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Citation de maxime2012


On riait encore davantage, cette fois nous savions pourquoi. Si tu n’avais pas été là, j’aurais fait la tête mais avec toi, je riais comme un fou. Ce pouvoir de changer les voitures en carrosses, le pauvre type que j’étais en prince charmant, et les sinistres soirées en jour de fête, tu l’as toujours eu ! J’étais bien. Mal à l’aise mais bien. Nous étions l’un contre l’autre, nous riions, ta tête touchait la mienne. Je savourais la vie et m’enivrais de ta présence, de ton parfum, de cette complicité qui nous rendait inséparables. Avec ce goût d’interdit, face à ces deux belles filles que j’avais fréquentées et ce beau mec qui partageait ma vie, mes peines, mes joies et mon amour… J’avais dix-sept ans et c’était le plus beau jour de ma vie. Une évidence : c’était fini, je ne m’ennuierais plus le soir de mon anniversaire.
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