Alexandre Tefenkgi

Quand on me demande... Quel est mon roman préféré...sans hesiter je réponds toujours un monde dans fin de Ken Follett...❤️

J'ai adoré adoré ce livre... Et pourtant c'était il y a 15 ans...

Je me réjouis toujours de lire un nouveau roman à Kingsbridge!

J'avoue que j'ai aimé celui-ci mais sans plus !

J'ai aimé cette revolution industrielle, la lutte des femmes dans la société mais un peu moins les passages sur la guerre !

Je préfère les histoires du moyen âge...

On y retrouve toujours amour amitié, complots trahisons...

Ken est vraiment le roi du roman historique !



📖En cette fin de XVIIIe siècle, l'Angleterre est dirigée par un

gouvernement conservateur qui réprime toute tentative de

révolte. De l'autre côté de la Manche, Napoléon Bonaparte

accroît inexorablement son pouvoir.

Alors que la guerre est aux portes de l'Europe, la vie des habitants

de Kingsbridge est sur le point de basculer. Sal, fi leuse téméraire,

est témoin d'un accident tragique qui va bouleverser sa vie.

Le courageux Amos, drapier, qui a hérité prématurément du

négoce de son père, va devoir aff ronter le terrible Hornbeam pour

rembourser ses dettes. Il sera aidé de Spade, tisserand novateur,

et encouragé par la douce Elsie qui se bat pour fi nancer une école

où les enfants pauvres pourront apprendre à lire et à écrire.

Entre destins contrariés, jalousies meurtrières, justice arbitraire,

guerre sanglante et révolution industrielle, Ken Follett dépeint avec

une virtuosité inégalée une génération qui incarne la lutte pour un

avenir libre de toute oppression.

C'est une belle découverte !

4 copains... Et accepter le départ de Fred...

C'est vraiment pour ceux qui restent que ce n'est pas facile !

Chacun le vit à sa manière...

Le plus difficile c'est que la vie continue...

J'ai aimé le graphisme de ce roman...

Et le +... C'est que le tome 2 n'est pas bien loin...



📖C'est une histoire de trentenaires. C'est l'histoire d'Hugo, Etienne et Jean-Marc. C'est une histoire sur les rêves que l'on porte en soi, ceux que l'on réalise, et ceux que l'on ne réalisera pas. C'est surtout l'histoire de Fred, qui s'est donné la mort d'un commun accord avec lui-même. C'était le meilleur ami d'Hugo, ou d'Etienne, ou de Jean-Marc. tout ça n'a plus vraiment d'importance. C'est cet instant cruel où l'on efface le nom d'un ami décédé de sa carte SIM... C'est l'histoire du temps qui passe et des petits ressentis. ces impressions que l'on garde au fond de nous, celles que l'on tait, celles que l'on ne dit pas. Jusqu'à ce qu'un jour, tout explose.

Voilà, l'histoire se fini sur le même ton qu'elle avait commencé... C'était une tranche de vie d'une famille de paysan Normand. Mais quelle tranche de vie. De celle qui se racontent sur plusieurs générations.

J'ai apprécié cette lecture, et aussi le dossier historique dans ces deux tome : c'est très intéressant de découvrir un peu la vraie vie de cette période.

D'après une histoire vraie.... et voilà comment on découvre ce que c'était que vivre en Normandie à l'été 1945.

Cela change des films un peu glamour et des cours d'Histoire qui oublient l'histoire. Ces gens ordinaires se retrouvaient sur la ligne de front et ils ont du faire avec.

Et je les trouve admirables.

Alors peut-être que la BD gomme un peu les angoisses qu'ils ont pu éprouver.

Mais ils me plaisent bien.

Vite la suite

Je n'ai pas l'habitude de lire des BD, je préfère largement les mangas... Mais de temps en temps - soit deux à trois fois par an (oups) - j'apprécie en lire. Et je suis vraiment bien tombée avec cette duologie...



