[...].
-Tu es divin, lui murmure-t-elle. je crois que je ne peux plus me passer de tes étreintes fougueuses .
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… ce livre est basé sur des faits réels, s’étant réellement déroulés, seuls les noms et places ont été partiellement changés ou abrégés ainsi que romancés pour les besoins dramatiques de l’histoire.
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Car entretemps, Roxane se sentant menacée, avait fui Babylone en secret, pour la Grèce avec son fils, rejoindre Olympias, la reine mère qui lui avait envoyé de l’aide après l’assassinat de son protecteur Perdiccas. Olympias qui savait que son fils avait été empoisonné, elle, qui avait déjà des doutes, par la lettre du sage, puis elle a appris le reste, par un ancien officier devenu écrivain itinérant et qui s’est réfugié en Macédoine.
— Cela devient de plus en plus scabreux cette histoire. — Et attends la suite Guy… Son nom était Agnothémis. Et il relatait dans ses écrits qu’il écrivit de retour de Grèce l’empoisonnement du roi par Iolas un des fils d’Antipatros. Il raconta qu’il tenait l’histoire d’un aveu du général Antigonos (Antigone) lors d’une soirée de beuverie entre officiers. — Donc en fait, c’était connu dès cette époque déjà ? — Oui, tu te souviens de l’émeute des soldats à Babylone après la mort d’Alexandre, Guy? C’est pour cela que Antipatros a ensuite fait publier aux quatre coins de l’empire une nouvelle version du dernier banquet dionysiaque d’Alexandre à Babylone ! Pour faire taire cette information qui se répandait dès la mort d’Alexandre, puis dans une nouvelle version avec Agnothémis, qui a raison sur le fond, mais pas la forme… à savoir son poison ! Antipatros avec l’aide donc des secrétaires royaux dévoués à sa cause, a peint dans cette nouvelle version relatée des
« éphémérides royales », une soirée de beuverie monstrueuse où Alexandre aurait trop bu et se serait effondré ; puis serait mort par la suite… pour se disculper. Cette propagande nous est toujours livrée aujourd’hui ! — Stupéfiant. Ce général Antipatros est donc le comploteur le plus machiavélique de l’histoire Octave, puisqu’il a réussi à faire passer sa réécriture de cette soirée pour de l’histoire !
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Ils vous attendent. Et à mon avis, on ferait mieux de laisser reposer les morts. Je garderai ce secret pour moi par respect pour le grand Iskander (Alexandre), car il est mentionné dans le Coran qu’on ne doit pas y toucher, effendi.
— Vous faites comme vous voulez, Youssef. Moi, je me réserve un droit de regard du découvreur.
— C’est un prophète, effendi, alors ce sarcophage est sacré pour moi. Je vais retourner en haut. Je vous laisse la lampe. J’en ai une autre à côté de l’enceinte de ce mur. À plus tard, Mr Borelli.
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Borelli fut soudain envahi par des senteurs étranges de naphte, patchouli et de santal ainsi que d’autres senteurs épicées indéfinissables, alors qu’il parcourait avec sa main droite le corps recouvert de bandelettes de lin bruni. Celle-ci allant jusqu’à son visage presque intact, un peu émacié et dont seule la partie centrale de sa chevelure châtain clair avait survécu aux siècles. La pointe du nez avait quant à elle été abîmée par Auguste.
Il touchait à présent la couronne en or dont on avait ceint le front du jeune conquérant immortel à jamais. Youssef, dans un élan de crainte, recula. Puis Borelli, qui examinait le corps momifié, fit deux pas en arrière, descendant de la première marche du soubassement de deux mètres vingt par un mètre cinquante, aux ornements ioniques et égyptiens. Flanqués des ailes protectrices des déesses Isis et Noût. Octave sortit sa boussole et la pointa. « Axe N.E de l’ancienne porte d’Hélios (Soleil) et vers là-bas, orienté S.E l’antique porte de Sélène (Lune), et nous sommes bien sur une intersection de l’ancienne voie Canopique ! » Brusquement, son regard fut attiré par une chose étrange : « Des taches de sang ? » Il se baissa pour examiner le tissu de pourpre royal dont certains bords étaient maculés de sang noirci. « De qui donc ? » Alors que cette question taraudait Borelli, Youssef examina les alcôves sur lesquelles étaient entreposée une poignée de papyrus de la bibliothèque du Sérapéum ainsi que certaines pièces de monnaie éparses de l’ère ptolémaïque. Un peu enfoui dans le sable, gisait le bouclier légèrement cabossé du conquérant. « Mr Octave, venez donc ici, voir cette splendeur ! »
Borelli fit quelques pas et sortit de ses réflexions.
