Après le divorce, elle avait sombré dans la facilité en se jetant dans les bras de son premier amour : son travail. Un amant insatiable qui ne posait pas de questions, auprès de qui elle n'avait pas à se justifier et qui ne la quitterait qu'à une date déterminée d'un commun accord. En divorçant, elle n'était redevenue célibataire, elle était devenue divorcée. La distinction n'échappait à personne et surtout pas à elle.