J'ai tout de suite accrochée au récit, dès le début je savais que ça allait me plaire, que ça allait me bouleverser. Et je ne me suis pas trompée. J'ai même verser ma larme... C'est pour dire.



Une histoire de potes, une histoire de suicide, de deuil... Les rêves, les souvenirs, la vie, et comment on fait pour vivre avec la perte brutale d'un être cher? J'ai été très touchée. J'ai trouvé le récit très humain. Triste, difficile, émouvant. Mais aussi très inspirant.



On pourrait sans doute dire que cette histoire n'a rien d'original mais... Je l'ai personnellement beaucoup aimé - si je puis dire (car le sujet est grave et une scène est très dure). J'ai surtout apprécié « les leçons tirées » de cette douloureuse épreuve. Et les dessins aussi, m'ont plu! Ce qui est certain, c'est que je n'oublierai pas l'effet que cette série en 2 tomes aura eue sur moi.



« Est-ce que les grands jours sont forcément derrière nous? Et qu'est-ce qu'on a perdu en grandissant ? Est-ce qu'on a mis de côte nos rêves, tout ce qu'on rêvait d'être juste par facilité, par renoncement ? » (citation)

Hugo, Etienne et Jean-Marc, trois potes unis par une amitié qui remonte à l’adolescence. Trois potes brisés par l’absence de Fred. Absence qui rend fou Hugo déjà malmené par une séparation avec la mère de sa fille.

Que faut-il faire pour ne pas sombrer ? Comment oublier les voix dans sa tête ? S’accrocher à des petits riens : des coups de mains discrets à un beau-père, des moments volés avec sa fille, une réconciliation avec sa mère …

Avec sensibilité mais sans l’once de mièvrerie, Jim et Alex Tefenkgi racontent la renaissance d’un homme au bord du gouffre. Une tragédie discrète, mais un combat de titan pour revenir à la surface.

Coup de coeur pour cette émouvante BD Où sont passés les grands jours ? de Jim & Alex Tefenkgi.



C'est l'histoire de quatre mecs, Hugo, Jean-Marc, Étienne & Fred...enfin le fantôme de Fred qui plane sur les trois amis.



Parce que Fred vient de mettre fin à ses jours et il laisse à ses amis qui stagnent dans leur vie respective, un carton au contenu énigmatique.



Un accordéon et des places d'opéra pour l'un, un lance-pierre et la clé du cadenas d'un monocycle pour l'autre et le roman Les mots de Sartre pour le dernier.



Ces trois amis, qui pataugent dans leur propre vie, qui ont bien du mal à accepter le geste de leur ami et sa perte, vont essayer tant bien que mal de comprendre le pourquoi de ces derniers cadeaux mystérieux.



Une bande dessinée qui nous questionne sur le sens de la vie, sur nos rêves de jeunesse et leur devenir, faut-il les enterrer passé un certain âge, accepter ce que la vie a mis sur notre route et faire contre mauvaise fortune bon coeur, ou bien faut-il se battre encore et encore pour les atteindre ?



Il y a des lectures qui croisent notre route au moment opportun, au moment où on est le plus à même d'en saisir toute la portée.



Qu'est ce que devenir adulte à votre avis ? Est ce renoncer à ses rêves d'enfants et d'adolescents ?

Ugolin aimerait se lancer dans la culture des œillet, bien plus rentable que les oliviers. C'est alors que Papet lui parle de la terre des romarins de son voisin et de sa source oublié. Car dans ce coin, l'eau c'est essentiel.



Sortie BD du célèbre roman de Pagnol adapté au cinéma. En Provence les rivalités entre villages vont bon train et les magouilles tout autant.

Nous faisons donc connaissance avec Jean de Florette qui vient d'hériter des terres des romarins et qui a de grand projet. Ainsi que de son voisin Ugolin qui, secondé par son oncle, a lui aussi de grands projets.