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Entouré de senteurs épicées de diverses sortes ; le roi regardait la préparation des offrandes qu’il allait faire aux dieux, comme de coutume, avant un banquet de cette ampleur.
–– J’ai déjà fait préparer le nécessaire pour tes offrandes aux Dieux Alexandre ; s’empressa de dire Médios alors que le roi longeait la grande salle des fêtes du palais. Où l’on s’affairait à mettre en place à peu de distance les uns des autres des divans, de tables dorées, garnies de cousins de soieries venus du royaume de Sian, entouré de voilures et rideaux pourpres de Phénicie, alors que les murs bleu et vert étaient recouverts ci et là de tapisseries perses et babyloniennes racontant les hauts faits des rois dynastiques.
L’amiral quant à lui, déambulait vers la cour ou un immense bassin et des ouvertures multiples vers la grande salle ramenaient de la fraîcheur vers les convives.
À hauteur des divans l’on disposa des tables sur trois pieds où l’on commença à mettre les plats, alors qu’à l’entrée, sur l’autel Alexandre et Néarchos commençaient le cérémonial d’offrandes.
Et quelque temps plus tard, les libations pouvaient alors, commencer…
Prirent place en premier : Alexandre, Néarchos, ainsi que Médios, qui fut d’abord soldat, puis officier de cavalerie de l’aile thessalienne de son armé, devenu entretemps conseillé du roi et en quelque sorte aussi son coryphante (maître des festivités) outre ses activités d’écrivain sur les expéditions du roi.
À sa droite, vers la gauche prenait place tour à tour : Perdiccas, un des plus fidèles généraux, Peithoôn l’un des 8 gardes du corps d’Alexandre, qui était aussi officier de cavalerie. Flanqué d’Asandros un autre général très valeureux, entouré des deux téméraires autres gardes du corps : Léonnatos et Peucestas, ces deux officiers avaient sauvé la vie du roi en ramenant le bouclier d’Achille qu’Alexandre avait perdu en escaladant une muraille lors du siège d’une ville des Maliens en Inde, juste à temps pour le sauver des flèches mortelles. Dont une lui avait transpercé le bouclier et s’était enfoncée sur 8 centimètres dans la plèvre, mais pas le poumon, les deux héros l’on alors escorté avec le bouclier d’Achille hors de la zone de tir, lui sauvant la vie.
Son chirurgien Critodème mit 1 jour entier à lui enlever ce javelot en forme de flèche de 8cm sur 6 de large. Alexandre mit 7 jours entre la vie et la mort pour se rétablir.
Plus loin, vers sa gauche, Ptolémée, son autre général et, plus tard, futur pharaon et fondateur d’une dynastie à son nom, puis Méléagros, général de phalange.
Déjà en grande conversation, Lysimaque et Holkias deux autres officiers d’infanterie et gardes du corps du roi qui les envoyait parfois en tant que messager.
Il y avait aussi Eumène de Cardia, chancelier du roi, maîtrisant plusieurs langues, commandeur de phalanges et stratège, aussi écrivain royal chargé des annales.
Juste à côté, Philippos, le médecin personnel du roi et Stasanor, général d’infanterie.
Ainsi, qu'un proche de l’amiral, le crétois Hérakleidès, officier naval.
Suivi de Séleukos, le général ambitieux, mais pragmatique.
Plus tournés vers la gauche, les proches amis de Médios, Ariston général de cavalerie & Arétès capitaine de cavalerie.
Conversant avec Philipos ingénieur et géographe d’Alexandre.
Pour terminer la ronde du banquet : Ménandros dramaturge et auteur de comédies avec qui le roi aime converser de sa passion pour le théâtre et les pièces qu’il monte entre ses conquêtes.
Philotas le jeune officier de cavalerie d’une longue lignée de militaires. Et, son supérieur Ménidas général de la cavalerie d’élite du roi.
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" Depuis qu'il a quitté Londres,il a la désagréable sensation d'avoir la mort aux trousses et ce nouveau message en devient la preuve flagrante. Qui nom de Dieu veut me tuer et pourquoi? Y-a-t'il un lien avec mon rêve de Londres,la veille de mon départ pour l'Egypte?Une légère brise nocturne se lève et Farrell s'interroge toujours sur l'attaque dont il a miraculeusement échappé. " > PAGE 151
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…son manteau d'un noir ténébreux virevolte, dégageant de temps à autre une figure svelte, avec un regard sournois, moustachu, sombre...
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Soudain, les deux hommes, tous deux vêtus du même blouson noir uniforme, la vingtaine environ, sortent l’un après l’autre de leur poche une énorme seringue et se jettent en même temps sur Farrell pour lui planter l’aiguille de sa seringue dans le cou, pendant que l’autre vise l’épaule gauche.
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