Une bonne mise en place de cette histoire mais je trouve que les dessins ne sont pas à la hauteur. Les couleurs sont lumineuses.

Hugo, Etienne et Jean-Marc, toujours aussi tristes depuis le suicide de leur ami Fred, tentent de reprendre une vie normale. 



Hugo, un peu mois paumé, vit désormais avec sa mère, Alice l'ayant quitté avec leur fille Violette quand elle a appris qu'il avait eu une liaison avec Zoé, maintenant enceinte.



Toujours en manque de Fred, Hugo reste en contact avec cet homme qui a hérité du numéro de téléphone de son ami disparu, le rencontre et devient son soutien.



Est-ce cette responsabilité qui le fait basculer, reprendre sa vie en main et se lancer enfin dans l'écriture de son grand-œuvre, cet hommage à Fred qu'il va adresser à de nombreux éditeurs au moment où son deuxième enfant vient au monde.



Un album moins noir  que le précédent où la reprise en main des personnages, leur acceptation de l'âge adulte et la remise en mémoire de leurs souvenirs de jeunesse laisse augurer de meilleurs lendemains. 
Lien : http://les-lectures-de-bill-..

Alors qu'Alice sa compagne, nettoie la tombe de son père, Hugo, ado attardé d'une quarantaine d'années, repense à Fred, son ami, son double qui s'est suicidé quelques mois auparavant. Son numéro de téléphone est toujours dans son mobile ... mais le numéro a été réattribué ...  



Hugo, ne sait plus trop où il en est, la mort de Fred a bouleversé ses repères.



Hugo s'empêtre dans sa vie ...



Hugo rechigne à annoncer à Alice que sa mère, larguée par son dernier compagnon, va venir vivre avec eux - d'autant plus que les deux femmes ne s'entendent pas ! 



Hugo grandira-t-il un jour ? 



Une BD douce amère, bien servie par un dessin assez sombre qui renforce les questionnement du personnage principal, un homme qui a du mal à devenir adulte face à une compagne lasse d'assurer pour trois ! 
Lien : http://les-lectures-de-bill-..

Je n'ai pas été totalement charmé par ce voyage où les âmes vagabondent comme des nomades. C'est emprunt de poésie mêlé à une situation un peu fantastique avec pour thématique central les clandestins en quête d'une société plus juste.



Il y a certes une générosité d'esprit qu'on ne peut qu'admirer surtout venant d'un haut cadre qui rompt avec la logique purement capitalistique. Abandonner sa position et aller vers les exclus est déjà en soi une grande aventure humaine.



Il manque sans doute un petit supplément d'âme qui ferait toute la différence. Et surtout, il émane une grande naïveté de l'ensemble. A vrai dire l'histoire de ce don d'ubiquité fait perdre toute crédibilité à un récit qui se voulait être une réflexion sur les valeurs de notre société.

Un avion américain s'écrase en Normandie près d'une ferme lors des combats du Débarquement en Juin 1944. Un fermier sans histoire va cacher le pilote des soldats allemands qui patrouillent abondamment dans le secteur. C'est tiré d'une aventure authentique.



C'est vrai qu'on a tendance à l'oublier de nos jours mais ce sont bien les Américains qui au péril de leur vie ont sauvé notre pays du joug du nazisme. Beaucoup sont morts pour un idéal: celui de notre liberté. Est-ce que nous aurions fait la même chose pour eux ? Oui, ce sont des questions qu'on pourrait se poser à l'occasion d'une telle lecture même si je sais que cela en énervera plus d'un.



Dans la grande Histoire, il y a toujours une petite histoire. C'est celle racontée par cette bd qui ne jouera pas pour notre plus grand bonheur la carte de l'héroïsme pur et dur à la John Wayne dans la version du film le jour le plus long. C'est vrai qu'il n'y a point d'action tonitruante toutes les deux pages.



Pourtant, le réalisme de la situation est bien là. J'ai apprécié toute cette simplicité qui est mise en oeuvre par l'auteur. Le dessin est agréable et on suit parfaitement bien le récit. La fin nous laisse toutefois un peu bredouille.



Il y aura même un clin d'oeil assez audacieux puisque le dessinateur va intégrer le personnage de l'héroïne du Le Sursis de Jean-Pierre Gibrat en guise d'hommage.



Par ailleurs, je sais qu'il y a des gens qui ont bien vécu durant la période de l'Occupation et qui m'ont dit que ce n'était pas si terrible que cela. Je crois que c'est comme tout. On vit tous différemment un évènement ou un drame collectif. Les auteurs ont opté pour une Occupation sans concession de la part de l'envahisseur qui multiplie les brimades et autres réquisitions auprès des civils. Je pense en réalité qu'un pays occupé ne doit pas être une partie de plaisir pour ses habitants.



En tout cas, la vie quotidienne de tout ces gens ordinaires qui peuvent devenir des héros du jour au lendemain m'a touché de par son humanisme. Tranquille courage porte bien son nom !

En fait c'est l'histoire complète, pas le tome 1.



C'est la couverture qui m'a attirée.

Mais aussi le fait que Jim soit de la partie ( un petit livre oublié sur un banc). J'avais adoré cette histoire!!!



Ici, on suit un héros, Hugo qui a perdu son meilleur ami. Celui-ci a mis fin à ses jours.

Comment vit-on la perte d'un ami? d'un suicide?

On peut penser que, malgré la perte, Hugo a tout pour être heureux; des amis fidèles ainsi qu' Alice et Violette...

Mais le décès de son ami Fred l'a chamboulé.



J'adore le dessin fluide, coloré et précis.

Evidemment le récit est superbe, touchant et un morceau de vie couché sur les planches.



A lire!

J'ai eu l'impression de revivre un scénario proche de la série précédente de l'auteur à savoir Une nuit à Rome. On a un homme qui s'approche de la quarantaine et qui risque de foutre toute sa belle vie de famille en l'air parce qu'il trompe honteusement sa femme. Encore une fois, on nous présente un gars bien sympathique sous tout rapport comme pour mieux faire passer son immoralité. Le pire, c'est qu'on l'accepte comme si c'était normal ou moral. Bref, c'est un véritable salaud qui trahit ce qu'il a de plus cher. Le côté bobo semble être un peu gommé mais on ne trompera pas les véritables connaisseurs de la vie sociale actuelle.



J'ai tout de même été séduit par ce titre en raison d'une écriture parfaitement maîtrisée. Et puis, il y a surtout le thème de l'amitié qui a certes déjà été exploité dans L'Invitation ou encore récemment dans Une petite tentation. Les variations sont assez différentes et elles m'intéressent au plus haut point sans doute car j'ai également perdu un jour mon meilleur ami. Il est toujours question de la perte après avoir passé de bons moments ensemble fait de complicité. Il y a juste les issues qui diffèrent: perte par désintérêt, décès etc...



Malgré une critique dure et plutôt acerbe, je mets 4 étoiles. Je reconnais le talent et la maturité. Je dois bien avouer que cela m'a touché quelque part pour des raisons personnelles. Pour le reste, c'est une belle chronique sur les adultes dans la crise de la quarantaine en proie au doute. Bref, c'est mieux qu'une thérapie.

Les dessins sont vraiment agréables, l'histoire bien construite, j'ai hâte de lire le tome 2...

Cet homme ravagé par la mort de son ami perd pied et nous emmène avec lui dans ses réflexions profondes et sa perte d'identité.

Un deuxième tome très émouvant. On referme cet album avec la volonté de vivre plus intensément, de réaliser ses rêves. Une volonté qui se heurtera bien sûr à tout un tas d'embûches mais qu'il faut garder impérativement.

Suite du tome 1 où on avait laisser Hugo en fâcheuse posture et les trois amis avec leur héritage respectif. Etienne se balade avec son livre de Sartre, Jean-Marc ne sais que faire de son bandonéon et des places d'opéra, et Hugo ne comprend pas la signification du monocycle.

Dans ce deuxième tome on s'aperçoit qu'il est impossible pour Hugo de trouver un porte de sortie, il est tirailler entre son amour pour Alice et leur fille Violette, son devoir envers Éléonore enceinte de lui et sa mère habitant chez lui et cherchant sur Internet son prochain compagnon. Impossible pour lui de trouver du réconfort auprès de ses amis qui réprouvent son comportement et se battent eux même avec leur existence non choisie.

Alors Hugo continue d'appeler le numéro de Fred et de parler avec cet inconnu qui finit par lui demander un service, un rendez-vous est fixé.



Cette suite et fin sur l'histoire d'un couple à la dérive et sur les problèmes amoureux de quadras désabusés, il n'y a rien d’invraisemblable dans ce récit et même si j'attendais une fin plus heureuse celle qui nous est offerte est bien plus crédible. L'histoire est touchante et très actuelle, on y trouve l'émotion et la colère jusque dans les dessins. Une très belle découverte que cette BD traitant de l'incompréhension d'une mort, le deuil difficile et des problèmes amoureux.
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Hugo, 40 ans, vit avec Alice et leur fille Violette, la routine a pris le dessus mais il aime sa famille. Dans son téléphone subsiste le numéro de Fred, cet ami qui s'est suicidé il y a quelques mois malgré son entourage (amis et famille) très présent. Du coup chacun est perdu dans ses souvenirs et n'arrive pas à comprendre ce geste.

Hugo appelle ce numéro et tombe sur un inconnu qu'il persiste à appeler Fred et tente d'engager la conversation. Puis il y a la mère d'Hugo, une sexagénaire à la recherche de l'amour, sur Internet, qui annonce à son fils qu'elle quitte son compagnon et lui demande de l'héberger quelques temps, sauf qu'entre Alice et sa belle-mère ce n'est pas la joie.

Hugo accepte avant d'en parler à Alice et a bien du mal à en discuter avec elle, jusqu'à ce que la belle mère débarque, tout éclate dans ce quotidien bien rodé d'autant que le souvenir de Fred et son acte insensé trouble complètement le bon sens d'Hugo qui cumule les faux pas. Le jour du passage devant le notaire, Hugo, Etienne et Jean-Marc découvrent le cadeau d'adieu de leur ami Fred. Des objets qui surprennent et cachent peut-être un message.



La jeunesse et les bons souvenirs assaillent cette bande de quadras qui vont devoir faire face à leurs responsabilités et celles d'Hugo lui paraissent insurmontables mais faire face aussi à leurs rêves. L'intrigue apparaît doucement mettant en place la vie de chacun et livrant une histoire bouleversante où l'amour est au centre de la vie et des problèmes. Toutes les scènes ont un intérêt pour l'intrigue, intérêt que l'on comprendra en fin d'album: le suspense demeure jusqu'à la dernière page. Un drame qui affecte tous les protagonistes et qui est joliment mis en dessins, avec des vues de Paris et des immeubles parisiens superbes.

Ce premier tome se termine sur une situation catastrophique pour Hugo, alors saura t-il se sortir des événements terribles qui détruisent peu à peu son existence? A voir.
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Une adaptation en bande dessinée qui permet de se replonger avec plaisir dans la Provence de Pagnol.

Peut permettre de faire connaître l'écrivain et cinéaste aux lecteurs adolescents, intéressant à avoir en CDI de collège et lycée.

Une bd sur l'amitié, le temps qui passe et la vie qui bien souvent nous échappe. Ce n'est pas très joyeux il faut l'admettre mais c'est beau.

Les illustrations sont superbes et nous plongent parfaitement dans l'ambiance du récit. Je suis quelqu'un de nostalgique alors une histoire pareille me plaît beaucoup et c'est avec grand plaisir que je lirai le deuxième tome.